Les Fusillés De Hugo

« LA QUESTION DE L’HOMME DANS LES GENRES DE L’ARGUMENTATION » Thème : « Quand la littérature dénonce l’injustice» Sommaire I. Textes  1. Victor Hugo, Le Dernier Jour d’un condamné, extrait de la préface, 1829. Première publication anonyme. 2. Stendhal, Le Rouge et le Noir, 2e partie, chapitre 41, 1831. 3. Victor Hugo, Les Misérables, 1862. Le personnage de Gavroche 4e partie, livre V, chapitre 12 + 5e partie, livre V, chapitre 15. 4. Arthur Rimbaud, « Le Dormeur du val »

l’appelle aussi « fille du peuple ». Un fusil en main droite pour nous montrer que la liberté se conquiert avec les armes en main, de plus, cet acte la rend réelle et moderne. Tout ceci évoque la révolution française de 1789 et la souveraineté du peuple. A sa droite, se trouve un petit garçon encourageant les insurgés, il représente la jeunesse révoltée et engagée pour les causes justes. Il évoque aussi le personnage de Gavroche dans les misérables, œuvre de Victor Hugo. L’homme au chapeau haut de forme

    Contexte historique   • Le mouvement dit "romantique" apparaît en France au XIX° siècle, il se diffuse dans de nombreux arts comme la peinture, la poésie (Lamartine, Hugo...), la musique (Berlioz...), ...   • Le but de l'art romantique est de créer des émotions chez le spectateur, de parler ainsi à leurs sentiments. A l'opposé du style figé néoclassique très apprécié au XVIII° siècle, les romantiques marquent leurs

aux fontes Et les harnais d'or aux chevaux. Que le plus vieux chef du Caucase Bourre en présence des aînés, Avec le vélin d'un ukase Les longs fusils damasquinés !  Qu'on ait le cheval qui se cabre Sous les fourrures d'Astracan, Et qu'on ceigne son plus grand sabre, Son sabre de caïmacan ! Laissons les granges et les forges. Que les fusils de nos aïeux Frappent l'écho des vieilles gorges De leur pétillement joyeux !  Et vous, prouvez, fières épouses, Que celles-là que nous aimons

Dimensions ? Cadrage ? Point de vue ? Composition ? Couleur ? Lumière ? … Ce tableau est une huile sur toile, qui mesure 260 cm de hauteur, et 325 cm de longueur. Le personnage central du tableau est une femme qui brandit un drapeau tricolore et un fusil, et qui porte un bonnet phrygien. Elle a la poitrine dénudée, les pieds nus, et a le profil d'une statue : elle est très différente du reste de la scène. Au premier plan, on peut voir les corps des blessés et des morts. Au second plan, on voit cette

ELMALEH, Hugo LEVERDEZ, Sylvie TESTUD, Anne BROCHET, Raphaëlle AGOGUE … Les personnages principaux : Jean RENO : il interprète le rôle d’un médecin juif à la grandeur d’âme débordante, prêt à tout pour aider les siens et qui a accompagné les "raflés" jusqu’au four crématoire. Gad ELMALEH : tient le rôle d’un père de famille immigré juif polonais communiste, interné avec sa famille. Personnage optimiste qui tente de soulager les souffrances des siens par le biais du rire. Hugo LEVERDEZ

taillée. Ce garçon est un romantique. Il représente la jeunesse bourgeoise qui réfléchit. Les enfants participent aussi au soulèvement. L’enfant qui brandit deux pistolets a peut-être inspiré le personne de Gavroche dans Les Misérables (1862) de Victor Hugo. Il porte un besace, une casquette, un pantalon de toile. Sa bouche est ouverte et il regarde vers le spectateur. Jambe droite en avant, bras droit en l’air, bras gauche en arrière. Il incarne la jeunesse passionnée par le liberté. Figure de l’avenir

Biographie Enfance et jeunesse Victor Hugo est né le 26 février 1802 à Besançon dans le Doubs, en Franche-Comté, où son père est en garnison, puis passe son enfance à Paris. Victor est le fils du général d'Empire Joseph Léopold Sigisbert Hugo (1773–1828) - créé comte, selon la tradition familiale, par Joseph Bonaparte, roi d'Espagne - et de Sophie Trébuchet (1772–1821) et le dernier de trois enfants après Abel Joseph Hugo (1798–1855) et Eugène Hugo (1800–1837). De fréquents séjours à Naples et

finale. Le corps profilé est éclairé à droite. Son flanc droit sombre se détache sur un panache de fumée. Appuyée sur son pied gauche nu qui dépasse de sa robe, le feu de l’action la transfigure. L’allégorie est la vraie protagoniste du combat. Le fusil qu’elle tient à la main gauche, modèle 1816, la rend réelle, actuelle et moderne. Les gamins de Paris: Ils se sont engagés spontanément dans le combat. L'un d'entre eux, à gauche, agrippé aux pavés, les yeux dilatés, porte le bonnet de police

bout de temp deja. D’abord nous decouvrirons comment a travers ces fables, La Fontaine denonce la societe dans laquelle il vit, surtout dans le “loup et l’agneau”. Puis, en faisant un bon dans le temps, Victor Hugo nous montreras l’atrocite de la guerre avec ces deux poemes, “les fusilles” (1872) et “Betise de la guerre”, ainsi que Jacque prevert avec “Barbara”. De plus vous decouvrirez Paul eluard avec son fameux poeme “liberte” (1942 ). J’ai garde le meilleur pour la fin, un poeme de Nizar kabbani