Les Feuilles Mortes

Anthologie sur le thème de la mort. Pour mon anthologie, j’ai choisi le thème de la mort car les poèmes concernant ce thème que j’ai sélectionné sont parmi ceux des plus connus et parmi les plus intéressants. Je les ai classés en fonction de mes préférences en terminant par mes favoris. Depuis la nuit des temps, l’homme est victime de la mort et s’en sert comme inspiration pour son œuvre littéraire. Tout au long de mon anthologie je vais présenter plusieurs poèmes du 16e au 20e siècle, c'est

d’argent, lyres décorées de têtes de taureau, statuette du «bélier pris dans le buisson» en bois plaqué d’or, l'Etendard d'Ur en nacre sur fond de lapis-lazuli, diadème de feuilles d’or, boucles d’oreilles en or massif, collier d’or, de lapis, et de cornaline de la reine Pû-abi, perruque du roi Meskalamdug, façonnée dans une seule feuille d’or ciselée. Les tombes royales d'Ur ont livré des objets de très belle facture, témoignant de la grande maîtrise des artisans sumériens de l’époque, notamment

de la souffrance. À travers ce recueil vous pourrez repérer les différentes représentations de souffrance. Tout d'abord, vous verrez le mal ressentit par les poètes qu'ils lient à la Nature. Ensuite, vous trouverez la perception des écrivains sur la mort. Enfin, vous découvrirez l'engagement et la dénonciation de la part du poète face à la souffrance vécue autour de lui. En un premier temps, la souffrance des poètes est rapprochée ou représentée par la Nature. Le mal qu'ils ressentent se retrouve

Comme on voit sur la branche, Pierre de Ronsard, Le Second Livre des Amours, seconde partie "Sur la mort de Marie", 1578 RYTHME DES VERS V1--> 6/4/2 syllabes: effet de zoom sur la rose V2--> césure à l'hemistiche qui donne une rythme régulier, équilibré, balancé: harmonie/charme des quatrains (cf v5) V8--> vers ralentit par les "e" prononcés dans le vers + répétition de "feuille" V9&10--> rythme croissant suggérant quelque chose qui se développe V11--> consonnes occlusives--> rythme violent

sur la mort. LECTURE Pierre de Ronsard Le Second Livre des Amours, 1578. « Comme on voit sur la branche au mois de mai la rose » Comme on voit sur la branche au mois de mai la rose En sa belle jeunesse, en sa première fleur Rendre le ciel jaloux de sa vive couleur, Quand l'Aube de ses pleurs au point du jour l'arrose ; La Grâce dans sa feuille , et l'Amour se repose , Embaumant les jardins et les arbres d'odeur ; Mais battue ou de pluie ou d'excessive ardeur, Languissante elle meurt feuille à feuille

TP N°1 : Les feuilles situées sous les chaussures de Monsieur X (SVT/MPS) Indice n°9 : Des fragments de feuilles ont été retrouvés sous les chaussures de Monsieur X. | Hypothèses : 1 /Monsieur X est mort à l’endroit où l’on a trouvé son corps 2/Monsieur X est mort dans un autre endroit et son corps a été transporté | activités Déterminer le nom des espèces végétales correspondant aux feuilles trouvées dans la forêt (endroit où le cadavre a été trouvé) et sous les chaussures

Soulignez les verbes qui évoquent son action. « avec conscience », est-ce possible pour un ver ? 2ème strophe Quel est le sujet évoqué ? Comparez v. 1 et 5 : Que pensez-vous du rythme par rapport à la strophe précédente ? Comment est décrite la mort du lombric ? Quel est le lien entre le ver et la terre ? 3ème strophe Qui est le « tu » ? Relevez 2 comparaisons : Quels sont les mots déjà employés dans les 2 quatrains ? 4ème strophe Qu’est-ce qui épuise la terre ? Relevez une métaphore :

Prabhdeep - 18 5A TRAVAIL CERTIFICATIF L’ANTHLOGIE POETIQUE Cours de Madame Lewahert Institut Sainte-Ursule Année scolaire 2012-2013 TABLE DES MATIERES I. Introduction…………………..p…. II. 1er Cliché : Le poète, une personne voyant la mort comme un refuge * Affirmation du cliché * Infirmation du cliché * Confirmation du cliché III. 2e Cliché : Le poète, un doux rêveur * Affirmation du cliché * Infirmation du cliché * Confirmation du cliché IV. 3e Cliché :

neige. Comme un martinet revole au clocher, Quand je la revis, plein d'ardeurs plus fortes, Il tombait alors des fleurs de pêcher. Ah ! Je te maudis, exil qui l’emporte  Et me veux du cœur l'espoir arracher ! Il ne tombe plus que des feuilles mortes. François COPPEE 20ème siècle Nos amis : les arbres Victor HUGO 19ème siècle Arbres de la forêt, vous connaissez mon âme! Au gré des envieux, la foule loue et blâme ; Vous me connaissez, vous! - vous m'avez vu souvent, Seul dans

convalescence et écrit Calligrammes en 1918. Il épouse la même année une femme du nom de Jacqueline. Affaiblis par sa blessure il meurt le 9 Novembre 1918 de la grippe espagnole. La plus part de ses recueils sont constitué (poèmes à lou) après sa mort. En 1941 un prix Guillaume Apollinaire est créé, ce qui montre l’influence de ses poèmes sur la littérature. En 1951 son nom est donné à une rue dans le sixième arrondissement montrant une nouvelle fois son importance. Son nom est aussi cité sur