Les Fusilles Victor Hugo

à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! » O servitude infâme imposée à l'enfant ! Victor Hugo Le ciel est, par-dessus le toit... Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre

finale. Le corps profilé est éclairé à droite. Son flanc droit sombre se détache sur un panache de fumée. Appuyée sur son pied gauche nu qui dépasse de sa robe, le feu de l’action la transfigure. L’allégorie est la vraie protagoniste du combat. Le fusil qu’elle tient à la main gauche, modèle 1816, la rend réelle, actuelle et moderne. Les gamins de Paris Ils se sont engagés spontanément dans le combat. L'un d'entre eux, à gauche, agrippé aux pavés, les yeux dilatés, porte le bonnet de police des voltigeurs

Rochefort L’évadé Victor Henri de Rochefort Luçay, il a écrit l évadé romans kanak qu’il écrit en 1881 il raconte aussi son aventure dans un texte en retour à la Nouvelle Calédonie et les aventures de ma vie. Au centre de chacun de ces textes l’évasion réussi avec cinq de ces compagnons dans la nuit du 20 mars 1874. Par cet acte il rentre dans les mémoires. Ecrivaillon de théâtre, il était quand même un peu plus réussi comme journaliste. Ses qualités d’écriture on va les retrouver dans l’Evadé

Objet d'étude : Le roman et ses personnages : visions de l'homme et du monde. Textes : Texte A : Honoré de Balzac, Le Père Goriot, 1835. Texte B : Emile Zola, Germinal, 1885. Texte C : Guy de Maupassant, Bel Ami, 1885. Texte D - Victor Hugo, Quatre-vingt-treize, 1874. Texte A : Honoré de Balzac, Le Père Goriot, 1835. [Sous la Restauration, durant le règne de Louis XVIII, en 1819, la duchesse de Langeais, aristocrate de haut rang du faubourg Saint-Germain, raconte à son amie madame

s'interroger. Nous allons donc vous présenter quelques exemples d’artistes et d’œuvres traitant de la peine de mort : Citations « Mort à toute peine de mort ! » Georges Brassens. « La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie. » Victor Hugo. « Si l'on veut abolir la peine de mort, en ce cas, que messieurs les assassins commencent. » Alphonse Karr. « Mais qu'est-ce donc que l'exécution capitale, sinon le plus prémédité des meurtres auquel aucun forfait criminel, si calculé soit-il,

Vian. Les sept poèmes d'amour en guerre, Paul Eluard. Le dormeur du Val, Arthur Rimbaud. L'oiseau blessé d'une flèche, Jean de la Fontaine. Seul contre tous, Charles Cros. Pater Noster, Jacques Prévert. Où vont tous ces enfants.. , Victor Hugo. La révolte, Emile Verhaeren. Il est peu dire que la poésie est universelle : elle parle à tous les peuples de toutes les époques, il s'agit donc d'une des plus anciennes formes littéraires. Les poètes peuvent faire passer un

1955 à la mémoire des membres du groupe Manouchian, résistants étrangers fusillés par les Allemands, le 21 février 1944, lors de l’inauguration de la rue du ‘’Groupe Manouchian‘’à Paris. En effet, à travers ce poème, inspiré de la ‘’Dernière lettre‘’ écrite par Manouchian Missak, Aragon dénoncera la xénophobie (hostilité systématique manifesté à l’égard des étrangers), la collaboration …etc, et rend hommage à ces héros fusillés par les Allemands (GESTAPO) .L’annonce de leur mort a été faite par le

Edition L’Ecole des loisirs ou autre édition abrégée. (Intérêt de cette lecture : roman d’époque, de cape et d’épée, et vie des comédiens au XVIIème siècle) Les Trois Mousquetaires, Alexandre Dumas, Edition L’Ecole des loisirs Les Misérables, Victor Hugo édition L’Ecole des loisirs. Jacquou le Croquant, Eugène Le Roy, édition Le Livre de poche jeunesse Les Contes de la Bécasse, Maupassant La Vénus d’Ille, Prosper Mérimée Carmen, Prosper Mérimée Nouvelles histoires extraordinaires, E. Poe La Fille

finale. Le corps profilé est éclairé à droite. Son flanc droit sombre se détache sur un panache de fumée. Appuyée sur son pied gauche nu qui dépasse de sa robe, le feu de l’action la transfigure. L’allégorie est la vraie protagoniste du combat. Le fusil qu’elle tient à la main gauche, modèle 1816, la rend réelle, actuelle et moderne. Les gamins de Paris (Ils se sont engagés spontanément dans le combat. L'un d'entre eux, à gauche, agrippé aux pavés, les yeux dilatés, porte le bonnet de police

révolutionnaires. Les prises d’assauts ont lieu au milieu des cadavres et des blessés. Ces prise d’assauts sont réalisées par un groupe d’homme d’origines sociales diverses. Ils sont menés par une jeune femme au buste dénudé, drapeau tricolore a la main et fusil dans l’autre. b. Différents plans 1er plan : le premier est occupé est occupé par le corps les victimes et des blessés : c’est une avant-scène morbide qui illustre un slogan révolutionnaire « la liberté ou la mort »