Les Déterminants De La Profitabilité Des Banques

Université des Sciences Economiques et de Gestion de Tunis Niveau : Maîtrise en Finance Les Nouvelles Technologies d’Information et de Communication et leur Impact sur le secteur bancaire- Cas de la banque : la Biat Etudiante : Encadreur : Année universitaire : 2007/2008 INTRODUCTION GENERALE La révolution technologique dans le domaine de l’information et de la communication et la mondialisation de l’activité économique et financière ont engendré des changements majeurs

concurrence : les autres banques et les firmes non bancaires 8 4. Autres phénomènes accentuant la concurrence 9 E. Le Crédit Agricole et ses principaux concurrents : segmentation du marché 9 1. Présence de cinq segments 9 2. Comparaison des banques 9 3. Position du Crédit Agricole 10 4. Les concurrents sur le segment banque mutualiste/généraliste 10 5. Les concurrents sur le segment banque commerciale pure/généraliste 11 6. La concurrence de la banque « publique » : La

financement. -La Mesure des Echanges de Biens et de Services : Chaque pays enregistre les opérations commerciales et monétaires de ses agents résidents avec les autres pays dans un document appelé balance des paiements. Elle est établie par la Banque de France, en collab avec le ministère de l’éco selon les règles élaborées par le Fonds monétaire international (FMI). Les divers résultats de ce compte peuvent être analysés à l’aide d’indicateurs spécifiques du commerce international. Les causes

modernes sont proposés par les principales banques du pays. En qualité d'entreprise commerciale et dans un monde de plus en plus concurrentiel, la banque doit tout mettre en œuvre pour être rentable, développer une réelle stratégie de marché, respecter les équilibres financiers et faire évoluer les métiers qui composent son activité De 21 banques en 2000, le Maroc n’en compte plus que 17 en 2005. La concurrence apparaît dans le secteur en 1998 et les banques connaissent, depuis, un resserrement de

montant de cette dépréciation s’apparente à un amortissement et est difficile à estimer. Sur toute la durée de vie d’un équipement la somme des amortissements doit être égale à la valeur du bien capital. Le taux d’itérait apparait comme un élément déterminant de la décision de l’investissement quand les couts de différentes valeurs de production et les débouchés sont considérés comme données. L’investissement est donc une fonction décroissante du taux d’intérêt. On imagine que le marché des fonds prêtables

fiscaux ne prélèvent aucun impôt ou n’exigent qu’un impôt faible par rapport à celui que supporterait l’investisseur dans son pays d’origine.  Secret commercial ou bancaire : secret professionnel, appliqué aux banques, à leurs organes et à leurs employés. « les directrices et employés des banques ainsi que tous ceux qui ont connaissances des écritures, livres, opérations et des correspondances bancaires ou autres sont tenus au secret absolu en faveur des clients et ne peuvent divulguer ce qu’ils savent

pilotage est une boucle de contrôle. Un outil comptable extraverti. Comme le contrôle de gestion, l'outil comptable se détourne du diagnostic de performance interne. Il se concentre sur l'analyse externe prioritaire pour les partenaires financiers (banques) : données financières mesurables, priorité à l'impact immédiat, allocation des ressources présentes. On assiste parfois à une fuite en avant de la précision du chiffre, au détriment de la pertinence. Keynes : "Il faut cesser d'avoir tord avec précision

de Bank Al Maghrib le 1er janvier 1959 et l’instauration du dirham le 17 octobre 1959 . Il a été procédé par ailleurs à la création de structures à même de financer l’investissement, dont la banque marocaine du commerce extérieur en vue d’encourager le commerce extérieur , et la banque nationale pour le développement économique en vue de financer les projets d’ investissement . L’autre aspect auquel le système financier marocain s’est attelé, a trait à la mobilisation des capitaux

capacité à attirer les ressources humaines et les talents, la plupart des études montrent que lorsqu’on demande à de jeunes cadres ambitieux 258 PARTIE 1 : STRATÉGIE quel serait leur employeur idéal, la plupart ont tendance à citer soit des banques d’affaires et des cabinets de conseil prestigieux où ils ne passeront que quelques années en début de parcours, soit des grands groupes internationaux significativement diversifiés où ils espèrent pouvoir faire carrière à long terme, parce que, justement

2.4. L’allocation de l’épargne vers les PME : des incitations qui pourraient être plus efficaces .................................................. 46 3. Lever les obstacles au financement par l’endettement .......................... 50 3.1. Les banques, partenaires privilégiés des PME ............................... 51 3.2. Le crédit aux PME françaises : un couple risque-rendement qui ne fonctionne pas bien ........................................................... 54 3.3. Une intervention publique