Les Grenades Valéry

police, tout lui [à Dora] était hostile et voulait sa perte. A seize ans, elle avait le monde entier contre elle, sans qu'elle sache pourquoi. D'autres rebelles, dans Paris de ces années-là, et dans la même solitude que Dora Bruder, lançaient des grenades sur les Allemands, sur leurs convois et leurs lieux de réunion. Ils avaient le même âge qu'elle.3 La réaction de Dora est peut être moins efficace, mais aussi importante et douloureuse que celle de vrais combattants. Lorsque le narrateur évoque les

laquelle la bonne foi des administrés et les circonstances de temps ou de lieu permettent de valider certains actes faits par des personnes n'ayant pas la qualité d'autorité administrative. (Cf. CE 5 mars 1948 Marion Rec. 113 ; D. 1949. 147 Mai 1940 St-Valery sur Somme. Après le départ des autorités municipales, le comité des intérêts valériens assura l'administration de la ville en réquisitionnant et en vendant des denrées. Selon le juge : “ Considérant que ces actes n'étaient pas étrangers à la compétence

tous les niveaux. Annie pense posséder un « savoir en excès » mais les obstacles contre lesquels elle bute lui font comprendre combien son « savoir » est « en défaut ». De plus, à la page 275 du Personnel du roman, Hamon rapporte certains propos de Valéry extraits de son ouvrage Tel Quel : Savoir, ce n’est jamais qu’un degré – Un degré pour être. Il n’est de véritable savoir que celui qui peut se changer en être et en substance d’être, c’est-à-dire en acte. Or, ne possédant guère de « savoir »

– Allez au port, demandez le brick le Sund, remettez cette lettre au capitaine ; il vous conduira à un petit port où certes on ne vous attend pas, et où n’abordent ordinairement que des bâtiments pêcheurs. – 295 – – Ce port s’appelle ? – Saint-Valery ; mais, attendez donc : arrivé là, vous entrerez dans une mauvaise auberge sans nom et sans enseigne, un véritable bouge à matelots ; il n’y a pas à vous tromper, il n’y en a qu’une. – Après ? – Vous demanderez l’hôte, et vous lui direz : Forward

– Allez au port, demandez le brick le Sund, remettez cette lettre au capitaine ; il vous conduira à un petit port où certes on ne vous attend pas, et où n’abordent ordinairement que des bâtiments pêcheurs. – 295 – – Ce port s’appelle ? – Saint-Valery ; mais, attendez donc : arrivé là, vous entrerez dans une mauvaise auberge sans nom et sans enseigne, un véritable bouge à matelots ; il n’y a pas à vous tromper, il n’y en a qu’une. – Après ? – Vous demanderez l’hôte, et vous lui direz : Forward

Allez au port, demandez le brick le Sund, remettez cette lettre au capitaine ; il vous conduira à un petit port où certes on ne vous attend pas, et où n’abordent ordinairement que des bâtiments pêcheurs. – 295 – – Ce port s’appelle ? – Saint-Valery ; mais, attendez donc : arrivé là, vous entrerez dans une mauvaise auberge sans nom et sans enseigne, un véritable bouge à matelots ; il n’y a pas à vous tromper, il n’y en a qu’une. – Après ? – Vous demanderez l’hôte, et vous lui direz : Forward

le roi. — Allez au port, demandez le brick le Sund, remettez cette lettre au capitaine ; il vous conduira à un petit port où certes on ne vous attend pas, et où n’abordent ordinairement que des bâtiments pêcheurs. — Ce port s’appelle ? — Saint-Valery ; mais, attendez donc : arrivé là, vous entrerez dans une mauvaise auberge sans nom et sans enseigne, un véritable bouge à matelots ; il n’y a pas à vous tromper, il n’y en a qu’une. — Après ? — Vous demanderez l’hôte, et vous lui direz : For’ward

– Allez au port, demandez le brick le Sund, remettez cette lettre au capitaine ; il vous conduira à un petit port où certes on ne vous attend pas, et où n’abordent ordinairement que des bâtiments pêcheurs. – 295 – – Ce port s’appelle ? – Saint-Valery ; mais, attendez donc : arrivé là, vous entrerez dans une mauvaise auberge sans nom et sans enseigne, un véritable bouge à matelots ; il n’y a pas à vous tromper, il n’y en a qu’une. – Après ? – Vous demanderez l’hôte, et vous lui direz : Forward

d’une multitude d’individus qui se sont associés en vertu d’un accord sur le droit et en vertu d’une communauté d’intérêts »[37]. C’est la communauté politique, le corps politique. Le mot est alors proche de celui d’« Etat ». Paul Valéry a décrit cette opposition entre définition sociale et définition juridique : « Le mot ‘peuple’ désigne tantot la totalité indistincte et jamais présente nulle part ; et tantot le plus grand nombre, opposé au nombre restreint

– Allez au port, demandez le brick le Sund, remettez cette lettre au capitaine ; il vous conduira à un petit port où certes on ne vous attend pas, et où n’abordent ordinairement que des bâtiments pêcheurs. – 295 – – Ce port s’appelle ? – Saint-Valery ; mais, attendez donc : arrivé là, vous entrerez dans une mauvaise auberge sans nom et sans enseigne, un véritable bouge à matelots ; il n’y a pas à vous tromper, il n’y en a qu’une. – Après ? – Vous demanderez l’hôte, et vous lui direz : Forward