Les Fusillés De Hugo

poétiques dans « le Lac » de Lamartine ; on peut penser à la poésie plus ésotérique, mais non moins élégiaque, de Gérard de Nerval, « El desdischado » ou extrait de ses odelettes, « une allée du Luxembourg » ; on peut se référer aussi aux poèmes de V. Hugo qui évoquent les enfants morts trop tôt ou trop tôt broyés par la vie ; enfin on peut se référer aux poèmes de Musset lui-même. 1.2- La pureté du sanglot peut s’exprimer notamment avec plus d’efficacité dans des poèmes concentrés ou l’élégie est moins

vigoureuse, forte, énergique - pilosité sous les bras (populaire, naturelle) - fusil de 1816 : modernité et réalisme - port du drapeau symbole lutte libérale - figure allégorique [2] Les gamins de Paris - engagés spontanément dans les combats - symboles de l'avenir - symboles de la jeunesse révoltée - équipés avec des armes récupérés sur les morts - celui de droite qui de guerre à la bouche : inspiration de V. Hugo pour futur personnage de gavroche dans Misérables ? - celui de gauche : main

en se mettant au service d'une cause qu'il défend et dont il célèbre les valeurs, soit en inscrivant explicitement le contexte historique au cœur du poème. Dans ballade de celui qui chanta sous le supplices, Paul Eluard rend hommage aux résistants fusillés. On a aussi le romain engagé dans lequel l'écrivain met la littérature au service d'une cause. La dynamique du récit s'inscrit dans un contexte historique particulier. Le roman se fait le témoin de l'histoire et le défenseur d'hommes et de femmes

nous projette d'emblée sur le champ de bataille afin de nous faire concrètement ressentir les horreurs de la guerre. ..1. La violence Scène d'une grande violence, métaphores du crachats, violence des images, métaphore du feu (feu des canons et des fusils et feu de l'enfer). Violence des sons : champ lexical du bruit : « sifflent, croulent, broient », allitérations en « r », mitraille, raille. ..2. La déshumanisation Perte de l'individualité : « des milliers, des masses. Les hommes ne sont que de

Victor HUGO “Les châtiments” (1853) Recueil de poèmes Il fut composé durant l’exil à Jersey. Les poèmes “Nox” et “Lux” encadrent sept livres dont les sous-titres, très ironiques, fustigent l’ordre établi et qui, sous des formes très variées, obéissent à une même inspiration, la «muse Indignation». Faisant de Napoléon III l’archétype de la tyrannie, Hugo, Juvénal réincarné, condamne avec violence le «crime» commis, et dénonce la bassesse du nouveau régime, ses vices et ses déportements présentés

nécessaires à l'explication d'un texte poétique. Lecture et explication des 3 poèmes ; Définition des notions en prenant appui sur les textes (soit individuellement soit par comparaison). 2. Les thèmes de la poésie lyrique. Dominante : Lecture - V. Hugo, "Oh ! je fus comme fou dans le premier moment" ; - L. Labé, "Je vis, je meurs" ; - Baudelaire, "L'ennemi". Connaître les thèmes récurrents de la poésie lyrique : le rapport du poète au monde. Lecture des poèmes ; On détermine la thématique de

000 arrestations, 10.000 déportés surtout en Algérie dont 1.500 personnalités (Victor Hugo, Edgar Quinet). Le 20 décembre un plébiscite approuvé à une écrasante majorité (7.439.216 de « oui » contre 640.737 « non ») prolonge de 10ans le mandat du président et lui donne les pleins pouvoirs pour modifier la constitution. Cf. Victor Hugo en exil à Jersey, tonne contre « Napoléon le petit ». Lire, Victor Hugo, Les Châtiments, écrit au lendemain du 2 décembre 1852. Un recueil de poésies entièrement

« Le fils est tué » et les parents sont pbligés de poursuivre leur vie sans leur fils « La vie continue la vie avec le tricot la guerre les affaires-La vie avec le cimetière ». « La complainte d'un fusillé » : Jacques Prévert met encore en avant la guerre. Je pense qu'il dénonce ceux qui ont été fusillés pendant la guerre C) LA RELIGION : « Pater Noster » : C'est le nom d'une prière, Notre Père. Jacques Prevert critique la religion,

poétique et quête du sens du Moyen- Âge à nos jours. Corpus Texte 1 : Agrippa d'Aubigné, Les Tragiques, I, « Misères », vers 211 à 236, 1616 Texte 2 : Jean de la Fontaine, Fables, «  Les Obsèques de la Lionne », VIII, 14, 1678 Texte 3 : Victor Hugo, Les Châtiments, « Souvenir de la nuit du quatre », livre II, 3 1853 Texte 4 : Robert Desnos ( 1900-1945) Destinée arbitraire ( publication posthume en 1975) Texte 5: Léopold Sédar Senghor ( 1906-2001), Poèmes divers, « Poème à mon frère blanc »

I Biographie de Victor Hugo Poète, romancier, dramaturge, critique, Victor Hugo est, certes, un auteur d’une stature incomparable et inégalée. Sa devise « Ego Hugo », qui traduit son orgueil légendaire (sa mégalomanie, selon ses détracteurs), a poussé Jean Cocteau à écrire que « Victor Hugo était un fou qui se croyait Victor Hugo. ». Il n’en reste pas moins qu’à l’âge de trente ans, Victor Hugo, à la tête du mouvement romantique, avait révolutionné le théâtre et inventé une nouvelle langue poétique