Les Grèves De 1936 Et Leurs Conséquences En Belgique

Histoire politique de la Belgique Chapitre 1: la formation du royaume de Belgique Introduction : La Belgique Française Après la Révolution Française, la Belgique actuelle - sous domination autrichienne - fut envahie par l’armée révolutionnaire française : entre 1792 et 1794, la guerre éclata entre la France et l'Autriche et les premiers champs de bataille furent en Belgique (Bataille de Jemappes1, Bataille de Fleurus2). Dès 1795, la France victorieuse

redistribuent des tickets de rationnement aux clandestins ; ils risquent la mort pour cacher des Juifs ; la presse clandestine se développe ; dès 1941, les catholiques reçoivent l'ordre de leurs évêques de quitter toute association nazie. De plus, trois grèves de protestation s'organisent : – 24 février 1941, à Amsterdam, première grève contre la déportation des Juifs. – avril-mai 1943, deuxième grève contre le renvoi en captivité des soldats néerlandais. – septembre 1944, troisième grève des chemins de

réunifiée en 1936. Dès 1937, la propagande communiste est de plus en plus forte à l’intérieur de la CGT. Du coup, la CGT se trouve avec trois tendances différentes en son sein : les communistes (qui, pendant l’entre-deux-guerres, appartenaient à la CGTU), les réformistes autour de Léon Jouhaux (que l’on a appelés, entre les deux guerres, les « confédérés ») et un troisième courant qui se forme autour d’un journal qui s’appelle Syndicats. Ce journal commence à paraître en octobre 1936. Il a trois animateurs :

même que de nombreuses sociétés par actions. - On assiste à l’édification d’énormes consortiums économiques mais la prospérité engendre la fièvre spéculative qui sera brutalement stoppée par la crise de 1873. B- La crise de 1873-1879 et ses conséquences (Centralverband Deutscher Industrieller) - Par les excès de spéculation, il y a une augmentation trop rapide de production → Crac boursier de New York et Wien en 1873, qui auront des répercutions dans de nombreuses villes allemandes → faillites

par un fléchissement de la productivité, du gonflement de la dette publique et enfin au prix d'un déséquilibre croissant entre la production et le marché. Usa: avaient pu croire qu'ils allaient sortir de la crise lors de l'élection de Roosevelt en 1936. Nouvelle récession en 1938 lorsque les prix et la production baissent de 20% en un an. Il est difficile de dire si la crise de 29 était terminée au moment de l'entrée dans la seconde guerre mondiale. En 1938, les échanges internationaux restent

représente 26% de la population mondiale (Russie comprise) – Contre 22% de la population mondiale, un siècle plus tôt – Pour information, la population Européenne représente aujourd’hui 12% de la population (et la population Française seulement 1%) Conséquences : → Déclenchement de vagues migratoires. La destination des Européens est principalement les pays neufs à la croissance rapide (Etats-Unis, Amérique du Sud, Canada, Australie). De 1895 à 1913, cela concerne 20 millions d’Européens. → Origines :

gaullistes n’appartenaient pas à mouvance démocrate chrétienne. Le Parti Populaire Européen, à l’origine regroupait tous les démocrates chrétiens. Or actuellement depuis une dizaine d’année le RPR, l’UMP et les conservateurs anglais ont accédé au PPE. Conséquence a été départ des centristes avec la constitution d’un petit groupe l’ADLE (Alliance des Démocrates et des Libéraux pour l’Europe). PPE est devenu un espèce de Noman’s Land pour toutes formations de la droite. Les meneurs de ce mouvement sont les

de l’Asie et du Pacifique La conquête coloniale, qui a débuté dès le XVIe siècle, connaît son paroxysme entre 1870 et 1900 (carte, pp. 90-91). Le continent africain devient l'enjeu d'un véritable partage entre la France, le RU, l'Allemagne, la Belgique et le Portugal. Ces puissances tentent d'en définir les règles dans une grande conférence à Berlin en 1884-1885. Entre 1870 et le début du XXe siècle, l'Empire britannique couvre le quart des terres émergées et reste le plus vaste et le plus peuplé

détestable et s’indignait que la France officielle en fît au contraire l’un des piliers de son système ». Ceci explique pourquoi les dernières années de la lutte de Jaurès pour la Paix ont une teinte révolutionnaire et internationale. Des mouvements de grèves voient le jour en 1917 relayés pas une campagne contre l’occupation de la Ruhr, un appui aux autonomistes d’Alsace-Lorraine ou encore une propagande antimilitariste. Cependant, pour Jaurès, seul la grève générale par-dessus les frontières pourrait

les idées révolutionnaires, anti-capitalistes et anti-parlementaires. Zeev Sternhell, Neither Right nor Left: Fascist Ideology in France, 1983. Les arrivées au pouvoir de Lénine (1917), Mussolini (1922), Staline (1924) et Hitler (1933) sont des conséquences de la Première Guerre mondiale : à cause des difficultés économiques et sociales (révolutions de Février et d'Octobre ; Biennio rosso), du militarisme ambiant, de la brutalisation de la société, de l'irrédentisme italien, du Dolchstoß (le « coup