Les Fusillés De Hugo

des héros » Victor Hugo, grand auteur du XIXème siècle, est né en 1802 et mort en 1885. Ses œuvres couvrent tous les genres, et Les Misérables est sans doute l’un de ses plus beaux romans, comme le montre le grand nombre d’adaptations cinématographiques et de comédies musicales. Un héros est non seulement le personnage principal d’une histoire, mais de plus, certaines qualités lui sont couramment attribuées : il est beau, fort, courageux, loyal. Victor Hugo a, dans nombre de ses œuvres

 1)Contexte historique La révolution de 1848 marqua un tournant dans la vie de Victor Hugo, qui commença alors une carrière politique. Le 2 décembre 1851, le poète tenta d’organiser la résistance au coup d’état. Puis il dut partir et se réfugia à Bruxelles. Son opposition féroce face à Napoléon III, qu’il appelait « Napoléon le Petit », le rendit très populaire. Rayé en 1859 de la liste des proscrits, il refusa de rentrer en France avant la chute du Second Empire. Installé à Jersey, puis

Anthologie sur la Guerre "Guernica" de Pablo Picasso, peint en 1937. Année 2012-2013 Sommaire : Préface...................................................pages 3 et 4 Après la Bataille de Victor Hugo...........................pages 5 et 6 Les fusillés de Victor Hugo......................................pages 7 et 8 Le Mal de Arthur Rimbaud..............................................pages 9 et 10 Le Dormeur du Val de Arthur Rimbaud....................pages 11 et 12 Mort

Objet d’étude : le personnage de roman du 17ème siècle à nos jours : Devoir type BAC. Commentaire Composé de l’extrait des Misérables de Victor Hugo Grand poète, dramaturge et romancier, Victor Hugo est l'un des plus grands écrivains du XIXe siècle. Les Misérables, publié en 1862, est un roman historique et social, dans lequel Victor Hugo décrit la vie du peuple à travers l'histoire du bagnard Jean Valjean, mais aussi d'autres personnages emblématiques, comme Fantine, la prostituée, Cosette

Anthologie poétique sur la Guerre L'affiche rouge, Le Roman inachevé de Louis Aragon A L'Italie, Caligrammes de Guillaume Apollinaire Les fusillés, L'anné terrible de Victor Hugo Mort!, Poème divers de Paul verlaine Le dormeur du val, Demeny d'Athur Rimbaud L'Homme et la mer, Les Fleurs du mal d'Athur Rimbaud Source des poème:http://www.poetica.fr/categories/guerre/ Guernica tableau de Pablo Picaso evoquant la guerre en espagne des allemands contre des civils. Préface La

est composé de quatre poèmes lyriques, d'époques différentes, suivis d'un extrait de la préface des Contemplations de Hugo. Ils présentent les caractéristiques du registre lyrique. Le texte A « Aujourd’hui » est écrit par Victor Hugo en 1856, il est tiré du recueil Les Contemplations. La mort de sa fille Léopoldine est une grande tragédie et un moment très mal vécu par Victor Hugo. Il développe l’évocation de sa douleur de père et a recours à l’élégie pour exprimer à la fois le peu qu’il peut faire

LES MISERABLES, Victor HUGO Dans le roman Les Misérables, que Victor Hugo, auteur réaliste, romantique et républicain à écrit en 1862, le héros c’est le peuple, sublime et sacrifié. Peuple incarné par un ancien bagnard, Jean Valjean, une femme abandonnée, Fantine et sa fille Causette, et enfin Gavroche, l’enfant des barricades. Ils deviennent ainsi l’enjeu du roman social autant que des aspirations de ce 19 e siècle des Révolutions. Dans cet extrait du chapitre « Gavroche Dehors » nous allons

POESIE ET ENGAGEMENT Souvenir De la Nuit du 4, Victor Hugo [ Les Châtiments ] Introduction du poème → Commémoration du Coup d’état de Napoléon III du 2 Septembre 1851 → Témoignage de Victor Hugo (= Témoin de la Scène) = Maintien de la révolte (Rappel au Lecteur de se souvenir) → Poème en Alexandrin Lecture analytique → Alternance des temps : Temps du récit en Majorité (passé simple) Présent de Vérité Générale : Vers 22 et 23, « Hélas ! Ce que la mort touche de

TRES DE MAYO Goya Problématique : Comment Goya témoigne-t-il de l’affirmation du sentiment national espagnol ? Domaine d’art : Art du visuel Œuvre en lien : La Légende Des Siècles ; Après La Bataille – Victor Hugo Mon Père, ce héros au sourire si doux,  Suivi d’un seul hussard qu’il aimait entre tout,  Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille,  Parcourait à cheval, le soir d’une bataille,  Le champ couvert de morts, sur qui tombait la nuit.  Il lui sembla, dans

espèce de maure, Saisit un pistolet qu’il étreignait encore, Et vise au front mon père en criant: “Caramba! ” Le coup passa si près que le chapeau tomba Et que le cheval fit un écart en arrière. “Donne-lui tout de même à boire”, dit mon père. Victor Hugo LE FAUCHEUR La Guerre d'Otto Dix Voilà, c’est fait. Une fois de plus, la claire campagne A nourri l’instrument du faucheur. Tout est silence, Le chaume au repos Est couvert de