Les Fées Charles Perrault Commentaire Compose

l’éclaire-t-elle ? (3 points) 2. Dans ces trois textes de théâtre, quels registres emploie le personnage qui conduit l’échange pour être plus persuasif ? (3 points). II. Travaux d'écriture (14 points). Choisir un sujet parmi les trois proposés : • Commentaire : Vous commenterez l’extrait de Musset, On ne badine pas avec l’amour, Acte III, scène 3, à partir du parcours de lecture suivant : a) Montrez que les paroles de Perdican ont plusieurs destinataires. b) Étudiez les stratégies

où fusionnent des mondes merveilleux et une certaine magie. C’est ainsi que les phrases comme « Il était une fois… » et « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants » sonnent comme des débuts et des fins de contes de fées. Mais les contes ne sont pas que des contes de fées et ils cachent bien d’autres secrets. Il est difficile de leur donner une définition précise et concise. On sait qu’ils existent et on en connaît tous, mais nous ne pourrons jamais tous les connaître. Ils sont nombreux, à

trouve obscur ou mauvais, relier entre elles des œuvres différentes pour les organiser en un ensemble plus vaste, lorsqu'au XIIIe siècle les cycles sont à la mode. Enfin le jongleur, homme de spectacle qui récite, chante, mime ou met en scène, parfois compose des vers qu'il ajoute, et lui aussi adapte les œuvres pour un public chaque fois différent. | L'auteur au Moyen-Âge se considère comme un traducteur ou un continuateur plutôt que comme un créateur. La notion de " propriété littéraire " n'existe

genres : Le conte merveilleux, ou conte de fées : dans ce type de littérature interviennent des éléments surnaturels ou féériques, des opérations magiques, des événements miraculeux propres à enchanter le lecteur. Si la littérature du Moyen Âge est très empreinte de merveilleux (avec Chrétien de Troyes par exemple), le genre du conte merveilleux (appelé aussi conte de fées) apparaît réellement au XVIIe siècle avec des auteurs comme Charles Perrault. Ce désir de (ré)introduire du merveilleux, de

termine le poème : il est adressé le plus souvent au prince ou à la dame. La ballade appariait dès la fin du ~Xjjle siècle, chez Jean de ~Lescurel. Machaut et Deschamps lui confèrent ses lettres de noblesse. Viennent ensuite Christine de Pisan et Charles d'Orléans. Lorsque Villon, au ~xve siècle, mêle des ballades (Ballade des pendus, Ballade des Dames du temps jadis) aux strophes en octosyllabes du Testament, c'est un genre déjà désuet. Villon signe parfois l'envoi d'un acrostiche (ex : Ballade

publiquement et à faire rire. 164 n La fable combine un contenu (une histoire d’animaux) et une intention : la fable à l’origine, vise à se moquer. En tant que texte littéraire, c’est une variante de l’apologue. La fable est un petit texte en vers composé d’un récit et d’une morale. La morale peut être exprimée au début (prologue) ou à la fin (épilogue). n Les grands recueils de fables de l’Antiquité ont inspiré directement les auteurs français. Auteurs Titres Époque Origine Ésope

publiquement et à faire rire. 164 n La fable combine un contenu (une histoire d’animaux) et une intention : la fable à l’origine, vise à se moquer. En tant que texte littéraire, c’est une variante de l’apologue. La fable est un petit texte en vers composé d’un récit et d’une morale. La morale peut être exprimée au début (prologue) ou à la fin (épilogue). n Les grands recueils de fables de l’Antiquité ont inspiré directement les auteurs français. Auteurs Titres Époque Origine Ésope Fables - VIIe

selon lui, n’importe quoi. n La fable combine un contenu (une histoire d’animaux) et une intention : la fable à l’origine, vise à se moquer. En tant que texte littéraire, c’est une variante de l’apologue. La fable est un petit texte en vers composé d’un récit et d’une morale. La morale peut être exprimée au début (prologue) ou à la fin (épilogue). n Les grands recueils de fables de l’Antiquité ont inspiré directement les auteurs français. Auteurs Titres Époque - VIIe /VIe siècle av. JC - reconstituées

La et DES Modernes"-- dessus si les arts et la littérature de l'ère moderne avaient réalisé plus que les auteurs et les artistes illustres de l'antiquité. L'Académy a été dominé par l'"Moderns" (Charles Perrault, Jean Desmarets de Saint-Sorlin-Sorlin) et la poésie "Le Siècle de Louis le Grand" de Perrault ("le siècle de Louis le grand") (1687) était l'expression la plus forte de leur conviction que le règne de Louis Xiv a égalée Augustus'. En tant que grand amoureux des classiques, Nicolas Boileau-Despréaux

Interrogation 1 À quoi sert la cruauté dans les récits imaginaires ? 5-13 1. Grimm, Bettelheim 2. Minh Tran Huy • Évaluation La Fontaine, J.-P. Mothe Séquence b Que nous dit La Barbe bleue de nos désirs et de nos peurs ? 14-21 1. et 2. Perrault 3. C. Fréchette, A. Luthaud • Évaluation Bettelheim ActIvItéS et rechercheS hIStOIre deS ArtS 22-23 24-25 Le Douanier Rousseau, Le Rêve Comment l’imaginaire joue-t-il avec les moyens du langage, à l’opposé de sa fonction utilitaire ou