Les Fusillés De Hugo

condamné [à mort] aura la tête tranchée ». Cette célèbre phrase restera dans l’article 12 du Code pénal français jusqu'à l'abolition, en 1981. L'usage de la guillotine est alors généralisé pour toute mise à mort de civils. Seuls les militaires sont fusillés par peloton d'exécution pour les crimes commis dans l'exercice de leurs fonctions (comme la désertion, la mutinerie...). La guillotine a été inventée par Joseph Ignace Guillotin mais le spécialiste qui a supervisé les essais de l’engin n’est autre

personnages Sur ce tableau, Delacroix a pris soin de représenter tous les acteurs de la révolution de 1830 : hommes, femmes, enfants et différentes catégories sociales. - La Liberté : Une femme au bonnet phrygien brandissant le drapeau tricolore et un fusil semble mener l’attaque. Sa poitrine dénudée, ses pieds nus, l’aspect antique de sa robe, son profil de statue, sa grande taille : tout la différentie du reste de la scène. Cette femme est une allégorie de la Liberté. - Le gamin de Paris

finale. Le corps profilé est éclairé à droite. Son flanc droit sombre se détache sur un panache de fumée. Appuyée sur son pied gauche nu qui dépasse de sa robe, le feu de l’action la transfigure. L’allégorie est la vraie protagoniste du combat. Le fusil qu’elle tient à la main gauche, modèle 1816, la rend réelle, actuelle et moderne. Les gamins de Paris (Ils se sont engagés spontanément dans le combat. L'un d'entre eux, à gauche, agrippé aux pavés, les yeux dilatés, porte le bonnet de police

l’imaginaire, l’irrationnel et refuse les valeurs admises. Les surréalistes aiment analyser les rêves, ce qui est irrationnel, ils accordent de l’importance au hasard, aux rencontre inattendues. II) Des exemples de poèmes. Un poème romantique : Victor Hugo, «Au peuple», page 449 du manuel. Il te ressemble ; il est terrible et pacifique. Il est sous l'infini le niveau magnifique ; Il a le mouvement, il a l'immensité. Apaisé d'un rayon et d'un souffle agité, Tantôt c'est l'harmonie et tantôt le cri rauque

ABOLIR LA PEINE DE MORT ? Introduction : Pour ce dossier, nous avons choisi le sujet de la peine de mort car c’est un sujet qui nous tient à cœur et que nous avons déjà étudié l’année dernière en cours de français par le biais de l’œuvre de Victor Hugo, Claude Gueux. C’est un thème qui nous semble important et intéressant car il fait toujours énormément débat. En effet, de nos jours, la peine de mort est encore remise en cause et crée le désaccord entre les différents chefs d’états. D’ailleurs, beaucoup

2 Les misérables de Victor Hugo - x 3 Le petit prince d'Antoine de Saint-Exupéry - x 4 Germinal d'Emile Zola 6 Le rouge et le noir de Stendhal 7 Le grand Meaulnes d'Alain-Fournier - x 8 Vingt mille lieues sous les mers de Jules Verne - x 9 Jamais sans ma fille de Betty Mahmoody - x 10 Les trois mousquetaires d'Alexandre Dumas - x 11 La gloire de mon père de Marcel Pagnol - x 12 Le journal d'Anne Frank d'Anne Frank - x 13 La bicyclette bleue de Régine Deforges - x 14 La nuit des temps de

................4  De la Fontaine (XVIIème) ­ La Ligue des rats……………………………….5  Claude Joseph Rouget de Lisle (XVIIIème) ­ La Marseillaise……………..7  Arthur Rimbaud (XIXème) ­ Le dormeur du Val……………………………..9  Victor Hugo (XIXème) ­ Depuis six mille ans la guerre……………….......11  Victor Hugo (XIXème) ­ Après la bataille………………………..……….....12  José Maria de Hérédia (XIXème) ­ Les Conquerants………………….....14  Boris Vian (XXème) ­ La Java des Bombes Atomiques……………...…...16  Boris Vian (XXème) ­ L’Evadé…………………………………

l’épopée, est présente à deux reprises : « Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant », « Vingt et trois amoureux de vivre à en mourir. » Le lexique est également choisi avec soin : métaphore de la fleur pour évoquer le feu des armes (« les fusils fleurirent »), métonymie du « cœur » pour évoquer la vie, violence contenue dans le verbe « s’abattre » pour clore le poème. Enfin, le cri patriotique dans le dernier vers (« criaient la France ») a pour but de résonner longtemps dans l’esprit du

INTRODUCTION Accroche   : : : � Dans Les Misérables de Victor Hugo, la barricade tient une place importante : : : � on en trouve 338 occurrences dans l’oeuvre, ce qui marque un imaginaire très prégnant dans l’histoire révolutionnaire du peuple. Définnitions des termes du sujet : : : � Ainsi, parler de barricade comme outil permet de l’appréhender comme un instrument, qui permet donc de rendre possible et d’accompagner un mouvement protestataire, cad une action collective ayant pour

pas tellement de tristesse, plus d'émotion et sa famille est partie, ensuite lʼheure est venue et le docteur est arrivé pour en finir. Sa dernière pensée va à tout ce quʼil va manquer et surtout à Anna car elle doit encore beaucoup grandir et aussi Hugo. Anna : Een kwartier vroeger : Lʼhistoire commence un 17 juin, elle est un quart dʼheure en avance. Elle dit que cette journée est différente des autres et que ce quart dʼheure dʼavance modifie la donne. Pour commencer, le rendez-vous avec sa