Les Filles du feu

Le Feu du ciel – Victor Hugo – Les Orientales 24. Alors le Seigneur fit descendre du ciel sur Sodome et sur Gomorrhe une pluie de soufre et de feu. 25. Et il perdit ces villes avec tous leurs habitant, tout le pays à l'entour avec ceux qui l'habitaient, et tout ce qui avait quelque verdeur sur la terre. I La voyez-vous passer, la nuée au flanc noir ? Tantôt pâle, tantôt rouge et splendide à voir, Morne comme un été stérile ? On croit voir à la fois, sur le vent de la nuit, Fuir toute

helicopter managed to land on the roof and rescued six of us before the building collapsed. Salut! Je suis Bill Daniels. Je habite à Chicago. Je travaillais dans mon bureau au 28e étage d'un gratte-ciel. Je étais dicte des lettres à ma secrétaire quand le feu-cloche a sonné. Je me suis précipité hors de l'ascenseur, mais il ne fonctionnait pas. Les escaliers étaient pleine de fumée épaisse. Nous ne pouvions pas descendre, donc nous avons dû aller jusqu'au toit. Quand nous sommes arrivés quelques personnes

lettres, en dessins de feu, piquant l’ombre d’étoiles, filant sur la chaussée, continuellement. Importance également des allitérations en f et en « an »: effet de répétition des mêmes sonorités, ce qui appuie la notion de mouvement. 3) L’importance des sensations Multiplication des notations sensorielles. * Visuelles: « le coup de soleil de ses lustres« , « l’éclat« , « cet ardent foyer« , «  »clartés n’étaient que des étincelles« , « mille flammes dansantes« , « dessins de feu » (en opposition avec

 Direction de l’Organisation et des Systèmes d’Informations Rapport FINAL du stage Sujet : ETUDE DE LA SOLUTION RESEAU SANS FIL DE LA BANQUE Travail réalisé par : M.KOUJOUT Oussama Encadré par : M. Mohammed RIQUI Table des matières Remerciement : 4 Introduction 5 CHAPITRE I : CONTEXTE GENERAL DU PROJET 6 1. Présentation de l’entreprise 6 1.1. Présentation générale de BANK AL MAGHRIB

avec lui et avoir engagé le dialogue bien connu, elle lui demande en effet de sortir pour aller faire ses | | | | |besoins le loup la laisse aller après lui avoir attaché un lien (fil, ficelle, brin de laine, cheveu) à la jambe. Une | | | | |fois dehors, elle se débarrasse du fil, le coupe ou le casse, ou encore l'attache à un arbre, le loup au bout d'un moment| | | | |s'aperçoit de la ruse et tente de lui courir après, sans succès. Comptons les morts : le

Texte 1 : Hugo – Souvenirs de la nuit du 4 (4 déc. 1851) Biographie : Victor Hugo (1802–1885) Écrivain français (Chef de fil des romantiques mais Î aussi au réalisme) Monarchiste, il change d’idée et devient Républicain et se fait exilé par Napoléon III sur les îles anglo-normandes. Marqué par la mort de sa fille Léopoldine. 2/3 œuvres : Les Misérables

Dix,dans son œuvre La Guerre de 1929-32 représente des cadavres dans leur tombe, le sang, les armes de guerre, le feu, ou encore les obus tirés par l'ennemi. L'ensemble se mêle pour donner, au final, une peinture très proche de la réalité. L'arrivée des soldats pendant la guerre provoque des violences contre les populations, qui sont obligés de fuir. Leurs maisons sont mises à feu. La limite entre les lieux de combat et l'espace civil n'existe plus, tout devient militaire. Le génocide arménien de

retrouve alors en plein pléistocène, dans une famille de pithécanthrope erectus très particulière. En effet, le père et chef de famille, Édouard, veut faire évoluer l’espèce. Les inventions du père sont le fil conducteur du livre. On découvre ainsi comment successivement, il a découvert le feu, sa capacité à solidifier les armes de chasse, l’art, la cuisine… Tel un scientifique fou, il cherche continuellement de nouvelles créations qui feront avancer l’espèce entière. Le narrateur est interne à l’histoire

râle, Brisait ton sein d'enfant, trop humain et trop doux ; C'est qu'un matin d'avril, un beau cavalier pâle, Un pauvre fou, s'assit muet à tes genoux ! Ciel ! Amour ! Liberté ! Quel rêve, ô pauvre Folle ! Tu te fondais à lui comme une neige au feu : Tes grandes visions étranglaient ta parole - Et l'Infini terrible effara ton oeil bleu ! III - Et le Poète dit qu'aux rayons des étoiles Tu viens chercher, la nuit, les fleurs que tu cueillis ; Et qu'il a vu sur l'eau, couchée en ses longs

Stendhal va même plus loin dans la puissance du miroir en montrant à quel point la beauté des sentiments de Mina envers Monsieur de Larçay pouvait être entachée par cette cruauté qui l’habite. Stendhal soulignait que Mina était « animé par un feu » un feu qui la pousse à se transformer et révéler sa véritable personne. Ainsi se cache derrière la jeune Mania amoureuse et passionnée, un personnage manipulateur, égoïste, violent et cruel. On retrouve alors cette opposition mentionnée dans la définition