Les Gens de la pluie

intime d’un prototype. La pluie… Celle qui nous a aidés à cacher nos larmes de nombreuses fois. La même qui était présente à l’enterrement de mes parents. Un triste jour, où mes chances de m’en sortir étaient devenues minimes. J’étais maintenant vouée à moi-même. Ma sœur n’étant pas majeure a été transférée dans un orphelinat, je n’avais donc plus de famille. Plus personne à qui m’en tenir, à qui raconter ma peine, je devais garder cela pour moi toute ma vie. Les gens répétaient sans cesse que je

j'enviais jusqu'au sort du pâtre que je voyais réchauffer ses mains à l'humble feu de broussaille[...].» Il est évident qu'il ne sait exactement dépeindre ce qu'il ressent, d'un côté il veut de l'action , de l'autre il veut le calme. Comme beaucoup de gens à cette époque , ce n'est pas la joie de vivre qui est présente , il est clair qu'il ne ressent pas des émotions très agréables , tout semble sombre dans son coeur. Le champs lexical constitué des mots suivants:«tempête»,«sensations fugitives»,«incertitudes»

comique le constat fait par celui-ci. · C’est pourquoi il rappelle que le nom de la « boue » est employé pour injurier son prochain, ce qui est évoqué dans la phrase exclamative au discours direct : « C’est de la boue ! dit-on des gens qu’on abomine […] » et corroboré par le champ lexical du mépris  : « […], ou d’ injures basses et intéressées. » (l.3-4). Ainsi, la boue qui est tant « méprisée » par les hommes

méchant civilisé, son vieux héros n'a rien d'un innocent primitif - il dévore des romans d'amour, c'est tout dire - et le monde dans lequel il vit ne s'appelle El Idilio que par ironie et antiphrase. Rien de moins idyllique que ce bord de fleuve noyé de pluie et de boue, dangereux, brutal, hanté par la peur et par la souffrance, enfermé dans sa solitude et son ressassement. La nature, montre Sepùlveda, ce n'est pas le paradis, pas le jardin d'Éden. C'est un être immense et terrible auquel sont liés, pour

civilisé, son vieux héros n’a rien d’un innocent primitif – il dévore des romans d’amour, c’est tout dire – et le monde dans lequel il vit ne s’appelle El Idilio que par ironie et antiphrase. Rien de moins idyllique que ce bord de fleuve noyé de pluie et de boue, dangereux, brutal, hanté par la peur et par la souffrance, enfermé dans sa solitude et son ressassement. La nature, montre Sepúlveda, ce n’est pas le paradis, pas le jardin d’Éden. C’est un être immense et terrible auquel sont liés, pour

est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un cœur qui s'ennuie, Ô le chant de la pluie ! Il pleure sans raison Dans ce cœur qui s'écœure. Quoi ! Nulle trahison ?... Ce deuil est sans raison. C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine Mon cœur a tant de peine ! Guillaume Apollinaire (1880-1918) La tranchée   Ô jeunes gens je m'offre à vous comme une épouse     Mon amour est puissant j'aime

L’ennemi Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage, Traversé çà et là par de brillants soleils ; Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. Voilà que j'ai touché l'automne des idées, Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux Pour rassembler à neuf les terres inondées, Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux. Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve Trouveront dans ce sol lavé comme une grève Le mystique

longtemps en France et que ce lieu lui rappelle de nombreux souvenirs. La folie de la jeunesse qui est aussi abordée quand on parle d’aller voir des fous jouer de la guitare du soir au matin. Il y a l’amour aussi qui se manifeste entre les deux jeunes gens. On aborde le thème de la beauté. L’auteur semble nous décrire ce qu’il voie en faisant ressortir la beauté des champs Élysées et de son environnement. L’auteur a utilisé un langage familier dans cette chanson qui se dévoile par l’utilisation

il est maintenant temps d’agir. Le nombre d’habitants des bidonvilles a triplé en quinze ans. La boue, la pluie, la chaleur, la puanteur et plein d’autres désagréments, c’est ce que doivent affronter au quotidien les habitants des bidonvilles ! Le bidonville qui se situe au pied de notre ville n’a cessé de croître ces 15 dernières années. Mais quand arrêtera-t-on d’ignorer ces gens qui vivent en bas de chez nous, à la sorties de nos villes si fleurissante pourtant ? Car le problème n’est sans

Ces personnes, ces êtres humains meurent de faim dans nos rues, sous nos fenêtres et nous ne faisons rien pour leur venir en aide. Imaginez-vous en hiver ou en été, sous la pluie, la neige, le froid, la chaleur, la faim, la soif, la tristesse, le manque de tout, assis sur les trottoirs de paris en regardant tous ces gens passer sans vous aider. Ne pensez-vous pas que nous pourrions les aider ? Nous pourrions envisager de leur trouver du travail car la cause de cette vie est le chômage. Les mendiants