Les Francais Et La Monarchie 1788 1793

François-René de Chateaubriand François-René, vicomte de ChateaubriandN 1, né à Saint-Malo le 4 septembre 1768 et mort à Paris le 4 juillet 1848, est un écrivain romantique et homme politique français. Il est considéré comme l'une des figures centrales du romantisme français et de la littérature française en général. Si le rôle politique de Chateaubriand dans la mouvance royaliste au moment du Premier Empire et de la Restauration est resté mineur, il en va tout autrement dans le domaine littéraire

existant dans toute l'Europe, Angleterre, Allemagne, Italie, France, particulièrement représenté en France car il à quelques philosophes de renom, Voltaire, Rousseau, Diderot, dans certains pays on l'appelle la philosophie française. A l'époque le français était la langue internationale pour les personnes instruites. La philosophie des Lumières est une philosophie très composite, auteurs très différents, Voltaire et Rousseau, par exemple, ne partageaient pas les mêmes idées politiques. Ce qui fait

autres et ne peut donc les commander par droit de nature. Il présente l’idée que les hommes attribuent le pouvoir à un personne qu’ils choisissent, et que cela doit se faire par la majorité (pas forcément idée de démocratie). Il considère que la monarchie est préférable car c’est un facteur d’unité. Selon lui, le monarque pour bien gouverner doit être moral, et doit s’entourer de conseillers sages, il considère qu’il y a des limites au pouvoir, et qu’il n’y a pas de suprématie universelle (le pape

-le libéralisme anglais précurseur -le nationalisme républicain français -Le Romantisme célèbre le sentiment nationaliste -Les écrits révolutionnaires français porteurs d’un idéal qui conteste la légitimité de la monarchie Le babouvisme et la conjuration des égaux préfigurent le marxisme

assemblée de notables non appelés * Les parlementaires ont attributions des assemblées * Opposition parlementaire non représentative * Opposition parlementaire automatique donc avortement des réformes * Dualité entre parlementaires et monarchie * Les intendants sont devenus les agents administratifs les plus féroces dans le royaume: ils contrôlent la police, la justice et les finances. * les provinces ne peuvent plus faire valoir leurs intérêts locaux * centralisation excessive

royaume et l'une des principales prérogatives de l'empereur romain c'était le pouvoir de faire la loi, la tradition qui s'installe est que la loi est l'expression de la volonté du souverain. Une loi perçue comme expression de la volonté du roi, en 1788, Louis XVI est en conflit avec le parlement de Paris, il répond « c'est légal parce que je le veux », il exprime la souveraineté, les philosophes entendent faire de la loi l'instrument d'une garantie des droits naturels. Le sens du mot révolution,

par l’extrémisme, n’a cessé de gangréner le débat politique français. Les parlementaires sont en effet jugés incompétents, élitistes et inefficaces. Mais c’est pourtant dans la réhabilitation du parlementarisme que la plupart des acteurs et des observateurs du monde politique voient l’un des instruments majeurs d’une rénovation démocratique. L’objet de cet ouvrage est donc de retracer et synthétiser l’histoire du Parlement français, des origines à nos jours. Prologue : le roi, les

Période monarchique (1789 - 1792) - Constituante 1789 - 1791 - Législative Période républicaine (1792 - 1799) Consulat Premier Empire Restauration 1799 - 1804 1804 - 1814 (Règne de Napoléon 1er) 1814 - 1830 (Les Bourbons) - Louis XVIII - Charles X Monarchie de Juillet Deuxième République Deuxième Empire Troisième République Régime de Vichy (Me Pétain) Transition constitutionnelle Quatrième République Cinquième République 1814 - 1824 1824 - 1830 - Convention - Directoire 1792 - 1795 1795 - 1799 1791

Cette compilation ne fut pas connue dans l’empire romain d’occident. On ne la découvre qu’en fin du 12e S. Elle aura une influence jusqu’à nos jours. Section III : L’héritage technique du droit romain §1. Les distinctions fondamentales du français Ces distinctions sont appelées ‘summa divisio’. A- La distinction entre le droit public et le privé On constate cette distinction chez Ulpien : « Le droit public comprend tout ce qui concerne le statut de l’état romain. Le droit privé comprend

la puissance seigneuriale s’affaiblit, car elle est peu adaptée à cette nouvelle économie. L’étau seigneurial se desserre, on voit apparaitre des libertés nouvelles. Parallèlement les ensembles territoriaux plus importants se reconstituent : la monarchie s’impose comme le modèle politique dans toute l’Europe. Renouveau de la puissance royale contre la féodalité. Le droit, dans ce mouvement dynamique, ne va pas rester à l’écart, et l’outil juridique va être progressivement maitrisé : il devient une