Les Grands Magasins

moderne, ce qui nous permettra de comprendre comment celles-ci témoignent-elles de l’évolution de la place de la consommation à plus d’un siècle d’intervalle. En effet, le roman de Zola datant de la fin du 19e siècle illustre la naissance des grands magasins de Paris tandis celui de Beigbeder dénonce la société de consommation à outrance du 21e siècle. Ainsi, à travers nos travaux nous allons premièrement tenter de cerner les deux romans pour ensuite mieux les comparer afin de répondre à notre problématique

de l’unité commerciale 1. L’unité commercial Définition L’unité commercial est un lieu physique ou virtuelle permettent a un client potentiel d’accéder à une offre de produit ou de service. Les ventes dans l’unité commercial physique Les magasins à domicile alimentaire L’hypermarché ce caractérise par Une superficie égale ou supérieure à 2500 m 2 L’assortiment de l’hypermarché est large et profond a largeur c’est ce qu’on appelle aussi la ligne de produit la profondeur est le ombre de

Nature et Découvertes, Ikea, H & M et Wal-Mart) qui figurent sur le bandeau de l'écran s'illustrent par l'excellence de leurs résultats La FNAC qui a créé une formule de distribution originale ( le multispécialiste des biens culturels) remporte un très grand succès dans de nombreux pays et notamment à Taiwan. 2 Plan de la présentation © Marc Benoun,2008 ƒ ƒ 1 - Introduction : contexte actuel du commerce 2 - Facteurs clés de succès (FCS) • 2.1 - Marketing • 2.2 - Organisation & logistique • 2.3 -

ou commerciales. C'est précisément à la naissance et au développement des grands magasins à Paris qu'il consacre le onzième roman de la série des Rougon-Macquart : Au bonheur des dames. Celui-ci évoque le triomphe du grand magasin d'Octave Mouret "Au bonheur des dames" et l'ascension difficile de l'une des vendeuses, Denise, dans cet univers impitoyable. L'extrait se situe dans le dernier chapitre: Mouret a organisé une grande journée de vente de "blanc" dont Zola nous décrit la fin. Le texte met en

aussi à leurs tenues vestimentaires décrits dans le roman. Tout cela accentuent fortement l'effet de réel. Enfin, on constate que l'intrigue principale est l'opposition entre le grand magasin de nouveautés et les petits commerces. On remarque que dans de nombreuses description, Au Bonheur des Dames est décrit comme un magasin incroyable et débordant d'articles : ''Denise demeurait absorbée, devant l'étalage de la porte centrale. Il y avait là, au plein air de la rue, sur le trottoir même, un éboulement

le commerce change, et on voit apparaître des grands magasins. Zola est un spectateur de ces changements, il décide donc d'en faire un épisode des Rougon-Macquart, intitulé Au Bonheur de Dames. Quelques pages avant la fin, un paragraphe nous décrit la dernière journée de grande vente. L'auteur y met en relief le bâtiment, la clientèle et Mouret, le propriétaire au sommet de sa puissance. Cet extrait se situe au Bonheur des Dames, un grand magasin contemporain de Zola. L'auteur est fondateur

cette extension fulgurante des boutiques de Paris. C’est lors du discours explicatif que les termes techniques liés au champ lexical de la mode et du tissu apparaissent. Sans ce discours, il serait impossible d’exposer ce que contiennent les grands magasins et ce qui attirent tellement la clientèle. Le discours narratif est surtout utile à décomposer explicitement aux yeux du lecteur l’amour tellement compliqué qui lie Denise et Mouret. En effet, le roman aurait pu paraître parfois peu clair quant

plus, il était un ami de Claude Bernard (biologiste), il le prit pour modèle et écrivit des livres d’un regard scientifique, dont il en tira « La Bête Humaine », « L’œuvre » et bien d’autres. A partir de 88, Zola est riche, reconnu comme un des plus grands auteurs d’Europe. Il mourut en 1902. ● La date de parution la plus ancienne est en 1883 par G. Charpentier et actuellement, l’éditeur est Flammarion. ● Par ce roman, Zola montre ses principales idées telles que le réalisme, il ose mettre en jeu

succursales. Le concept de point de vente, relève désormais d’un magasin de comparaison. En effet, avec un repositionnement nouveau, induit par le rachat du groupe Japonais « Fast Retailing », Princesse Tam-Tam est une chaîne avec une image forte et bien identifiée sur le marché, qui propose un assortiment étroit et profond, on parle de stratégie sélective, de niche. L’esprit du magasin est comme un « boudoir », néanmoins on y retrouve une grande luminosité, l’omniprésence du rose et les couleurs chaudes

des images et des ballons. Un trait de génie que cette prime des ballons, distribuée à chaque acheteuse, des ballons rouges, à la fine peau de caoutchouc, portant en grosses lettres le nom du magasin, et qui, tenus au bout d’un fil, voyageant en l’air, promenaient par les rues une réclame vivante ! La grande puissance était surtout la publicité. Mouret en arrivait à dépenser par an trois cent mille francs de catalogues, d’annonces et d’affiches. Pour sa mise en vente des nouveautés d’été, il avait