Les Fables Sont Elle Divertissantes

publie son 1er recueil de fable, se sont des fables divertissantes (ex: La Cigale et la Fourmi). Vers 1675 une 2ème série de fables commence à circuler; elles seront publiées en 1678, elles sont beaucoup plus politiques et contestataires pour la monarchie. À cette époque La Fontaine côtoie Mme La Sablière une monarque libertine qui s’intéresse à la science. En 1693 à la mort de Mme La Sablière, La Fontaine change de vie, il publie alors le livre XII des fables, il défend cette fois une sagesse assez austère

registres plaisants pour traiter de ces sujets essentiels : La Fontaine ou Molière, l’un dans ses fables, l’autre dans ses comédies, Voltaire, dans ses contes philosophiques, ont pris le parti de « plaire » pour mieux mener leur réflexion, argumenter et « instruire ». 2. L’humour pour divertir La Fontaine s’en explique : « Une morale nue apporte de l’ennui ». Car l’humour, par son côté divertissant, détend, évite l’ennui et touche un public varié, peu enclin à lire ou à écouter de longs développements

puis celle de Louis XIV lui-même. Quelques temps après il se lie intimement avec Molière, Boileau et Racine. Mais la vieillesse et la maladie amènent sa conversion (1692). Il est obligé de renier ses écrits licencieux et il meurt en 1695. Ses fables constituent toute sa gloire, elles sont au nombre de 243 et restent son plus grand chef d'oeuvre. « Plaire et instruire », telle est sa devise. Ce poème est une fable dont les rimes sont mélangées: du vers 1 à 4 elle sont embrassées, du vers 5

proverbiale est « Vox populi, vox Déi » (La voix du peuple est celle de Dieu ». ÉTUDE ANALYTIQUE Introduction Les fables sont des apologues c’est-à-dire des récits courts, divertissants, qui se concluent par une morale générale qu’ils illustrent. Les Fables choisies mises en vers ont été publiées par Jean de La Fontaine (1621-1695) de1668 à 1693, en deux recueils. La fable 26 du livre VIII, Démocrite et les Abdéritains, est située

un récit joyeux, attractif, le lecteur ne peut être amusé, c’est souvent grâce à tous ces éléments que l’apologue nous apparaît plaisant. Prenons pour exemple les fables. Celles-ci, qui bien sur cachent toujours une morale importante, sont en général amusantes, attrayantes. Serait-ce pour cela que nous nous souvenons de certaines fables que nous avions lu? Comment ne pas citer dans se domaine Jean de La Fontaine … Dans sa fable La cigale et la fourmi, l’auteur a fait en sorte que tout soit agréable

est souvent essentiel. L’auteur se cache de la censure en attribuant ses critiques à un tiers ou en les dissimulant dans des propos codés ou ironiques comme Voltaire. Ce type d'argumentation est souvent employé dans les contes philosophiques, les fables, les paraboles et les utopies. Ces récits la plupart du temps visent en effet à convaincre et persuader le lecteur indirectement. Ils ont une visée didactique et souvent, pour faire passer les idées, une visée critique. Ils les font passer à travers :

opposition à l’oppression nazie durant la Seconde guerre mondiale. Enfin Victor Hugo se sert de la littérature comme vecteur de combat contre le pouvoir. L’apologue est un genre littéraire à l’intention moralisatrice, souvent sous forme de fables ou de contes philosophiques. Il permet d’éveiller la réflexion du lecteur à travers un récit combinant la narration, destinée à séduire et l’argumentation qui veut instruire. La compréhension du sens profond et moralisateur de l’apologue est confiée

». Pour Aristote, l’ « exemple » est un moyen de persuader l’auditeur : « il y a deux espèces d’exemples : l’une consiste à citer des faits antérieurs, une autre à en inventer soi-même. Il faut distinguer d’une part la parabole, d’autre part, les fables ». L’apologue est narratif : il divertit, frappe l’imagination, illustre (fabula : récit fictif) ; mais il repose aussi sur une démarche argumentative, il démontre, enseigne. C’est donc une forme d’argumentation indirecte : il est ludique, attrayant

La Fontaine, Fables, « Le Pouvoir des Fables » En quoi la fable de La Fontaine propose-t-elle une argumentation efficace ? Comment met-elle en œuvre une esthétique propre au XVIIème siècle ? [Introduction] Les chemins détournés sont parfois les meilleurs ; et quand ils ne le seraient pas, ils n’en présenteraient pas moins d’avantages. C’est ce que La Fontaine, renouvelant au XVIIème siècle le genre antique de la fable en mettant en vers celles héritées d’Esope et de Phèdre, avait bien

distraire et réfléchir en même temps semble difficile II Cependant nombreux sont les cas dans la littérature, le cinéma ou la caricature où la distraction s’associe au divertissement. Le fait de traiter certains sujets sérieux de manière divertissante nous sensibilise à ceux-ci alors qu’un traitement sérieux nous en détournerait. Nous ne sommes pas toujours ( souvent) prêts à affronter la gravité. Ex . : Les conditions de travail dans « Les temps modernes » de Charlie Chaplin L’humour qui