Les Frères Grimm

par l’être humain, en tant qu’individu et ou membre d’une société. Parmi les problèmes universels subsiste celui de l’argent comme vecteur d’ascension sociale ou de déclins. Le thème de l’argent passionna les Hommes depuis la nuit des temps, les Frères Grimm par exemple, dans La Petite Table, l’Ane et le Bâton, mettaient en scène un âne qui crachait de l’or. Ce fantasme humain nourrit l’imagination de nombreux auteurs et artistes, parmi ces hommes de lettres se trouve Honoré de Balzac, artiste prolifique

tous plusieurs identités, dont l’identité nationale. On construit un folklore national, une histoire en commun : -Les frères Grimm : l’Allemagne du début 19e siècle = plein de petits Etats (une 20aine). Ils voient la révolution en France et aspirent à un Etat Nation moderneàil faut donc produire une Nation allemande mais il est difficile d’identifier les citoyens. Les frères Grimm commencent par parcourir les campagnes et retranscrivent tout ce qui se raconte comme histoires orales. « Partout les

l’invention des « comics » et de la presse enfantine Si les premiers jalons de la littérature enfantine telle que nous la connaissons aujourd’hui, sont tracés, en Europe, par les Fables de La Fontaine, les Contes de Perrault ( 1691) et ceux des frères Grimm ( 1820), il faut 1 attendre le milieu du XIX° siècle, le développement de la technologie et, par la suite, de l’instruction obligatoire, pour que la littérature de jeunesse, se constitue véritablement. Elle s’élabore, à cette époque-là,

oraux transmis de génération en génération lors des veillées, sans qu’on en connaisse les auteurs. C’est Charles Perrault, au XVIIe siècle, qui met les contes à la mode, en les enjolivant et en les moralisant. En Allemagne, au XIXe siècle, les frères Grimm, au contraire, prétendent transcrire les contes populaires dans toute leur originalité. Ce n’est que vers la fin des années trente que Walt Disney commencera à produire des longs métrages adaptés de contes célèbres dont le premier est Blanche-Neige

adoptent le style néoclassique. Ce style incorpore des éléments gréco-romains avec des colonnes, des frontons, proportions harmonieuses, et des portiques. On délaisse les ornements chargés pour des lignes épurées et des lignes symétriques. En 1763, Grimm va écrire : « Depuis quelques années, on a recherché les ornements et les formes antiques ; le goût y a gagné considérablement et la mode en est devenue si générale que tout se fait aujourd’hui à la grecque, la décoration intérieure et extérieure

sentiments. Les œuvres sont surtout philosophiques et aussi religieuses, moins d’œuvre de fiction. Les Allemands vont plutôt être des théoriciens romantiques que des créateurs (ex : Les frères Schlegel : Athenaüm une revue dans laquelle va apparaitre des articles sur le romantisme. Brentano-Arnim : Les frères Grimm).Le premier élément des théories : - Le refus d’une culture élitiste. - La volonté d’élargir ce que l’on considère comme la littérature avec l’entrée dans

arguments du romancier.» La Religieuse ne fut publiée qu'en l'an V (1796) de la République française, et quoiqu'elle fût alors composée depuis trente-cinq ans, elle s'était si peu répandue hors des sociétés du baron d'Holbach et de Mme d'Épinay, que Grimm lui-même, en 1770, n'en parlait que comme d'une ébauche inachevée et très-probablement perdue. Voilà donc toute la fable de l'influence du roman sur les législateurs de 1790 à vau-l'eau. Nous ne faisons pas cette rectification pour diminuer l'influence

consacrées au choix d’un conte par les élèves. Un seul conte devait être retenu par la classe pour permettre les échanges de textes ainsi que la lecture finale à destination des élèves de CE2. Après qu’ils eurent choisi les Trois Petits Cochons des frères Grimm, une lecture collective de ce conte fut réalisée afin de fixer les principaux événements du récit et leur chronologie. Une séance servit alors à la rédaction du premier jet : la consigne d’écriture était la suivante : «  Ecris une parodie

mener à bien une écriture longue au terme de laquelle  les élèves auront produit à leur tour un anti-conte de  fées. Le professeur pourra s’assurer de la bonne marche  du travail à chaque étape. L’étape 1 présente l’objet d’inspiration aux élèves. Le  choix d’un conte des frères Grimm est cohérent avec  la nouvelle de Maupassant, analysée comme un conte  inversé, inspiré de Cendrillon. On donne le résumé de  l’intrigue pour permettre de provoquer l’inspiration  sans que l’élève ne se perde dans les méandres du récit  intégral

été baptisé dans notre Eglise paroissiale, le fils de M. de Secondat, notre seigneur. Il a été tenu sur les fonds par un pauvre mendiant de cette paroisse, nommé Charles, à telle fin que son parrain lui rappelle toute sa vie que les pauvres sont nos frères. Que le Bon Dieu nous conserve cet enfant.» La famille de Montesquieu était de bonne noblesse, d’épée et de robe qui se distinguaient par leur honnêteté et leur amour du bien public. Elle avait adopté la Réforme en son temps et l’avait abjurée avec