Les Feux de l'amour

« rêve » au vers 1, « palmiers » au vers 2, « fêtes amoureuses » au vers 3, « cimes » au vers 5 et « l'ardeur du ciel » au vers 6, qui sont des métaphores qui renvoient au paradis, « la naissance éternelle de Vénus » au vers 8, qui est la déesse de l'amour, de la séduction et de la beauté, « moissons de fleurs » au vers 9 et « la joie du travail nouveau » au vers 15. On a aussi une image vivante de la ville justifiée par les termes « rugissent » au vers 3, « crie » au vers 4, « lumière » au vers 5,

que subit Phèdre. L'aspect physique est aussi mis en évidence par la prépondérance du champ lexical de la sensation et de la vue : aussi au vers 275, l'acte de voir produit l'aveuglement, au vers 297, l'absence de respiration montre l'oppression de l'amour , et le vers 275 souligne le mutisme de la jeune femme. Tout ceci contribue à la perte générale des sens de Phèdre. Enfin, cet amour est apparenté à une maladie comme nous le voyons aux vers 269 et 283 où il est question d'un " mal " et d'un « incurable

Hermione ! Indifférente à mon chagrin, indifférente face à la mort de mon fils, mais sache-t-elle ce qu’est l’amour ? Connaît-elle ce sentiment ? Ne pourrait-elle pas répondre aux demandes d’Oreste plutôt que d’espérer Pyrrhus ? Ne serait elle pas intéresser que par son statut de roi ? Je me ferais un grand plaisir à la rendre jalouse et impuissante en devenant la femme de Pyrrhus. 3eme : Mes feux pour Hector sont loin d’être éteints, ma tendresse pour lui est encore si forte, arriverais je à aimer ou

Pour l'Amour de Cielle La première fois que je l’ai vu, je ne l’oublierai jamais. Un mardi matin je suis entrée dans un café pour prendre un expresso avant d’aller au gymnase. C’était un rite que je suivais tous les deux jours sans se rendre compte depuis que je me suis déménagé à Toronto afin de faire mes études à un collège plus connus. Une fille que(PR) je n'ai jamais rien vu d'aussi belle était assise confortablement à côté d’une fenêtre dans un grand fauteuil bleu nuit(ACC), tenant(PP) un

dons perfides (oh ! maudits soient l'esprit et les dons qui ont le pouvoir de séduire à ce point !), a fait céder à sa passion honteuse la volonté de ma reine, la plus vertueuse des femmes en apparence... ô Hamlet, quelle chute ! De moi, en qui l'amour toujours digne marchait, la main dans la main, avec la foi conjugale, descendre à un misérable dont les dons naturels étaient si peu de chose auprès des miens ! Mais, ainsi que la vertu reste toujours inébranlable, même quand le vice la courtise

à filer la laine, à repriser des habits puants , à faire la cuisine, à laver la vaisselle, à nettoyer le plancher, à veiller les malades la nuit, à rechausser les patates, à préparer les feux,à travailler sur la terre au temps des semailles et des récoltes, enfin, elle devint la femme à tout faire, excepté l’amour.» (p.10) Avec cette énumération d’action, l’on peut remarquer que Donalda est une femme à tout faire. Plus tard dans le roman, elle décèdra parce qu’elle fait tous et tente d’être la mariée

Clitidas? 1 CLITIDAS. — Mais vous plutôt que faites-vous ici, et quelle secrète mélancolie, quelle humeur sombre, s'il vous plaît, vous peut retenir dans ces bois, tandis que tout le monde a couru en foule à la magnificence de la fête, dont l'amour du prince Iphicrate vient de régaler sur la mer la promenade des princesses; tandis qu'elles y ont reçu des cadeaux1 merveilleux de musique, et de danse, et qu'on a vu les rochers et les ondes se parer de divinités pour faire honneur à leurs attraits

L’onde sent un frisson courir A toute brise qui s’élève ; Mon sein tremblait à tout désir. Est-ce un souvenir, est-ce un rêve. Ce souffle ardent qui nous soulève ? Je me souviens, je me souviens ! Force et jeunesse ! ô joyeux biens ! L’amour ! l’amour ! je me souviens ! Est-ce un souvenir, est-ce un rêve ? Ma poitrine est pleine du bruit Que font les vagues sur la grève, Ma pensée hésite et me fuit. Est-ce un souvenir, est-ce un rêve Que je commence ou que j’achève ? Je me souviens

ramifications dans la destruction : à bas la famille, à bas la tradition, à bas le consensus, à bas la tiédeur, à bas l’hypocrisie je veux du feu, de la vie. Cette vitalité est aussi transmission des passions. Le feu brûlant comme Carmen aime le chanter : l’amour est enfant de bohème si je t’aime prend garde à toi. Il fallait l’excès de la passion pour boire à cette source. Mais heureusement, le feu ravageur peut grâce à la rationalité être tempéré. Ce texte est l’expérience d’une réappropriation différente

une passion amoureuse Hippolyte à Pasiphaë. La tare héréditaire mais incestueuse retombe sur Phèdre, sa fille. .   le SUJET Phèdre 
les ADJUVANTS
les OPPOSANTS Oenone Hippolyte ; Aricie ; Thésée ; Phèdre elle-même Commentaires : - L’amour de Phèdre pour Hippolyte est illégitime. Les lois civiles et religieuses l’interdisent. Phèdre se place alors en marge des conventions : de fait, elle s’isole dans une passion qui ne trouve aucune assistance sinon celle, finalement néfaste, de