Les Inégalités De Politisation

1870, le vote sous contrainte d’une autorité sociale va progressivement devenir plus politique. Cette politisation du vote va résulter du fait que de nouveaux candidats vont se présenter et s’efforcer de se faire élire en fonction de leur programme politique et non de leur nom. Ils vont dénoncer la domination des puissants et politiser le discours. C’est l’élection qui va précéder la politisation.
1913= introduction de l’isoloir dans les bureaux de vote.
C’est la fin du processus de démocratisation

lente diffusion de l’intérêt pour la politique L’intérêt en hausse se mesure par la baisse de l’abstention aux élections : 50% au début du Second Empire contre 20% à la fin. On a pensé pendant longtemps que le degré de politisation a commencé dans le milieu urbain puis la politisation dans les campagnes s’est faite plus tard. On disait que les villes étaient des centres d’opinions. Cette thèse doit être nuancée voire inversée. En effet, le monde rural n’est pas restée à l’écart. Il a été un centre

l’urgence quotidienne. Cette situation renvoie alors quelques militantes à des formes d’activisme radicales ou innovantes et à la politisation de concepts tels que la citoyenneté (McFadden), la justice (Maitrayee & Singh), l’égalité2ou la gouvernance (Taylor). Ces nouveaux engagements vont-ils « libérer » une créativité politique3au service d’une démocratie débarrassée des inégalités du discours politique dominant, tant de classe que de race, mais aussi de genre, encore dans le registre des dominés ? Les

Dimension de la GRH = Communications , organisation du travail, rémunération, emploi. - Enjeux de la GRH = Flexibilité, implication, synergie, compétences. La GRH n’entraîne pas seulement la créativité mais elle peut aussi générer des inégalités, de la précarité voire du stress. La GRH est aujourd’hui une matière à la mode dans les entreprises car que ce soit en terme de conditions de travail, d’embauche, on n’en parle beaucoup, mais le qualifier de mode, c’est aussi le discrédité car il

dans les firmes, que chez les actionnaires et les salariés. Les sociétés ont gagné une conscience en ce qui concerne la menace de périls majeurs, dont certains auront des conséquences irréversibles (dégradation de l'environnement, accentuation des inégalités qui menace la cohésion sociale, atteintes à la santé publique..). Les conséquences sociales de la rupture du compromis fordien (insécurité sociale, précarité croissante) alliées à d'autres facteurs (scandales financiers, catastrophes écologiques

principal acteur, car le seul internationalement légitime. - Pour d’autresles Droits de l’Homme précèdent le principe de souveraineté étatique. - Pour d’autresl’interdépendance globale détermine les interactions des Etats. - Pour d’autresles inégalités du développement socio-économiques définissent la capacité d’exercice de la souveraineté. - Pour d’autresles rapports de genre conditionnent l’exercice de la puissance. Exemple concret  la guerre en Irak : les explications diffèrent. 1er :

politique avec les lois municipales de Périer. On a permis dès 1831 une affirmation dans les campagnes. On peut considérer que la défense des droits des paysans a laissé paître leurs animaux soit un acte politique. Il y avait déjà une forme de politisation. Le paysan n’est plus fataliste, c’est un paysan éclairé, ils ne sont plus routiniers. Ils marquent leurs préférences politiques. Il y a un conservatisme rural lié à la France rurale. Il existe un républicanisme rural bien avant 1848. On a des

le despotisme et l’arbitraire au profit d’un système méritoire. Le républicanisme est fondé sur la nostalgie de la révolution et le rejet de toute forme de monarque. Le socialisme : Le socialisme remet en cause le libéralisme économique, les inégalités sociales et la propriété privée. Il ne se distingue pas très bien de la république sociale et cherche la meilleure façon de vivre en communauté. Le communisme : Le communisme prône la mise en commun de la propriété et des moyens de production

passe sous silence l’ensemble des déterminismes collectifs qui influent sur les inégalités d’espérance de vie : d’une PCS à l’autre, l’exposition à des pathologies professionnelles n’est pas la même, les possi- bilités de tirer partie des ressources du système de santé et du régime de protection sociale diffèrent (ce qui ne s’explique pas seulement par les inégalités de revenus et de patrimoines : les inégalités de dotations en capital culturel et en capital social sont elles aussi essentielles)

autour de Michel Crozier Cerisy-la-Salle juin 1990 Sous la direction de Francis Pavé les Editions du Seuil publieront sous peu les actes de ce colloque 995 Revue fran aise de science politique pouvoir dans lesquelles ils engagent établissent des inégalités entre eux certes mais aussi des réciprocités les plus faibles ont toujours une marge de man uvre si étroite soit-elle ne serait-ce que de négocier leur zèle ensemble des jeux ainsi découverts au sein de organisation ainsi entre organisation et son