Les Fausses Innocences

par cette attaque et, pour éviter de compromettre sa réputation et d'apparaître comme un gigolo bon-à-rien, il quitte la Présidente sans aucune explication. Cécile ne s'en tire pas beaucoup mieux et passe une nuit difficile avec Valmont. Elle fait fausse couche. Désormais la situation se profile mal pour tous les protagonistes de l'affaire. La Présidente se retire dans un couvent et se prépare à se laisser mourir de chagrin et de honte, tandis que Merteuil et Valmont n'arrivent pas à se réconcilier

: ils racontent le récit fictionnel de Gaspard Winckler, un héros picaresque – déserteur caché sous une fausse identité. Un certain docteur Otto Apfelstahl lui propose de partir en voyage pour sauver un enfant sourd-muet, autiste et anorexique qui aurait survécu à un naufrage en Terre de Feu. (Celui-là même qui lui a prêté sa fausse identité.) Winckler part donc à la recherche de cet enfant disparu dont il porte le nom. Chapitres pairs : II, IV

qu'il avait rencontrés à l'Ile St. Louis. Leurs Excellences de Berne avaient déjà pris des dispositions auprès du Bailli d'Yverdon pour éloigner Rousseau de leur territoire à cause de l'Emile, livre dangereux "rempli de maximes hautement fausses et dangereuses". La nièce de Roguin, Mme Boy de la Tour, offrit à Rousseau de s'établir dans sa résidence de campagne à Môtiers, petit village paisible du Val de Travers sous juridiction du Roi de Prusse. Rousseau accepta l'offre et partit pour

Boston. Mais même si l’on a affaire à des experts compétents, le risque de faire une fausse déduction en se fiant aux résultats que procure l’ADN est toujours présent. En effet, certains criminels peuvent avoir très bien compris l’importance de l’empreinte génétique lors d’une enquête, et s’amuser à laisser des échantillons d’un ADN autre que le leur, ce qui risquerait d’entrainer les policiers sur une fausse piste et d’incriminer des innocents. En 1992, le docteur canadien John Schneeberger,

républicains Outils : la loi, l'armée et l'école La loi : extension des libertés publiques (la plupart sont encore en vigueur) : liberté de réunion, liberté de la presse 1881 (supprime tous les délits de presse sauf 3 : diffamation et propagande de fausses nouvelles, injures au chef de l'Etat (15000euros + 6mois de prison) et atteinte au moral de l'armée) La loi 1884 : loi Waldeck-Rousseau : création des syndicats. L'originalité de cette loi : pas de contrôles des comptes, les syndicats n'ont pas

l’évocation d’un danger à travers Tartuffe, personnage inquiétant, qui cherche à prendre le contrôle de la maison d’Orgon. 4 Notons que cette scène se compose de trois mouvements, dont rend compte le plan de la lecture analytique : v. 1 à 40 > la fausse sortie de Madame Pernelle, qui lance le conflit familial ; v. 41 à 84 > Les données du conflit se précisent autour de Tartuffe, personnage absent ; v. 85 à 171 > conflit autour des médisances. 2 Lecture analytique n°1 II) Poser

de la femme * Agnès : Personnage de premier plan et pourtant elle n’est pas présente dans cette scène portrait d’Agnès vue par Adolphe (=présentation indirecte) * Arnolphe la décrit comme une femme innocente (v.79) double sens du mot innocence car signifie « qui ne nuit pas » référence à l’obsession d’Arnolphe d’être trompé (adjectif perçu de manière positif par Arnolphe car il se sent à l’abri du cocuage). Mais ce terme signifie aussi naïve et sans esprit (terme plutôt péjoratif en tant

scène le personnage éponyme, amoureuse de son beau-fils Hippolyte alors qu’elle est mariée à Thésée. Issue d’une lignée maudite. Cherche à cacher cette passion qui la dévore. H en aimant une autre, la jalousie de P la conduira à se taire lorsque de fausses accusations seront lancées contre lui, ce qui conduira à la mort d’H comme à la sienne. Extrait situé acte I scène 3, écrit en vers, première scène ou P apparaît. C’est une tirade de P s’adressant à sa nourrice Oenone. Fait deviner les tensions dramatiques

interdit de voler. Si la police arrête un individu en trainde commettre cet acte, il y aura un procès durant lequel le procureur de la Couronne (l’accusation)devra démontrer la culpabilité du voleur présumé alors que son avocat devra démontrerson innocence. Si la preuve matérielle est indiscutable (par exemple, la police l’a vu faire ou lavictime reconnaît formellement son agresseur), l’avocat de l’accusé ne pourra pas argumenterqu’il n’y a pas eu vol. L’avocat pourra toujours tenter de démontrer que

poitrine) à la rime tout en évitant un pluriel qui allongerait le vers d'une syllabe. «Il dort dans le soleil» est un autre détail inquiétant car, d'habitude, on dort à l'ombre. Il a «la main sur sa poitrine», sur le cœur, comme pour protester de son innocence ; plus vraisemblablement, il l'y a mise pour essayer d'atténuer la douleur ; c’est aussi l'attitude qu'il est d'usage de donner aux cadavres. L'enjambement doit être bien marqué ; ainsi le mot «Tranquille», qui suppose une sérénité consciente et