Les Fondements de l'arithmétique

épistémologue, homme politique et moraliste britannique. Il a été affecté plus précisément de Frege. Sa pensée peut être présentée selon trois grands axes : la logique et le fondement des mathématiques, la conception du langage a la suite de ses recherches logiques et troisièmement ses travaux d’axiomatisation de l’arithmétique. Premièrement on peut dire que Russell, avec Frege -qui est l’un des plus grands logiciens avec Aristote, Ockham et Leibniz. Il a créé la logique moderne et plus précisément

cette chance lorsqu'il avait son âge, que l'instruction qu'il a reçu n'était pas aussi variée que ce que lui peut avoir à présent. Dans la ligne 1 ''Le temps n'était pas tant commode aux lettres'' on peut voir référence à l'étude des Belles Lettres, fondements d'une bonne éducation selon les Humanistes, mais pas suffisante pour acquérir un enseignement complet. L'instruction au Moyen Âge est essentiellement basée sur les textes religieux et consiste principalement à les étudier et les commenter en langue

trois dimensions dans l'espace » mais qui ne peuvent cependant pas être démontrées et encore moins réfutées. On a par ailleurs d'autres types d'axiomes qui sont des énoncés que l'on admet pour poser les bases d'une science. Ainsi, l'arithmétique puise ses fondements des axiomes de Peano (« l'élément 0 est un entier naturel », « Tout entier naturel a un unique successeur », « aucun entier naturel a 0 pour successeur », etc...) qui sont des énoncés proposés par Giuseppe PEANO pour définir celle-ci

droit revendiquer et obtenir l'accord des esprits. 3) La méthode mathématique montre le chemin de la vérité Ce qui précède éclaire l'affirmation cartésienne de la plus grande certitude de l'arithmétique et de la géométrie sur les autres sciences : " Par là, on voit clairement pourquoi l'arithmétique et la géométrie sont beaucoup plus certaines que les autres sciences". La raison invoquée par Descartes est celle de la pureté de l'objet des mathématiques strictement rationnel. "C'est que seules

Le texte étudié est un extrait philosophique de Leibniz. Dans ce passage, il développe sa thèse sur la contribution de nos « sens » et donc du problème des fondements de la connaissance. Les sens ne suffisent pas pour mener à la connaissance absolue. Ainsi nous allons essayer de comprendre si les expériences sensibles vécues jouent un rôle dans notre manière de raisonner et dans l’élaboration de nos connaissances. Nous nous interrogerons dans un premier temps sur les sens et les limites des connaissances

les évènements du 11 septembre 2010, on a beaucoup parlé de l'Islam qui a été très médiatisé, souvent avec une connaissance lacunaire de la civilisation et de la religion musulmane et en lui associant des mouvements qui ne relevaient pas de ses fondements. Il importe de ne pas faire d'amalgames, ni de confondre certaines notions. L'Islam est la religion des musulmans, de ceux qui sont soumis au message de Mahomet. C'est un ensemble de prescriptions et de proscriptions. En arabe, le mot islam désigne

les courants de pensée, qu’on l’utilise pour évoquer les idées de la Renaissance. Les « humanistes » sont ainsi nommés parce qu’ils appliquent leur réflexion aux disciplines à dimension « humaine » (telles la philosophie, l’astronomie, l’arithmétique, etc.) par opposition aux dogmes dispensés par l’enseignement théologique. Les découvertes de Copernic (1473-1543) ruinent l’idée que la Terre et l’homme sont au centre de l’univers. Avec la Réforme, l’unité religieuse vole en éclats

ses opinions et que l'on accepte l'incertitude. Quand Alcibiade aperçoit Socrate, il s'enfuit et essaie de se défaire de l'importun par tous les prétextes. Mais Socrate insiste. Il pose des questions sur ce qui est bien établi, met en cause les fondements, par exemple, de l'organisation politique. Pas étonnant qu'on ait fini par lui faire un procès. Le but de Socrate est d'amener son interlocuteur à prendre conscience de sa propre ignorance. Il veut lui faire découvrir qu'il ignore, en fait, ce qu'il

auquel on aboutira. La règle sert également à compter. Selon Boucher, elle est souvent associée aux 24 heures de la journée, qui doivent être entièrement et convenablement employées. La règle se combine alors avec le maillet pour constituer le fondement de la volonté dans l'application. On peut imaginer un maillet virtuel pour différentier les actions les unes après les autres au cours de la journée. Mais la mesure renvoie aussi au sens de la proportion et de la nuance. Il faut souvent mesurer

PREMIERE MEDITATION     Abrégé : Dans la première, je mets en avant les raisons pour lesquelles nous pouvons douter généralement de toutes choses, et particulièrement les choses matérielles, au moins tant que nous n'aurons point d'autres fondements dans les sciences, que ceux que nous avons eus jusqu'à présent. Or, bien que l'utilité d'un doute si général ne paraisse pas d'abord, elle est toutefois en cela très grande, qu'il nous délivre de toutes sortes de préjugés, et nous prépare un chemin