Les Instruments Directs Et Indirects De La Politique Monétaire

Les risques opérationnels : Le régulateur du dispositif Bâle II définit le risque opérationnel comme celui de pertes directes ou indirectes dues à une inadéquation ou à une défaillance des procédures, du personnel et des systèmes internes. Cette définition inclut le risque juridique; toutefois, le risque de réputation (risque de perte résultant d'une atteinte à la réputation de l'institution bancaire) et le risque stratégique (risque de perte résultant d'une mauvaise décision stratégique) n'y sont

paiement · Reserve de valeur (On peut garder de la valeur pour plus tard, on peut épargner) Les fonctions socio-économiques · Instrument d’ordre social (la monnaie est un moyen de socialisation est une institution pour l’économie de marché) · Instrument de politique économique (politique monétaire, politique de change) 2. Les qualités de la monnaie La valeur de la monnaie : · Valeur interne (pouvoir d’achat que la monnaie donne

responsable de la politique monétaire du pays. La politique monétaire des vingt dernières années a été généralement marquée par le souci de ne pas dévier d’un objectif fondamental : le maintien de la stabilité des prix. Elle s’est exprimée à travers la mise en œuvre progressive d’instruments directs et indirects. Dans un premier temps, l’augmentation des coefficients de réserves obligatoires2 et le plafonnement des taux d’intérêt ont été les principaux moyens de contrôle monétaire. Mais, face à

formes d'échange et définir ainsi les avantages de la monnaie sous sa forme actuelle. Le niveau des fonctions de la monnaie et leur présentatino Donc se demander dans quel cadre et de quelle monnaie on parle ... I. Les avantages d'une économie monétaire sur une économie fondée sur le troc IA. la nécessité d'échanger et les problèmes qui en découle chaque échange a un coût global que l'on peut détailler entre: • coût de transaction: nécessité de se déplacer pour rencontrer la personne avec laquelle

Faculté des Sciences Economiques Année Universitaire 2005/2006 Et de Gestion de Sfax COURS : Economie monétaire Destiné aux étudiants de 2ème et 3éme année Sciences économiques Enseigné par TRIGUI Borhen Maître de Conférences Responsable de l’Unité de Recherches DEFI-FSEG-Sfax Support de cours n°1 Avertissement : Les documents distribués ne sont pas des suppléants du cours mais seulement des supplétifs soutenant les notes personnelles prises

Système européen des Banques centrales. I- Instruments et techniques de paiement Instruments : 1/ Le chèque : Cet instrument de règlement est relativement peu utilisé dans les transactions internationales. Outre le fait que le statut juridique du chèque et la possibilité de faire opposition varient fortement d'un pays à l'autre, l'inconvénient de cet instrument de paiement réside dans les délais et les frais d'encaissement.  2/ La lettre de change

* INTRODUCTION * I. LA RÉGULATION MONÉTAIRE CONTEMPORAINE * A. GÉNÉRALITÉS  * 1. Fondements théoriques et succession des objectifs de la politique monétaire * a) De la « monnaie voile » aux politiques volontaires issues de la théorie keynésienne * b) Le retour au monétarisme  * (1) Monétaristes et « Nouveaux classiques », * (2) Des banques centrales indépendantes visant principalement la

Economie et politique de l’environnement Préambule : Environnement : rapport homme-nature. On cherche le développement durable, continuer à produire sans détériorer l’environnement car au début du processus de production on puise dans les ressources naturelles pour produire. On étudie les grands domaines de l’environnement : énergie (ressources), air(qualité, effet de serre), eau (entrée et sortie du processus de production). Le prix de l’eau a beaucoup augmenté : pour éviter le gaspillage

historique de la réforme financière A- Politique d’ajustement structurel B- Aperçu sur la réforme des autres éléments du système Section II : La mutation du système financier A- Le système financier et bancaire B- La performance du système bancaire et cadre réglementaire C- La bourse marocaine Chapitre II : L’intervention de l’Etat sur le marché financier et monétaire Section I : Sur le secteur bancaire

La macro économie est cette partie de la science économique qui s’intéresse aux quantités globales agrégées dans des espaces élargis : région, nation, zone économique. Elle vise le plus souvent à éclairer la prise de décisions en matière de politique économique. Elle est la manière de saisir la distribution des comportements collectifs et celles des grandes unités, notamment dans le cadre du paradigme keynésien. De fait, l’une et l’autre approches servent de manière complémentaire à décrire