Les Faux Monnayeurs Techniques Romanesques

faire de la recherche en cosmologie et en théorie des quanta : d’où vient l’Univers ? Comment et pourquoi a-t-il commencé ? Connaîtra-t-il une fin, et si oui, comment ? Questions qui intéressent tout le monde. Mais la science moderne est devenue si technique que seul un tout petit nombre de spécialistes peut maîtriser les mathématiques qui sont au cœur tic la description. Et pourtant, les idées fondamentales sur l’origine et le destin de l’Univers peuvent prendre une forme non mathématique, accessible

petits-enfants Damis et Marianne , sa bru Elmire et le frre de celle-ci, Clante, ainsi qu Dorine, la suivante , une attitude trop mondaine , en totale contradiction avec les austres instructions de Tartuffe, un personnage pieux et respectable selon elle, un faux dvot hypocrite selon les autres, que son fils Orgon a charitablement recueilli. Madame Pernelle reproche sa bru, Elmire, son excentricit et sa prodigalit et au frre de celle-ci, Clante, son ct donneur de leon. Elle considre que Damis, son petit-fils

Francie », les peuples d'outre-Rhin, réfractaires à la latinité, restaient des voisins dangereux, toujours poussés aux invasions. L'Allemagne revendique Charlemagne comme le premier de ses grands souverains nationaux. C'est un énorme contre-sens. Ses faux Césars n'ont jamais suivi l'idée maîtresse, l'idée romaine de Charlemagne : une chrétienté unie. Les contemporains s'abandonnèrent à l'illusion que la Germanie était entrée dans la communauté chrétienne, acquise à la civilisation et qu'elle cessait

Francie », les peuples d'outre-Rhin, réfractaires à la latinité, restaient des voisins dangereux, toujours poussés aux invasions. L'Allemagne revendique Charlemagne comme le premier de ses grands souverains nationaux. C'est un énorme contre-sens. Ses faux Césars n'ont jamais suivi l'idée maîtresse, l'idée romaine de Charlemagne : une chrétienté unie. Les contemporains s'abandonnèrent à l'illusion que la Germanie était entrée dans la communauté chrétienne, acquise à la civilisation et qu'elle cessait

1511) also argued in favour of cultural harmony, a lesson many times rehearsed by scholars at pains to demonstrate that the new learning posed no threat to Christian belief. Neoplatonism But the Italians had not only furnished a set of scholarly techniques: they had also opened new intellectual horizons. Lessons were drawn from the commentaries of Plato and Plotinus undertaken in Florence by Marsilio Ficino (1433–99), which affirmed the power of human will and asserted the primacy of love over reason