Les Déterminants De La Profitabilité Des Banques

problème (ici, un mécanisme de discrimination) ; fournir des réponses argumentées économiquement à un problème économique donné. Savoir expliquer le pourquoi d’un problème économique. Ex. : l’Etat a aidé les banques parce qu’il fallait sauver l’économie ; pas spécialement sauver les banques ! Quel que soit le prix à supporter par les contribuables, il fallait sauver l’économie. Pour commencer à entrer dans la démarche économique, ici, il faut être conscient du fait que ce cours n’est pas un cours

de pays européens, tout particulièrement ceux du Sud. L’Europe est de fait prise dans son propre piège institutionnel : les États doivent emprunter auprès d’institutions financières privées qui obtiennent, elles, des liquidités à bas prix de la Banque Centrale Européenne. Les marchés ont donc la clé du financement des États. Dans ce cadre, l’absence de solidarité européenne suscite la spéculation, d’autant que les agences de notation jouent à accentuer la défiance. Il a fallu la dégradation

auquel se conjugue le passage progressif à une économie de marché, il n’en demeure pas moins que le secteur des banques représente aujourd’hui un segment fortement concurrentiel de notre économie. Et pour preuve, l’implantation progressive de banques étrangères en Algérie. Face à ce nouvel environnement, et eu égard à l’instabilité et à la pression qui lui sont sousjacentes, les banques se doivent de mettre en place un système de mesure de la performance qui puisse assurer leur constante compétitivité

ont vu leur bien saisi depuis 2007. Les prix se sont effondrés de 40 % en cinq ans. A cause du risque de contrepartie, de taux et de liquidité, les banques sont vulnérables à la défaillance des autres. C’est le risque systémique. Des milliards d’en-cours ont été perdu. 1.400 milliards, c’est la facture, en dollars, des pertes potentielles des banques mondiales évaluée par le Fonds monétaire international en 2009. 700 milliards Le montant, en dollars, du plan Paulson voté le 3 octobre par la Chambre

* a) De la « monnaie voile » aux politiques volontaires issues de la théorie keynésienne * b) Le retour au monétarisme  * (1) Monétaristes et « Nouveaux classiques », * (2) Des banques centrales indépendantes visant principalement la stabilité des prix  * (3) L'inflexion des objectifs intermédiaires libellés en termes de masse monétaire * 2. Une politique adjacente : le change  * 3. Le

valeur de 9625000 F CFA sera nécessaire et pour la formation de celui-ci, l’on associera l’ensemble des apports des associés que ce soit en nature (2 125 000 f CFA) et en numéraires (6 500 000 f CFA) au montant de l’emprunt que nous allons faire à la banque. Puisque le démarrage des activités envisagées est prévu pour le mois de janvier 2007, la libération des promesses devra se faire au plus tard deux mois avant le début de ces activités c’est- à dire le 01 Octobre 2006 c) Responsabilité et régime

Rapport sur le développement dans le monde 2005 Un meilleur climat de l’investissement pour tous Rapport sur le développement dans le monde 2005 Un meilleur climat de l’investissement pour tous Abrégé Banque mondiale Washington © 2004 The International Bank for Reconstruction and Development/ The World Bank 1818 H Street, N.W. Washington, D.C. 20433, États-Unis d’Amérique Téléphone : 202 473 1000 Site Web : www.worldbank.org Courriel : feedback@worldbank.org Tous droits réservés

GENERALES DU MARCHE FINANCIERS I. LA COMPOSITION DES MARCHES FINANCIERS………………P. 6 I.1 La clientèle : les offreurs et les demandeurs de titres I.1.1 Les offreurs de titres I.1.2 Les demandeurs de titres I.2 Les intermédiaires I.2.1 Les banques I.2.2 Les intermédiaires boursiers I.2.3 Les investisseurs institutionnels II. LES PRODUITS FINANCIERS……………………………..………..P. 8 II.1 Les produits au comptant : les actions et les obligations II.1.1 Les actions II.1.2 Les obligations

années 70 et dont l’usage s’est répandu à partir des années 90, permet à la banque, une fois avoir initié les crédits de pouvoir ensuite les sortir de l’actif de son bilan pour les transformer en produits structurés qui se comportent comme des titres obligataires négociables sur les marchés. L’investisseur qui achète ces produits titrisés est rémunéré à partir des intérêts régulièrement versés par l’emprunteur initial à sa banque. Ce faisant, la valeur de ces produits structurés est étroitement liée à

............................... 70 3.2.1. LEVIER FINANCIER ET FISCAL ....................................................................................................................................... 70 3.2.2. LEVIER DE RENTABILITE ET DE PROFITABILITE ................................................................................................................ 71 3.2.3. LEVIER DE VALORISATION .................................................................................................