Les Furies

l’âge adulte, Oreste exécute l’oracle d’Apollon qui est de venger son père en tuant Égisthe et Clytemnestre. Ce crime réveille alors la vengeance des Erinnyes, qui viennent tourmenter Oreste. La ville d’Argos est détruite, et Oreste, poursuivi par les Furies[2], erre jusqu’à Delphes où il est purifié. Il est ensuite présenté devant le tribunal athénien de l’Aréopage où il est jugé par Athéna, qui lui donne raison. L’assemblée des citoyens d’Athènes décide alors de l’absoudre du meurtre de sa mère. Les

participent à l'action, les Euménides bâillonnent Oreste afin qu'il ne puisse pas répondre à l'appel d'Electre, le Mendiant répond à la place de Clytemnestre pour éviter qu'Egisthe n'apprenne le retour d'Oreste. Les Euménides ne sont plus exactement les Furies vengeresses de la mythologie grecque qui poursuivent le meurtrier par des remords. Ce sont plutôt le double en négatif d'Electre: elles s'opposent à sa volonté, elles font resplendir devant les yeux d'Oreste le bonheur tranquille auquel Electre veut

remarquables. ➢ l'Érèbe (la région la plus proche de la surface) C'est ici que doivent attendre les âmes dont les corps n'ont pas été enterrés selon les rites pour une période de cent ans. On y trouve également le palais de la nuit, Cerbère, les Furies et la Mort. ➢ Le Pré de l'Asphodèle (ou Plaine des Asphodèles) C'est l'endroit où séjournent la plupart des fantômes des morts, qui y mènent une existence insubstancielle et sans objet. ➢ Le Tartare La prison des dieux. À l'intérieur

sa fille pis y dit ..LA QUAND LES MACHINES A COUDES ARRIVENT SAUTE DESSUS …a mergarde pis a rajoute SOIS PLUS VITE QULA TAPPETTE la y’arrive 8h – 5 on est toute a l’entour dla porte du backstore pis on attend qui sortent MOI PIS 35 COUTURIERES EN FURI LA l,autre bord dla porte les commis yont la chienne la sont en train de tirer a pile ou face pour savoir qui va pousser lchariot pis j’les comprend pis c’est meme pas un jackasss la OK MAN TA UN CHARIOT DE MACHINE A COUDE PIS FAUT QU’TU TRAVERSE

régit pour lui le monde entier des choses. Rien n’y peut advenir qui par nature excède la mesure de l’homme. Les pires bouleversements de l’histoire ne sont que rythmes saisonniers dans un plus vaste cycle d’enchaînements et de renouvellements. Et les Furies qui traversent la scène, torche haute, n’éclairent qu’un instant du très long thème en cours. Les civilisations mûrissantes ne meurent point des affres d’un automne, elles ne font que muer. L’inertie seule est menaçante. Poète est celui-là qui rompt

Terre. Uni à sa mère, il engendra les Titans et les Titanides, les Cyclopes et les géants aux cent bras. Les Titans, menés par leur chef, Cronos, détrônèrent et mutilèrent Uranus. Son sang féconda à nouveau Gaïa qui donna naissance aux Érinyes, ou Furies, qui sont chargées de venger les parricides et les parjures.) - et de Gaïa, le ciel et la terre, et quelques-uns des enfants de ces douze.  Souvent appelés les anciens dieux, ils furent pendant longtemps les maîtres suprêmes de l'univers.  Ils

émasculer son père. Au moment où Ouranos revient vers Gaia pour remplir ses obligations d’époux, Cronos castre son géniteur et envoie ses parties génitales dans la mer. Du flot de sang versé dans la mer naissent d’autres monstres : les Géants et les Furies (Erinye). De l’écume de la mer, nait également la déesse Aphrodite (future déesse de l’Amour). La naissance des dieux de l’Olympe Après avoir éliminé son père, Cronos se proclame roi du Ciel. Il épouse sa sœur, Rhéa, une titanide et ils font beaucoup

époque avec la nature, et croyaient dépendre du destin comme elle dépend de la nécessité. L'homme, réfléchissant peu, portait toujours l'action de son ame au dehors; la conscience elle-même était figurée par des objets extérieurs, et les flambeaux des Furies secouaient les remords sur la tête des coupables. L'évènement était tout dans l'antiquité, le caractère tient plus de place dans les temps modernes; et cette réflexion inquiète, qui nous dévore souvent comme le vautour de Prométhée, n'eût semblé que

brûlure alors qu’au sens figuré l’ulcère désigne les souffrances infligées par l’amour, et le cœur dévoré par le mal. · Enfin l’apostrophe lyrique « O fureur », exprime ses sentiments, de plus cette apostrophe fait allusions aux 4 fureurs antiques (furies), l’amour est ainsi placé au même titre que la poésie donne amour.III. La mort des combattants et la mort de l’amour Au vers 9 : nous pouvons retrouver éléments merveilleux tel que d’animaux qui semblent imaginaires, ici le chat-pard et la onse .

pourrions prendre comme exemple le dernier vers de la tirade d’Oreste : «  Et je lui porte enfin mon cœur à dévorer ». On pourrait dire que ce vers résume très largement l’histoire : Hermione est morte et pour Oreste, elle fait désormais partie des Furies mais il l’aime toujours et lui laisse donc son cœur à dévorer. Enfin, cette analyse nous montre que cet extrait fait parti d’une scène de dénouement dans une tragédie. La dernière tirade d’Oreste reprend le thème de la fatalité qui avait