Les Grandes Questions Que Se Posent Les économistes

qu'il y a de plus important pour nous permettre de sortir de l'impasse écologique et sociale créée par le capitalisme luimême. Pourtant, cette déclaration apparaît comme un paradoxe, puisque la croissance est depuis des années au centre de vives questions : en effet, la croissance transforme la vie des populations dans la mesure où elle crée davantage de biens et de services. À long terme, la croissance a un impact important sur la démographie et le niveau de vie (à distinguer de la qualité de

l’Institut d’Études Politiques de Paris (IEP) et ancien correspondant de la BBC à Paris, auteur de plusieurs autres atlas de géopolitique et d’histoire politique. L’équipe rédactrice, très complète, comprend des cartographes, mais aussi des historiens, économistes, sociologues, politologues et journalistes. L’introduction met l’accent sur le rôle prééminent des États-Unis sur la scène internationale, et sur leur hégémonie d’après-guerre qui doit aujourd’hui tenir compte d’un monde multipolaire dans lequel

Pratiquement disparue dans les années 90, la notion de classe sociale connait aujourd’hui une réémergence. Karl MARX[3] n’est pas le fondateur du concept de classe, cependant les travaux qu’il propose sur ce sujet sont d’une grande richesse. Il aborde la question de classe sociale dans un contexte historique relevant d’un rapport antagoniste. Il différencie et oppose deux importantes classes sociales principales: le prolétariat et la bourgeoisie et c’est là tout l’enjeu de la lutte des classes

ont été marqués par des doutes quant à cette politique. Trois questions au-moins se posent : ➢ Les relances budgétaires sont-elles efficaces ? Notamment lorsque la dette publique atteint un niveau élevé ➢ À l’inverse, une contraction budgétaire a-t-elle toujours un effet dépressif sur la demande ? ➢ Est-il possible et souhaitable de définir des principes budgétaires et de s’y tenir ? Ces questions se posent avec une attention particulière dans le cadre de l’UEM, où les

refonte de la réglementation bancaire. Les études et suggestions d’organismes publics et privés ou d’universitaires se sont multipliées ces derniers temps. Aussi, nous estil paru utile de faire un point sur les propositions avancées pour dégager les grandes lignes de ce que pourrait être la réforme bancaire. Cette analyse est basée sur le Rapport de Larosière écrit à la demande de la Commission européenne, le Turner Review préparé par le Financial Services Authority en GrandeBretagne ainsi qu’un

les contraintes de la politique économique en Europe Françoise MILEWSKI est économiste et rédactrice en chef de la Lettre l'OFCE. Dans son article intitulé « les contraintes de la politique économique en Europe », elle façon progressive aux différentes questions qui se posent suite aux effets de la mondialisation. Ainsi, c'est un phénomène qui a modifié profondément les modalités tant au niveau objectif que des conditions d'application des politique économique en Europe. La globalisation a appuyé

des sociologues. Il y a deux types d’approches qu’on évitera = celle de Nisbet qui présente la sociologie autour de grands thèmes (famille par exemple). Ce qui nous apportera moins c’est les objets que le sociologue aborde, mais plus la manière dont il les aborde. Et pas non plus celle de Raymond Aron (Les étapes de la pensée sociologique) car lui procède grand auteur par grand auteur (Montesquieu puis un autre etc.). Ici aussi, ce n’est pas l’aspect théorique qui nous importera mais la pratique

connait, touchant notamment aux finances publiques et aux grands équilibres de grandes puissances économiques, présente une évolution largement façonnée par les réactions en chaine constatées ici et là. Ces réactions sont restées 3 fidèles à l’état d’esprit de départ, celui de l’incapacité à la prévoir et à l’anticiper, et c’est là la première grande défaillance dévoilée par cette crise qui doit interpeller les économistes et les acteurs politiques. Aussi, la succession des réactions

tous » : raisonner, c’est donc rechercher par soit même les causes des conséquences. LEIBNIZ : « rien n’est sans raison ». La Raison se base sur un enchaînement de questions, permettant aux idées de se lier afin de d’atteindre une vérité claire et qui ne puisse être contredite. Ce raisonnement a été défini par KANT, grâce aux questions fondamentales : * que puis-je connaitre ? (comment aller à la vérité & quelles en sont les limites) * que dois-je faire ? (mon devoir est mon devoir, et

cours : 1° à de nouveaux citoyens : donner quelques éléments pour prendre en route des débats politiques plus vieux que nous et difficiles à suivre. Il ne s’agit pas de donner les réponses à tous les problèmes mais de présenter un peu la façon dont se posent certains majeurs. 2° à des étudiants en droit : parler autant que possible de choses rencontrées dans d’autres cours et autant que possible d’un autre point de vue, de façon complémentaire. Synthèse de la 1ère partie : « Pouvoirs d’État » (On suit