Les Diaboliques

portrait ancré ds la réalité 2. Une démesure qui dépasse le réel 3. Un pers quasi mythique   II UN PERS INQUIETANT 1. Un pers ambigu 2. Un pers mystérieux, du secret 3. Une violence implicite   III LE PROTOTYPE DU PERS BALZACIEN 1. Une figure diabolique 2. Une figure préfiguratrice 3. Un pers symbolique de la force démiurgique de l’écrivain   Tout d’abord le portrait de Vautrin présente un personnage hors du commun, un personnage de la démesure. Ce portrait semble, à première lecture, ancré

* Avant la Renaissance, les patients consultaient l’Eglise. Depuis le XIIIe siècle, la confession est obligatoire dans l’Eglise catholique au moins une fois par an pour lutter contre les influences diaboliques et le désespoir. On pense que des mauvais esprits font infraction dans notre mental. * On prescrit des médicaments à base de plantes et on donne aussi des conseils d’hygiène de vie, réservés aux catégories aisées de la population : faire de l’exercice, se faire masser, écouter de la musique

roman d'intrigue. L'intérêt littéraire naît précisément du fait de cette part de mystère présente dans les premières lignes de ce récit (type d'introït énigmatique, avec une description qui suggère l'étrangeté grâce aux adjectifs qualificatifs « diabolique », « fantastique »). Le peintre est décrit comme un inconnu à l'identité problématique. Qui est-il ? Un mécène de Maître Porbus, un « protecteur » ou bien un « ami du peintre » ? Le lecteur ne le sait pas et le narrateur le laisse volontairement

grandes périodes du rire : rire antique associé aux divins, rire diabolique (gargouille) rire moderne (humain) L’antiquité attribut l’origine du rire au dieu Farceur, recréation du monde, il peut renverser les valeurs Régénérer les fonctions vitales, des blagues sont échanger dans les salles de repos et même dans les morgues. Rire jubilatoire, prendre des distances, ridiculiser, conception positive du rire Le rire diabolique sacralise le monde Zemour, hortefeux , Polysémie du rire : gestes

dans le sud de l’Europe mais malgré cette diffusion médicale et scientifique, en Europe la folie reste principalement interprétée comme une possession diabolique. Soit en Occident, on considère que la folie a une explication diabolique, et d’une culpabilité du fou qui serait attiré par le diable ce qui facilite la prise de possession diabolique. Cette idée est prédominante, la folie a donc un statut à part, la folie reste à la fois l’objet d’étude de la médecine mais en même temps la folie ne se

montrer que même avec l’aide de la science, même avec les nouvelles idées scientifiques de son époque, la science n’arrivera jamais à résoudre le problème d’une âme corrompu, d’une âme diabolique, de l’âme de Raphaël. Du fait de la place que tient dans le roman, l’action des forces irrationnelles («diaboliques») sur l’être humain (la réaction de Raphaël devant le «fait impossible»), de l’intrusion du surnaturel dans la vie réelle («c’est un ouvrage où des observations réelles et pleines de finesse

l’empreinte m’en resta brûlante comme la marque d’un fer rouge » (La morte amoureuse, p.87) 1.2. Idée secondaire : Clarimonde n’est qu’une simple illusion des rêves de Romuald. 1.2.1. Romuald est bien « […] le jouet d’une illusion singulière et diabolique. » (La morte amoureuse, p. 81) 1.2.2. Romuald cite bien sa présence seulement dans ses rêves. « […] une nuit je fis un rêve. […] je reconnue sur-le-champ Clarimonde.» (La morte amoureuse, p.103) 2. Idée principale: Dans la nouvelle « Le chevalier

affectif et intellectuel que Balzac a mis dans ce livre autour de la double idée de paternité et d’éducation. Nous verrons dans un premier temps comment Goriot incarne la paternité torturée, puis nous verrons comment Vautrin incarne, lui, la paternité diabolique. 1. Goriot, incarnation de la paternité torturée Personnage éponyme du roman, c’est-à-dire qui donne son nom au livre, Goriot est la figure sinon la plus complexe, du moins la plus explicite et la plus pathétique du thème de la paternité

de ce qui est réel. Premièrement, dans La Morte Amoureuse il y a la présence d’une figure diabolique est surnaturelle : le vampire femelle. Une des traits le plus caractéristique du fantastique est le surnaturel. Ce n’est pas seulement le surnaturel, mais le surnaturel diabolique qui est représenté dans les récits fantastiques. Clarimonde est un vampire, un être surnaturel, mais elle est aussi diabolique parce qu’elle profite de l’amour inconditionnel que Romuald tient pour elle. Clarimonde

œuvre de Gide : A. Biographie B. Bibliographie II.)Résumés de l’œuvre et de la période A. Résumé de l’œuvre B. Résumé de la période III.) Les personnages A. Les incarnations angéliques B. Les incarnations diaboliques C. Les lieux IV.) Les particularités stylistiques du roman I.) Vie et œuvre de Gide A.Biographie. André Gide est né en 1869 et est mort en 1951. Par le biais de certaines de ses œuvres, il dénonce le colonialisme, le fascisme, l’hitlérisme