Les Fresques Du Bon Gouvernement Des Frères Lorenzetti

service de l’éducation des citoyens ». C’est par cette phrase que l’on peut résumer l’œuvre d’Ambrogio Lorenzetti. Les documents qui nous sont proposés d’étudier sont des fresques. Une fresque est une technique de peinture murale, représentant une époque, une société. Elles représentent les scènes du bon gouvernement de Sienne et les effets de ceux-ci en ville et à la campagne. Les titres de ces fresques sont le résultat de l’interprétation qu’en fit Achille Lanzi en 1792, auparavant, comme on le constate

des murs latéraux pour laisser passer la lumière en France à travers les vitraux, malgré la diffusion de la maniera tedesca (manière germanique = le gothique) qui s’est répandue au XIVe, l’Italie maintient la tradition de la mosaïque et de la fresque ( : passant du traitement al seco fragile au buon fresco c’est à dire l’enduit humide qui rend la peinture plus résistante). Autre changement essentiel, la peinture sur panneaux, les retables peints qui se multiplient. Iconographie et style gothiques

plastiques en Italie, puis plus tard en Europe occidentale. De la Toscane à l’Ombrie, leur créativité se traduit par une production intense d’œuvres sur panneaux de bois ou de fresques à sujets religieux, multipliant les chefs-d’œuvre et produisant quelques génies exceptionnels qui ont nom Cimabue, Duccio ; Giotto, Lorenzetti… Cette révolution picturale ne s’est pas faite du jour au lendemain, ni ex-nihilo. S’il y a, objectivement, à partir de 1280-1300, une évolution observable dans les peintures

du marquis. ■ UNE STRUCTURE DE REPRÉSENTATION ANCIENNE L’Allégorie et du bon et du mauvais gouvernement La disposition dialectique de La cour et de La rencontre évoque une tradition célèbre de peinture qui met côte à côte l’Allégorie d’un pouvoir et les effets de ce pouvoir. Voir par exemple la fresque de l’Allégorie et du bon et du mauvais gouvernement et leurs effets sur la ville et la campagne de Ambrogio Lorenzetti en 1337/1340 à Sienne (1 siècle plus tôt). Paroi gauche, l’Allégorie : Autour

des retables. Italie au XIV-XV ème: mosaïque de cités état autonomes et indépendantes avec différents types de gouvernement. À la tête de ces cités états, on trouve de grandes familles puissantes, les Médicis à Florence, les Visconti puis les Sforza à Milan, la famille d'Este à Ferrare, les Gonzague à Mantou, les Doges à Venise. Chacune de ces famille est à la tête du gouvernement. Ces états sont souvent rivaux. Cela crée une situation mouvante et cela a des influences sur les arts. Néanmoins

la superposition de plusieurs couches de peinture extrêmement délicates, qui donne au sujet des contours imprécis. - Soucis de construction, assiettes pas vues en perspective centré. Il redresse optiquement les choses. La perspective de la fresque prolonge la salle réelle du réfectoire par le trompe-l’œil du plafond à caissons, d'ouvertures au fond de la salle, et des murs latéraux recouverts de tapisseries et percés de portes. Une série d’incisions encore visibles a servi à Léonard de Vinci

repli des habitants de différentes cités (Trévise, Aquilée, Uderzo) alors soumises à la domination byzantine de Constantinople.A la suite de luttes de différentes factions, c'est finalement à Rivoalto (futur Rialto) que s'opèrera le transfert du gouvernement du Doge Angelo Partecipacio en 811.La naissance de Venise, sous la protection et l'Alliance de Byzance est alors effective.L'arrivée des reliques de l'Evangeliste Saint Marc en 827 renforce l'Etat vénitien naissant, en dépit de sa dépendance à

déjà là. Les changements de mentalité affectent tous les domaines : 1) Domaine philosophique : AuMoyen-Age, la pensée tourne autour de Dieu, de la religion. Il y a des intellectuels influencés par cette église Théocratie(Société dans laquelle le gouvernement est exercé par l'autorité religieuse). A la Renaissance, cela va changer et va donner lieu àl’anthropocentrisme. La Religion perd de son pouvoir. L’humain s’intéresse au monde physique qui l’entoure, auquel il a accès. Cet intérêt va justifier

Charles VII. — II. Louis XI et les dernières coalitions féodales (1461-1473). — III. La lutte contre Charles le Téméraire et le démembrement de l’État bourguignon (1473-1482). — IV. La politique espagnole de Louis XI. — V. Le gouvernement de Louis XI. — VI. Le gouvernement royal au lendemain de la mort de Louis XI (1483-1492). — Bibliographie. Chapitre III. — La monarchie anglaise au temps de la guerre des deux roses et l’avènement d’Henri Tudor. I. Les débuts de la guerre civile (1450-1461)

lien avec la grande émigration européenne. ❏ Une approche HDA est proposée, notamment par l’étude d’un motif significatif, les danses macabres (pages 14-15) mais aussi par des exercices d’analyse de différents supports artistiques, comme une fresque ou encore une statue (page 30) qui est abordée en tant qu’allégorie (la statue de la Liberté). Une approche de l’immigration italienne aux États-Unis par l’étude d’une scène d’un film est également proposée (page 29). ❏ Des choix multiples proposés