Les Déterminants De La Profitabilité Des Banques

SOMMAIRE Les déterminants de la profitabilité des banques dans l’UEMOA : une analyse sur données de Panel………………………………………………………………………….3 Liste des dossiers, études et recherches publiés dans les Notes d’Information et Statistiques (NIS)………………………………………………………………………………20 Note aux auteurs……………………………………………………………………………….23 Notes d'information et Statistiques - N° 539 - Août/Septembre 2003 - Etudes et Recherche LES DETERMINANTS DE LA PROFITABILITE DES BANQUES DANS L’UEMOA : UNE ANALYSE SUR DONNEES

Libéralisation financière et profitabilité bancaire : Application aux banques tunisiennes HAKIMI Abdelaziz Doctorant en science de gestion à l’institut supérieur de gestion de Sousse. E-mail : abdelazizhakimi@yahoo.fr Adresse postale: poste Elhadeik PB n° 554 Jendouba8100 Téléphone : + (216)97089263 Résumé La politique de la libéralisation financière a été entreprise dans plusieurs pays ainsi qu’en Tunisie comme moyen pour moderniser et dynamiser le système financier. Toutefois, et sur le

La Rentabilité des Banques et ses Déterminants : Cas du Maroc Brahim Mansouri et Said Afroukh 1 LA RENTABILITE DES BANQUES ET SES DETERMINANTS : CAS DU MAROC (+) BRAHIM MANSOURI(*) ET SAÏD AFROUKH(**) Université Cadi Ayyad, Marrakech, Maroc E-mail : brmansouri@yahoo.fr ou contact@mansouribrahim.com Résumé Ce papier se propose d’étudier les déterminants de la rentabilité bancaire dans le cas marocain. Une telle rentabilité est mesurée en utilisant deux indicateurs différents mais

approximativement en 1979 en France (document 3) ? (1 pt) Q5 – Peut-on établir une relation entre le taux de profitabilité et les variations de l'investissement (documents 3 et 4) (2 pts) Q6 – Quelle relation peut-on établir entre la variation de l'investissement et le taux de croissance économique en volume (document 4) ? (1 pt) Q7 – Expliquez en quoi, pour les chefs d’entreprise, la demande est le déterminant principal des investissements ? (document 4). (2 pts) 2 – QUESTION DE SYNTHÈSE (10 pts) Sujet

MARKETING BANCAIRE: COMMENT MAXIMISER LE SHARE-OF-WALLET? ANALYSE DYADIQUE DES DÉTERMINANTS ET DES FREINS Soumaya Ben Letaifa et Jean Perrien Février 2006 Le relationnel est vu dans le secteur bancaire commercial (services bancaires aux entreprises) comme un moteur de croissance, par les ventes croisées (maximisation de la part du portefeuille), tout en permettant de faire face à l’élargissement des jeux concurrentiels (Moriarty, Kimball, et Gay, 1983). Les études démontrent que 5% d’accroissement

économique et donc sur la croissance. De la même façon, face à la crise financière de l’automne 2008 les banques centrales ont baissé fortement leur taux d’intérêt dans le but de limiter le recul de la croissance. Le taux d’intérêt est la rémunération du préteur. On raisonne en général en taux réel c'est-à-dire déflaté. C’est la banque centrale qui fixe les taux directeurs auquel elle refinance les banques qui elles même accordent des crédits aux agents économiques. D’autre part les taux d’intérêt à long

pas le seul déterminant de l 'I. C. Le financement de l’I 1. Financement interne, externe Financement interne : autofinancement – externe : apport en capital et emprunt Le financement interne est lorsque les entreprises utilisent des profits non distribués aux actionnaires mis en réserve. Puis il y a le financement externe, les entreprises peuvent se financer directement sur le marché financier en émettant des actions et des obligations et peuvent aussi emprunter aux banques. 2. La

WHY DO COMPANIES GO PUBLIC? Une analyse empirique M’POUNA Ghislain, M2 FEM Basée sur un panel d’entreprises Italiennes, cette étude analyse les déterminants d’une introduction en bourse (Initial Public Offering – IPO) et les conséquences de celle-ci sur la politique financière de l’entreprise. La décision de s’introduire en bourse est motivée par la situation ex ante de la firme et les conséquences de celle-ci ex post. Mais en pratique, on se rend compte que les conséquences ex post sont

10 L’INVESTISSEMENT DES ENTREPRISES Mots Clés - Anticipations - Contrainte financière - Efficacité marginale du capital - Effet accélérateur - Profitabilité - Q de TOBIN - Taux d’intérêt 312 PLAN I. LES DÉTERMINANTS TRADITIONNELS DE L’INVESTISSEMENT A. La demande anticipée B. Le rôle du coût des facteurs de production C. La profitabilité D. Les contraintes d’accès au financement II. LES MODELES D’INVESTISSEMENT A. Le modèle accélérateur - profit B. Le Q de TOBIN III. L’EVOLUTION DE L’INVESTISSEMENT

peut être défini comme l’acquisition de capital technique, et le taux d’intérêt comme le prix du capital. Quel est donc le rôle de ce taux d’intérêt ? A quelles conditions, le taux d'intérêt agit-il sur l'investissement ? Quels sont les autres déterminants de l’investissement ? Après avoir montré qu’une baisse du taux d’intérêt favorise l’investissement nous montrerons que cette relation comporte des limites. I. Des taux d’intérêt faibles sont favorables à l’investissement a) Le taux d’intérêt