Les Fées Charles Perrault

de « Types of the folk tale », qui est une aide aux travaux sur le folklore et qui compile les travaux de collègues. Ce livre est en fait un « index des motifs de la littérature populaire », un vaste catalogue des motifs folkloriques, des contes de fées de la tradition populaire, … Il observe une classification alphabétique et à la lettre F on découvre les êtres extraordinaires et parmi eux une sous-section sur les géants et une sous sous-section concernant des références précises à d’autres recueils

Darius, «Étude sur la conception de l’amour dans les romans et les nouvelles de Madame de La Fayette», mémoire de maîtrise, 1965, iii, 115 p. Dir. : Émile Bessette. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1965 v.008; UdeM L.S.H. PQ 35 U54 1965 v.008. Alepins, Charles, «La recherche d’un homme ou l’impasse du destin mâle dans L’élan d’Amérique et Une chaîne dans le parc d’André Langevin», mémoire de maîtrise, 1978, v, 114 p. Dir. : François Hébert. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1978 v.003; UdeM L.S.H. PQ 35 U54

comique et picaresque L'apparition du roman picaresque (vient de l’espagnol « picaro » : fripon, vaurien) s'est produite dans le contexte d'une société d'ordres affectée de graves tensions politiques, économiques et idéologiques : fins de règne (Charles Quint abdique en 1555-1556, Philippe II meurt en 1598), gestion financière critique d'un empire immense, crispation de la noblesse vieille-chrétienne sur son honneur héréditaire (honra) lié à l'oisiveté, déclin de l'industrie nationale et extension

manquèrent jamais de rien. Le pays des Margriettes IL y avait une fois un roi et une reine qui n’avaient pas d’enfants, mais qui tenaient beaucoup à en avoir. A la fin il leur en vint un. On célébra le baptême avec une grande solemnité. Toutes les fées du voisinage y furent invitées, mais l’une d’elles, qu’on avait oubliée, se vengea en donnant à l’enfant un visage de singe. Toutefois, cette difformité ne devait durer que jusqu’à son mariage et quinze jours après. Le roi et la reine étaient au désespoir

etc. • vocabulaire : emploi de mots de l’époque • champ lexical lié à l’héroïsme, au voyage, à l’aventure, au sacré, etc. Contes (1697) de Charles Perrault (L’école des loisirs, 1978 et en ligne : Association @lyon (n. d.). Contes de Perrault. Récupéré du site de l’Association @lyon : http:// www.alyon.org/litterature/livres/XVIII/esprit_salon/ perrault/); Contes (1812) de Grimm (Gallimard, 1976 et en ligne : Légende et conte (n. d.). Conte à lire en ligne de Grimm. Récupéré du site Légende et

« Jour gris », Les Vrilles de la vigne |2) Reformulez trois des idées essentielles du texte de Charles Dantzig. | |- Proust, Sodome et Gomorrhe, II, chapitre premier |Commentaire : Verlaine, « L’échelonnement des haies », Sagesse, III | |- Roud, Air de solitude |Dissertation : Dans le Dictionnaire égoïste de la littérature française, Charles | |- Dantzig, Dictionnaire égoïste de la littérature |Dantzig affirme : « La poésie ne se trouve

Cendrillon ou La Belle au bois dormant, nous constatons que bien souvent ils présentent des personnages de femmes assez soumises, tombant dans tous les pièges, et ne pouvant se débrouiller sans une aide extérieure et souvent magique (comme les marraines fées), ou sans l’intervention de l’ « Homme » qui arrive sur son beau cheval blanc. Les protagonistes réels de ces films sont donc souvent ceux qu’on appelle les « méchants », car ils sont seuls à lancer réellement l’action. On peut y voir une forme de machisme

Voulues, subies, réversibles ou irréversibles, dues aux sortilèges lancés par une sorcière malfaisante ou une fée bienfaisante, les métamorphoses ne pouvaient que fasciner les conteurs. ▪ Dans Cendrillon ou la Petite Pantoufle de verre (1697), de Charles Perrault, l’héroïne éponyme se rend au bal organisé par le roi grâce à la malice de sa marraine la Fée, qui transforme une citrouille en carrosse, un gros rat en cocher, six souris en chevaux et six lézards en autant de laquais. ▪ Dans La Belle et la

prologues d'opéra à des vestibules ou à l’entrée d’un édificenote 7. Polymnie est aussi connue sous le nom d'« Eloquentia » mais elle est peu représentée en littérature ou en iconographie. Elle apparaît cependant comme personnage du conte de Charles Perrault, Fées ainsi que dans certains tableaux d'inspiration antique. Elle est couronnée de fleurs, quelquefois de perles et de pierreries, avec des guirlandes autour d'elle, et est toujours habillée de blanc. Sa main droite est en action comme pour haranguer

excessives, cherchera à tout mettre en œuvre pour obtenir réparation. Il s’agit donc en réalité d’une conjonction de signes et de réactions à l’origine desquels se trouve un individu au centre d’un conflit psychoaffectif. D’où les observations de Charles-Henri Nodet selon qui les délires à structure paranoïaque se caractérisent par le développement systématique et cohérent d’un drame persécutif, l’argumentation irréductible, lucide, pénétrable et même contagieuse, la tonalité affective et agressive