Les Fenêtres De Baudelaire

répétition : * Epitrochasme : ce sont les juxtapositions ou coordinations des termes brefs à éléments de même rang dans une structure. Ex : Quand on m’aura jeté, vieux flacon désolé, Des crépit poudreux, sales, abjects, visqueux, fêlés.Charles Baudelaire * Parallélisme (hypozeuxe) : c’est la reprise du même patron syntaxique. Ex : Je suis la plaie et le couteau ! Je suis le soufflet et la joue ! Je suis les membres et la roue ! Et la victime et le bourreau. * L’anaphore rhétorique :

sucub (démon) et le cheval du folklore apporte les cauchemars d’autres personnes par la fenêtre.. Au centre le démon prédomine la femme tout en regardant l’observateur de sons regard rouge sanglant et effrayant Selon des légendes populaires, les deux monstrent qui attaque cette pauvre femme assoupi sont la représentation du cauchemar ( En 1793 Fussli realise un tableau avec ce meme cheval fuyant par une fenêtre emportant le cauchemar à d’autres dormeur. ) En regardant ce tableau le spectateur éprouve

réalité, rend parfait ce qui ne l’est pas, ce qui lui permet de ne parler que de beauté. Un exemple frappant en est donné dans le sonnet « Le Flambeau Vivant » de Baudelaire, très probablement inspiré par Apollonie Sabatier à laquelle le poète voua un sentiment passionné et spiritualisé. Il s’agissait en réalité d’une demi-mondaine, à qui Baudelaire adressa une lettre de rupture après qu’elle lui eut accordé une nuit. Or, dans ce sonnet, la femme aimée apparaît comme un guide spirituel, une figure lumineuse

qu'elle, ainsi relève-t-on le champ lexical de la perception associé à une gradation (qui renvoie aux correspondances horizontales) ; malgré tout, le support visuel domine. Cette inspiration fondée sur la nature se rapproche du romantisme, mais Baudelaire joue avec elle, la dépasse et la transfigure en s'intéressant à Paris. Cette première partie du poème (indépendamment des strophes), consacrée au paysage extérieur, s'oppose à la deuxième qui parle paysage intérieur La création La deuxième

d'automne », Poèmes Saturniens, Paul Verlaine, 1844 « Le ballet des heures », Poésies diverses, Gérard de Nerval, 1851 « L'ennemi », Les Fleurs du Mal, Charles Baudelaire, 1861 « Le Pont Mirabeau », Alcools, Guillaume Apollinaire, 1912 « Un homme passe sous la fenêtre et chante », Elsa, Louis Aragon, 1958 « La fuite du temps », Bleu du Ciel, Ziqing Zhu, 1998 Arrivé dedans Rome Arrivé dedans Rome, en Rome je cherchais Rome qui

 Littérature: Mme Bovary, G. FLAUBERT Parmi les nombreuses critiques faites à l'œuvre Mme Bovary de Flaubert publiée en 1857, celle de Baudelaire-poète du XIXe siècle- cherche à comprendre le personnage féminin d'Emma Bovary. Il la considère avec « ce double caractère de calcul et de rêverie qui constitue l'être parfait ». Flaubert est à son image, il le revendique dans une lettre à Louise Colet en 1852 : « il y a en moi, littérairement parlant, deux bonhommes distincts : un qui est épris de

« prison » (v. 2): « porte », « cachot », « fenêtre », « muraille », « toit » (2 fois), « mur nu », « cachots ». Mouvement d’entrée, d’enfermement, puis d’élargissement, puis de ré-enfermement. L’enfermement rendu par le choix du vers : octosyllabe, suivi d’un vers de quatre pieds : Musset a coupé son alexandrin comme s’il n’avait pas sa place, comme pour mieux l’enfermer. 1 Occupations  « je suis » (passivité, verbe d’état) ; « bouder  à la fenêtre » (plutôt état d’âme qu’occupation), « en

L’Étude Naturelle | L’anthologie poétique sur la nature | | Par un élève de 1S | Année 2012/2013 | Une Anthologie poétique sur le thème de la nature avec les plus grands poètes du XIXème siècle (Victor Hugo, Théophile Gauthier, Charles Baudelaire, Paul Verlaine, Arthur Rimbaud, Guillaume Apollinaire et Blaise Cendrars) | PRÉFACE « Le poète ne doit avoir qu'un modèle, la nature ; qu'un guide, la vérité.  » - Victor Hugo ; extrait des Odes et ballades La poésie est l’expression

et disparaît. Le grand bois jaunissant dore seul la colline. On dirait qu'en ces jours où l'automne décline, Le soleil et la pluie ont rouillé la forêt. Oh ! qui fera surgir soudain, qui fera naître, Là-bas, - tandis que seul je rêve à la fenêtre Et que l'ombre s'amasse au fond du corridor, - Quelque ville mauresque, éclatante, inouïe, Qui, comme la fusée en gerbe épanouie, Déchire ce brouillard avec ses flèches d'or ! Qu'elle vienne inspirer, ranimer, ô génies, Mes chansons, comme

1 « Qu’est ce qu’un poète si ce n’est un traducteur, un déchiffreur ? », disait Baudelaire. La poésie est utile pour décoder les maux de la société, elle permet d’informer ses lecteurs du ressenti des poètes, de leur façon de voir le monde et ce que peut-être nous devrions -nous lecteurs- voir aussi. La poésie est un outil d’information, mais elle peut aussi faire office d’arme lorsqu’il s’agit d’attaquer un gouvernement, de riposter à des idées contraires aux nôtres. Toutefois, la poésie