Les Déterminants Sociaux De La Consommation

Sciences économiques et sociales Seconde 2010 Thème 1: Ménages et consommation Question 1 : Comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? Problématique : En quoi les revenus et les prix sont-ils des déterminants pertinents pour expliquer les comportements du consommateur? Objectifs : A l’issue de ce travail, vous devez être capables de : Définir les notions de consommation, revenu disponible, pouvoir d'achat, épargne. Différencier, en donnant des

concernée. On distingue trois catégories d’opérations :     Les opérations sur les biens et services qui décrivent l’origine des biens disponibles sur le marché, production et importations, et les utilisations qui en sont faites (consommation, investissement…). Les opérations de répartition qui décrivent la formation du revenu des agents (distribution et redistribution). Elles montrent aussi la façon dont ces revenus circulent. Les opérations financières relatives à la création et à

FICHE DE LECTURE Macroéconomie, consommation et épargne de Patrick Villieu, Repères, La Decouverte, 2002 INTRODUCTION : Définitions : La consommation est l’épargne des ménages sont au centre du débat économique contemporain : On y oppose généralement=> keynésiens (approche par la demande) Classiques ou néoclassiques (approche par l’offre) Au niveau macroéconomique, la Comptabilité Nationale définie deux notions de consommation : • Consommation effective des ménages= valeur de l’ensemble

d’interroger sur le champ d’application de la fonction keynésienne, cette fonction permet d’analyser la consommation des consommateurs. C’est-à-dire que cela exclut les entreprises car elles n’ont pas le même comportement que les consommateurs. De même cette consommation des ménages est mise en relation avec un agrégat retenu par Keynes qui va être le revenu global. - Les dépenses de consommation dans cette logique sont analysées globalement et non produit par produit. - Il est fait abstraction

être consommé. Le cout de production de ce bien. Le taux d’utilisation de ce bien. B) La notion de valeur ajoutée La valeur ajoutée mesure la création de richesse d’une entreprise, elle est égale à la valeur de la production diminué des consommations intermédiaire. La valeur ajoutée sert à rémunérer les facteurs de production qui ont permis sa création. (cad salarié, intérêt à la banque du crédit, le loyer…) C) La structure d’un bilan et d’un compte résultat 1) Le bilan comptable

1. Agriculture et pêche : Renouveau d’un secteur traditionnel 2. Industrie : Plan émergence aux potentiels non encor exploités 3. Tourisme : Bilan de la « vision 2010 » perspectives du « plan AZUR » 4. L’INDH : Quelle intégration dans l’économie sociale 5. Les IDE : Quelle nouvelle politique d’investissement 6. Logistique : Une stratégie ambitieuse de grand travaux 7. Commerce extérieure : Les accords de libre échange; quel impact sur le dev. 8. Education : Un plan d’urgence pour rattraper le retard

ne peut être consommé que par une seule personne ou un petit groupe de personnes, on parle de bien individuel (exemple : les biens alimentaires).      Lorsqu'un bien ou service peut être consommé simultanément par un grand nombre  sans que la consommation de l'une diminue celle des autres, il s'agit d'un bien collectif (exemple : un programme à la télévision). •  Les biens peuvent être matériels (exemple : un bureau) ou immatériels, que l’on appelle services (exemple : un voyage). Certains biens

travail : agriculture, artisanat, industrialisation en essor * La religion structure la vie sociale Stratification sociale : (organisation des couches sociales) * Statut transmis de famille en famille (ex. père ouvrier/fils ouvrier) * Société patriarcale= soumission du sexe féminin au sexe masculin * Rôle établi des la naissance Mais surtout : * L’église est au cœur de la vie sociale, économique et politique * L’identité est construite par rapport aux valeurs religieuses

L’investissement, ou Formation Brute de Capital Fixe (FBCF) pour la comptabilité nationale, consiste dans l’achat de biens durables utilisés dans le processus de production (machines, bâtiments…) pendant au moins un an, ce qui distingue FBCF et consommations intermédiaires. On y inclut l’achat de logements par les ménages, mais celui-ci n’est pas un investissement productif. • Les investissements immatériels sont eux des achats de services : dépenses de formation, de marketing et de publicité, achats

Chapitre 2 : consommation et épargne Introduction : Consommation :  Acquisition bien et service utilisés pour satisfaire besoin des ménages.  Destruction des biens et services  Principal emploi du PIB  Épargne = consommation différée. 2 notions de consommation : 1. la dépense de consommation = ce que le ménage supporte directement. 2. la consommation effective des ménages = ensemble de la consommation des ménages = dépenses des consommations + dépense des consommation collectives