Les Fables Sont Elle Divertissantes

général choisissent paradoxalement des registres plaisants pour traiter de ces sujets sérieux : La Fontaine dans ses fables ou Molière dans ses comédies prennent le parti de « plaire » pour mieux conduire leur réflexion, argumenter et « instruire ». 2. L’humour pour divertir Le fabuliste s’en explique : « Une morale nue apporte de l’ennui ». Car l’humour, par son côté divertissant, détend, évite l’ennui et touche un public varié, peu enclin à lire ou à écouter de longs développements sérieux et

général choisissent paradoxalement des registres plaisants pour traiter de ces sujets sérieux : La Fontaine dans ses fables ou Molière dans ses comédies prennent le parti de « plaire » pour mieux conduire leur réflexion, argumenter et « instruire ». 2. Le rire pour divertir Le fabuliste s'en explique : « Une morale nue apporte de l'ennui ». Car le rire, par son côté divertissant, détend, évite l'ennui et touche un public varié, peu enclin à lire ou à écouter de longs développements sérieux et rébarbatifs

dix mille visages ? (l.60) |divertissante, la fable, | | | | | |3e texte : p.82-84 - Mais le matin (l.1) |permet-elle de porter un |La justice sociale dans |Jean de La Fontaine, Fables, VII, 7 (1678) – La | | | |... il n’avait pas voulu en tenir compte |regard critique sur la |les Fables de La Fontaine|Cour du Lion Livre

et le laisser libre de l’exploiter, ou non, de philosopher dessus ou tout simplement de prendre le format comme un divertissement. B) Qui divertissent le lecteur L’argumentation indirecte propose souvent des styles plus légers et donc plus divertissant, reposant pour le lecteur. L’argumentation indirecte saisit l’attention du lecteur par le biais d’histoires, de fictions, et finit souvent par l’amuser. C’est le cas dans Candide de Voltaire qui remet en cause l’optimise, courant de pensée philosophique

finale est quant à elle explicite dans les paroles d’un personnage, Jupin ; il s’agit presque des seules paroles au style direct, ce qui met en valeur ce passage et permet aussi à La Fontaine de varier les effets. La Fontaine a écrit un récit divertissant en jouant des effets de la personnification et en agençant son récit de manière à le rendre rythmé et agréable. La longue description des grenouilles doit maintenant nous amener à nous interroger sur le choix de ces animaux, leurs caractéristiques

symboles, de différents personnages allégoriques, et tout cela au-travers d'un support plaisant qui permettait à tous de pouvoir s'instruire en se divertissant. Ainsi, était-ce le but recherché par Jean de La Fontaine dans ses fables. Auteur du XVIIème siècle, il copiera de nombreux auteurs de l'Antiquité, tel Ésope ou Épicure, pour écrire ses multiples fables, dont les plus connues sont « Le Corbeau et le Renard », « La Cigale et la Fourmi » ou « Le Lièvre et la Tortue ». Cependant, en jouant sur les

époque, au XVIIème siècle , en écrivant toute une série de fables mettant en scène, pour la plupart , des animaux. Il s'est inspiré de fabulistes Antiques tel que Ésope, ou Phèdre et reprend d'ailleurs, pour illustrer son projet, la formule d'Horace, poète latin antique, « Placere et docere » (plaire et instruire). En effet, dès 1668 Jean de La Fontaine va écrire un recueil de fables visant à instruire les hommes, tout en les divertissant. La besace fait partie de ce recueil. Jupiter dit un jour

En tête du second recueil des fables de 1678, La Fontaine fait figure l'avertissement suivant : "Voici un second recueil de fables que je présente au public. J'ai jugé à propos de donner à la plupart de celles-ci un air et un tour un peu différent de celui que j'ai donné au premières tant à la différence des sujets, que pour remplir de plus de variété mon ouvrage". A bien des égards, le second recueil des Fables de Lafontaine, est en effet différend du premier le monde des hommes est plus souvent

leur propre envie, et c’est là une marque ironique de l’auteur. Ils doivent faire intervenir un autre personnage Perrin Dandin au vers 16. [...] [...] Le récit théâtral d’un jugement L’Huître et les Plaideurs fait partie du deuxième recueil des Fables, plus tourné vers la satire sociale, plus destiné aux adultes que le premier recueil. Le fabuliste y raconte une anecdote sans importance : deux pèlerins convoitent une huître, s’en disputent la propriété et demandent à un juge de les départager.

construire le plan, répertoriez les éléments d’une fiction : personnages, péripéties, éventuellement merveilleux… Puis, prenez plusieurs points de vue : celui du créateur (la fiction donne plus de liberté à l’auteur, elle permet d’intéresser en divertissant, donc de s’adresser à un lectorat plus large) ; celui du lecteur (la fiction intéresse par sa vivacité, mais l’implicite oblige à interpréter son sens). Répertoriez les grands thèmes de la littérature argumentative : s’interroger sur l’homme,