Les Faux Monnayeurs Personnages

Les faux-monnayeurs André Gide Première partie: Paris (1,2)Bernard Protifendieu, un écolier (+/- 15 ans) vivait tout près du jardin du Luxembourg où il allait souvent causer avec ses amis le soir. Ce jour-là il était resté à la maison pour préparer son bachot/baccalauréat. Il trouve une lettre de son vrai père à sa mère d’il y a 17 ans. Il se rend donc compte qu’il est un bâtard. Il demande Olivier s’il peut dormir chez lui cette nuit. Avant qu’il aille chez Olivier il écrit une lettre à son

parisiens et rencontre Paul Valéry et admire Stéphane Mallarmé. Après un voyage en Afrique du Nord (1893-1895), Gide publie plusieurs livres. Il participe par ailleurs à la création de la Nouvelle Revue Française. Les Faux-monnayeurs est un roman publié en 1926 : l’un des personnages, Édouard, est un romancier qui s’interroge sur ce que doit être le roman moderne, cette préoccupation étant aussi celle de Gide (mise en abyme).André Gide reçoit le prix Nobel de littérature en 1947. Il meurt en 1951

Don Quichotte de Cervantès (1605-1615). b- types de romans : Roman mémoire : raconte les aventures d'un personnage aux prise avec une société hostile à son bonheur. (XVIIIe) Roman épistolaire : Est un genre littéraire dans lequel le récit se compose de la correspondance fictive ou non d’un ou plusieurs personnages. Chapitre organisés par les lettres écrites entre les personnages. (XVIIe) L'autofiction : Le roman se confond de plus en plus avec le genre autobiographique ce terme a été inventé

Nourritures terrestres en 1897, L’Immoraliste en 1902, La Porte étroite en 1909, Les Caves du Vatican en 1914 et La Symphonie pastorale en 1919. Il participe par ailleurs à la création de la Nouvelle Revue Française. Les Faux-monnayeurs est un roman publié en 1926 : l’un des personnages, Édouard, est un romancier qui s’interroge sur ce que doit être le roman moderne, cette préoccupation étant aussi celle de Gide (mise en abyme). André Gide reçoit le prix Nobel de littérature Résumé  Gertrude

sentiments la plus détaillée. Elle prédomine dans les romans dits « d’analyse » et dans les autobiographies. Le but de nombreux écrivains est de décrire précisément les émotions des personnages mis en scène. On peut donc se demander si un auteur peut, à travers la représentation des sentiments et des actions de ses personnages, donner au lecteur un accès privilégié au cœur humain. Nous verrons tout d’abord comment un lecteur peut, avec ses lectures romanesques, atteindre une meilleure compréhension des

LE COMBAT DE JACOB ET DE L’ANGE Henrik Ibsen : Peer Gynt, acte II, scène 7, p. 61 (édition de François Regnault) André Gide : Les Faux-Monnayeurs, Première Partie « Paris », p. 1210 (Pléiade) Génèse 32 : En revenant dans son pays d’origine après un long séjour chez Laban, Jacob lutte toute une nuit avec un être mystérieux. Cette nuit-là, Jacob fait passer le gué de Yabbocq à ses deux femmes et à ses onze enfants, puis reste seul. Quelqu’un lutte avec lui jusqu’au lever du jour, sans pouvoir

sociale élevée, histoire récente, récit vraisemblable, cohérence psychologique des personnages, refuse extravagances du roman héroïque. Le roman au XVIIIème siècle Représente le monde dans un cadre précis et époque identifiable. • Le roman de mœurs s’attache à décrire la société et ses travers (ex : Manon Lescaut de l’abbé Prévost) • Le roman autobiographique = conquête de vraisemblance, narrateur-personnage • Le roman épistolaire est fondé sur des voix énonciatives. Cherche authenticité

genres selon Gide. C’est cette imprécision qui en fait le genre « fourre-tout » qui englobe tous les genres : il peut y avoir de la poésie, du théâtre, de l’histoire, des textes de presse, de la philosophie, une théorie de l’écriture (Les Faux-Monnayeurs) dans le roman. Le roman correspond au moment où le monde se trouve privé de référent, où l’homme affronte une solitude ontologique et se voit obliger de construire son propre système de valeur. Avènement des Temps modernes, dont le Quichotte

aux lecteurs et spectateurs que leurs personnages sont fictifs ? Les personnages sont l’essence même du roman, il en existe une multitude, tous différents , possédant tous leurs propres caractères, qualités et défauts. On se demandera si un roman ou une pièce de théâtre doivent chercher à faire oublier aux lecteurs et spectateurs que les personnages sont fictifs. En d autres termes, dans un roman ou une pièce de théâtre, les personnages doivent ils être tellement vivants et

histoire longue fictive ou réelle métant en scène des personnages inventées ou réelles et tout cela dans un cadres spacio temporels precis. Il est donc légitime de se demaner si la tâche du romancier quand il crée des personnages ne consiste qu'a imiter le réel. Nous verrons dans un premier que la tache du romancier consiste à imiter le réel et dans un second temps nous verrons pourquoi il ne faut pas que le réel. Oui car: un personnage : état civile : nom prénom profession classes sociales