Les Enfants Terribles Chapitre 16

parviendra jamais jusqu’à l’adolescence ; car, avant ce temps, notre ville sera précipitée du haut de son faîte. Hector, tu n’es plus, toi le défenseur d’Ilion, toi le protecteur de notre belle cité, toi le sauveur des Troyennes et de leurs jeunes enfants ! Bientôt, sans doute, nos ennemis nous entraîneront sur leurs navires et nous réduiront toutes à l’esclavage. Ils t’emmèneront aussi, ô mon fils ; ils te soumettront à des travaux avilissants et grossiers, et tu seras sous les ordres d’un maître

Est-ce qu'on va se mettre À tuer les enfants maintenant? Ah ! mon Dieu ! On est donc des brigands? Je vous demande un peu, Il jouait ce matin, là, devant la fenêtre ! Dire qu'ils m'ont tué ce pauvre petit être ! 35 Il passait dans la rue, ils ont tiré dessus. Monsieur, il était bon et doux comme un Jésus. Moi je suis vieille, il est tout simple que je parte ; Cela n'aurait rien fait à monsieur Bonaparte De me tuer au lieu de tuer mon enfant ! - 40 Elle s'interrompit, les sanglots

visions de l’homme et du monde Le sujet comprend : Texte A – Gustave Flaubert, Mémoires d’un fou (posthume, 1901), chapitre X Texte B – Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale (1869), première partie, chapitre I Texte C – Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale (1869), troisième partie, chapitre VI Texte D – Louis Aragon, Blanche ou l’oubli (1967), troisième partie, chapitre 3, « Une mèche de cheveux n’est pas une hypothèse » Page 2 sur 8 10.FRLI.ME1LR1 TEXTE A – Gustave Flaubert

documentaire (page 24) - l’intérêt psychologique (page 31) - l’intérêt philosophique (page 35) - la destinée de l’œuvre (page 38). Bonne lecture ! Résumé Chapitre I Le narrateur est Éliezer, un jeune adolescent juif, studieux et profondément pieux, dont la famille (son père, Chlomo, sa mère, ses sœurs, Hilda, Béa et Tsipora) appartenait à la communauté juive de la ville de Sighet, en Transylvanie, région

puis il partira à Paris avec sa mère. A 14 ans, âge où il commencera à écrire, il marquera dans son journal : « Je veux être comme Chateaubriand ». A 19 ans sa mère décède. Ensuite, en 1822, il se mariera avec Adèle Foucher avec la quelle il eu 5 enfants et écrira son premier roman historique en 1831 : « Notre dame de Paris » dans le quelle il raconte l’histoire d’une jeune gitane et d’un bossu. En 1843, sa fille, Léopoldine, se noie sous ses yeux dans la seine. Très affecté par la mort de cette dernière

visions de l’homme et du monde Le sujet comprend : Texte A – Gustave Flaubert, Mémoires d’un fou (posthume, 1901), chapitre X Texte B – Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale (1869), première partie, chapitre I Texte C – Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale (1869), troisième partie, chapitre VI Texte D – Louis Aragon, Blanche ou l’oubli (1967), troisième partie, chapitre 3, « Une mèche de cheveux n’est pas une hypothèse » Page 3 sur 8 10.FRLI.ME1LR1 TEXTE A – Gustave Flaubert, Mémoires

Marie par dévotion à la Très Sainte Vierge Marie. Il est issu d’une famille de 11 enfants

qu’en ligne droite ou éventuellement courbe, mais jamais en ligne brisée. Il y a donc un « conflit géométrique » entre les deux.  2. Zazie, dans l’ Histoire ? Suite à un article d’Aurélie Maurin qui soulève la question : Zazie est-elle une enfant moderne,(*2) j’ai jugé intéressant de replacer dans un premier temps, notre petite Zazie, dans le temps de son histoire. p 21 «  Si tu veux insinuer que je suis pas à la page, dit Zazie, moi je peux te répondre que tu n’es qu’un vieux con. 

5 Chapitre 1 11 Chapitre 2 16 Chapitre 3 22 Chapitre 4 28 Chapitre 5 32 Chapitre 6 39 Chapitre 7 44 Chapitre 8 53 Chapitre 9 58 Chapitre 10 67 Chapitre 11 71 Chapitre 12 83 Chapitre 13 90 Chapitre 14 97 Chapitre 15 100 Chapitre 16 102 Chapitre 17 110 Chapitre 18 118 Chapitre 19 123 Chapitre 20 133 Chapitre 21 138 Chapitre 22 151 Chapitre 23 158 Chapitre 24 161 Chapitre 25 169

(1967) Le livre des fuites (1969), La Guerre(1970), Les Géants, (1973),) ont en effet pour cadre la grande ville occidentale: ses éclairages, ses foules, ses grands magasins, son fl ux de circulation, ses affi ches. Les personnages lecléziens, enfants, adolescents ou étrangers, solitaires, non insérés dans la société de consommation et hyperesthésiques y sont confrontés au trop plein de lumières, de bruits, d’objets, de gens, de signes, à un recul de l’urbanité qui généralement les angoissent