Les Fusilles Victor Hugo

dans lequel il rend hommage à Manouchian, résistant arménien fusillé avec ses vingt-deux compagnons en 1944. Pour écrire son poème, Aragon à repris des passages de la lettre de Manouchian à sa femme Mélinée. Dans ce poème, Aragon retransmet toute l'humanité qu'avait Manouchian avant de mourir mais aussi la paix que celui-ci portait dans son cœur au moment de son exécution. Nous pouvons aussi citer le poème de Victor Hugo intitulé Melancholia dans lequel le poète dénonce l'injuste

objectifs, le poète engagé doit : -         toucher la sensibilité du lecteur : l’émouvoir, l’indigner -         toucher l’esprit du lecteur : le faire réfléchir, l’amener à une prise de conscience social (injustice, inégalité, misère, racisme…) : Victor Hugo, grand auteur romantique du 19°siècle s'est préoccupé tout au long de sa vie, du sort des misérables et a lutté, contre toute formes d'injustices sociales. Dans Mélancholia qui fait partie des Contemplations (1856), il évoque le travail dur et pénible

-Victor Hugo s'adressant à l'Assemblée- Je voudrais m'adresser à tous les membres de cette Assemblée. Alors que je me dirigeais à la Chambre des Pairs, j'ai vu et observé un jeune homme, un pauvre gamin d'une trentaine d'années. Il venait de se faire arrêter par deux soldats. Messieurs, l'homme était un miséreux et son apparence physique en témoignait d'avantage. Vêtu de guenilles et chaussé comme un cordonnier, il souffrait, sa pâleur était incontestable et sa maigreur était telle que j'avais peur

L'aïeule regarda déshabiller l'enfant, Disant : - comme il est blanc ! approchez donc la lampe. Dieu ! ses pauvres cheveux sont collés sur sa tempe ! - Et quand ce fut fini, le prit sur ses genoux. La nuit était lugubre ; on entendait des coups De fusil dans la rue où l'on en tuait d'autres. - Il faut ensevelir l'enfant, dirent les nôtres. Et l'on prit un drap blanc dans l'armoire en noyer. L'aïeule cependant l'approchait du foyer Comme pour réchauffer ses membres déjà roides. Hélas ! ce que

« jeunes » qui lancent des pavés dans les vitrines, mais de jeunes casseurs .Ce ne sont pas tous les jeunes qui incendient les voitures, mais de jeunes incendiaires .Enfin, ce n’est pas toute la jeunesse qui tue à coups de couteau, de massue et de fusil, mais quelques jeunes assassins. Il est donc injuste d’amalgamer par le même vocabulaire une minorité de diverses catégories d’asociaux et une majorité de jeunes citoyens normaux et loyaux. C’est non seulement un abus de langage, mais une atteinte

qu'ils étaient plus là , ce serait à moi de reprendre la relève , et qu'ils m'aimaient , j'étais le soleil de leurs vie et malgré ce que je pensais , j'avais illuminé leur vie dans ce monde obscure. Accompagné de la lettre il y avait des livre , Victor Hugo , Albert Camus , Paul Eluard , Émile Zola … des tonnes et des tonnes de livres m'entourait , il y avait aussi des un poste de radio , j'en avais déjà vu en photo mais jamais en vrai , puis il y avait des sortes de cercles dans des pochettes . Étant

est actuellement exposé au musée du Louvre à Paris. Je la place dans le domaine de l'art du visuel. Sur cette toile on voit une femme portant le bonnet phrygien avec une robe, mais dénudée au niveau de la poitrine, portant dans sa main gauche un fusil avec une baillonette et dans sa main droite le drapeau tricolore de la France. A sa droite, un adolescent avec deux pistolets dans les mains et une sacoche en bandoulière. A gauche du tableau une foule d hommes armés suivant la femme qui les regarde

peintre. Enfin, nous donnerons quelques exemples illustrant l’influence de Marianne de sa naissance à aujourd’hui. « N'est ce pas le siècle des choses incroyables ? Nous avons été pendant trois jours au milieu de la mitraille et des coups de fusils. Le simple promeneur comme moi avait la chance d'attraper une balle, ni plus ni moins que les héros improvisés armés de manches à balais. Tous ce qu'il y a de gens de bon sens espère que les faiseur de république consentiront à se tenir en repos

...................4  De la Fontaine (XVIIème) ­ La Ligue des rats……………………………….5  Claude Joseph Rouget de Lisle (XVIIIème) ­ La Marseillaise……………..7  Arthur Rimbaud (XIXème) ­ Le dormeur du Val……………………………..9  Victor Hugo (XIXème) ­ Depuis six mille ans la guerre……………….......11  Victor Hugo (XIXème) ­ Après la bataille………………………..……….....12  José Maria de Hérédia (XIXème) ­ Les Conquerants………………….....14  Boris Vian (XXème) ­ La Java des Bombes Atomiques……………...…...16  Boris Vian (XXème) ­ L’Evadé…………………………………

Souvenir de la nuit du 4 Victor Hugo, Les Châtiments L'enfant avait reçu deux balles dans la tête. Phrase portant sur un fait réel; description de la mort de l'enfant : sujet du poème Le logis était propre, humble, paisible, honnête ; Description de la scène où se déroule l'histoire contée par le poéte : adjectifs qui complète l'état du logis => simple, sans soucis On voyait un rameau bénit sur un portrait. Image de la bénédition, et d'un aspect religieux