Les Fausses Innocences

dans lequel Bardamu raconte son expérience de la première guerre, du colonialisme en Afrique et de l'Amérique de l'entre-deux guerres. Bardamu a vu la Grande Guerre et l'ineptie meurtrière de ses supérieurs dans les tranchées. C'est la fin de son innocence. C'est le point de départ de sa descente sans retour. Ce long récit est une dénonciation des horreurs de la guerre mais aussi le point de départ du pessimisme qui traverse tout le récit. Bardamu part ensuite pour l'Afrique où le colonialisme est

de Phèdre évolue de scène en scène, et dans les scènes aussi, au gré de son amour. Le lever du rideau la dévoile malade suite à ce mal pernicieux qui est en elle. A ce moment là elle a déjà envie de mourir. L’annonce de la mort de son mari Thésée (fausse et vite démentie) la ranime car elle se sent délivrée de cette obsession d’infidélité et de remords. Elle peut alors se délecter d’un amour enfin permis. Elle s’offre alors à Hippolyte qui la rejette. Humiliée, elle songe à nouveau à mourir. Elle

reconnu une filiation avec les Lettres persanes de Montesquieu où deux étrangers au regard neuf, Rica et Usbeck, jetaient un œil critique sur les pays qu’ils visitaient. L’Ingénu de Voltaire, cousin très proche de Candide, manifeste lui aussi une innocence, une naïveté qui accepte les évidences, qui n’est pas encore déformée par les préjugés, en un mot un esprit philosophique aux vertus corrosives bien inquiétant pour le pouvoir en place. Voltaire utilise la forme du conte, ou plutôt du roman sentimental

tâche dans laquelle Rousseau, lui, risquerait bien facilement de se tromper, et dont le souci pourrait l’empêcher de se peindre avec la plus totale sincérité. Cet appel au jugement d’une conscience extérieure autorise Rousseau à se raconter en toute innocence, avec une ingénuité qui permet de ne rien cacher: «Voici le seul portrait d’homme, peint exactement d’après nature et dans toute sa vérité, qui existe et qui probablement existera jamais.» Dès les premières lignes le ton est donné. L’œuvre doit être

pouvoir anonyme. Il évite la, la censure §2 métode de l'inquisition arbitraire (elle a le droit de vie et de mort) : "conséquence"→vrais (faux) crimes= épouser sa comère, manger lard, trop parler→ fausses accusations // en oppotion les condannation sont vrai. Vocabulaire: "bruler a petit feu" (5). Fausse accusation qui ne repose sur rien mais une vrai condanation. 2. La dénonciation de V Voltaire dénonce le FANATISME a travers l'autodafé Ironie: scène qui ressemble a un spectacle -"bel auto

insensé. Cette ignorance de l'ignorance conduit à la création de mauvaises certitudes. En effet, si nous sommes sûrs de détenir la vérité, il n'y a plus de remise en question. Mais si la certitude que nous avons établi au préalable s'avère être fausse, il sera difficile de la révoquer car elle se sera inscrite en tant que vérité. Remettre en cause un fait, pourra être la source de nombreux conflits. C'est ce qu'il s'est passé au XVIIe siècle. A cette époque, la vérité inscrite était que le Soleil

reconnu une filiation avec les Lettres persanes deMontesquieu où deux étrangers au regard neuf, Rica et Usbeck, jetaient un œil critique sur les pays qu’ils visitaient. L’Ingénu de Voltaire, cousin très proche de Candide, manifeste lui aussi une innocence, une naïveté qui accepte les évidences, qui n’est pas encore déformée par les préjugés, en un mot un esprit philosophique aux vertus corrosives bien inquiétant pour le pouvoir en place Une critique acerbe et quasi systématique Voltaire utilise

orgueil, bavardage, sensualité) est une autre caractéristique du conte, où tous les rôles sont stéréotypés: le roi, la princesse, la fée, la sorcière, etc. Candide s'appelle du nom même de sa principale caractéristique: il aborde le monde avec innocence et crédulité, acceptant naïvement l'ordre établi. Cette candeur implique aussi l'idée de pureté: le jeune homme a "le jugement assez droit". 2 – Le conte philosophique Beaucoup de détails réalistes altèrent le merveilleux. Dès la première

illuminées par la présence divine, ou qui semble telle par les autres personnages. Elles ont l’air de sainte femme car elles pleurent. Il y a un rappel sa jeunesse, son enfance, de son innocence et de sa pureté. C’est un moment de lucidité, et non de nostalgie intense qui l’amène à voir cette perte irréversible de son innocence. Les pleurs étant contagieux, l’émotion se diffuse. Malentendu : la première pleure à cause de son enfance perdue, les autres, possiblement, le reste de l’assemblée pleure devant

il favorisait les chretiens. CHAPITRE 10 DU DANGER DES FAUSSES LEGENDE ET DE LA PERSECUTION Influence des fables sur le peuple chretiens. Exemple : acte de ruinart (7 vierges condamné a etre offert a des hommes et a servir nues) eusebe et le saint romain, condamné au feu qui en ressortit vuivant , onluicoupa la langue aussi et il su encore parler. Volataire retourne les fables et leur caractère mensonger a legard de l innocence des chrétiens, ils affirme ques c est les chretiens qui on