Les Lilas

possibles pour ridiculiser la séduction (yeux comparés à des « ouvertures sur le divin » ou « voix violoncellante »). Il pousse même l'audace jusqu'à utiliser le champ lexical de la séduction (« déclaration, chaleur de voix, ouverture sur le divin, beau, lilas ») pour amplifier la démolition de la séduction romantique qu'il compare à «sa» vision de la séduction. Par ailleurs la femme est montrée dans une position caricaturale : elle soupire (du genre martyre), elle est émue, a systématiquement les narines

DÉBAT LINGUISTIQUE TREMBLAY A-T-IL REMPLACÉ DUBÉ? LA MALADIE DE DUBÉ ET SON OPINION SUR L'ÉVOLUTION DE LA LITTÉRATURE QUÉBÉCOISE. COMMENT L'UNIVERSALITÉ EST-ELLE SENTIE ET EXPRIMÉE DANS L'OEUVRE DE DUBÉ? ZONE (1953) FT.JORENCE LE TEMPS DES LILAS BILAN .. AU RETOUR DES OIES BLANCHES . CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE . . . . . SOURCES PRIMAIRES . SOURCES SECONDAIRES 1 10 18 33 40 48 53 63 73 8S 93 104 l l II L'UNIVERSALITÉ DU THÉATRE DE MARCEL DUBÉ RÉsuMÉ L'oeuvre de Marcel Dubé

libérés, dont la structure n'est plus totalement fixe. On a toutefois toujours une tendance à l'isométrie de la structure dodécasyllabique. La rime -------------automne -------------paissant Ø -------------empoisonnent -------------lilas -------------fleur-là -------------automne -------------empoisonne -------------fracas -------------harmonica -------------mères -------------paupières -------------dément -------------doucement -------------abandonnent

Du Samedi 13 au Vendredi 19 Décembre 2014 La Panetière de Brunoy 16 avenue des Lilas Route national 6 91 800 Brunoy France

« mais » qui traduit aussi une valeur d'opposition. Ce poème met en scène un paysage bucolique et plein de charme. En effet, la beauté est mise en avant par l'utilisation du champ lexical du regard : « yeux », « paupières », « couleur de cerne  et lilas ». A la beauté de ce cadre campagnard s'ajoute une ambiance de gaieté produite par un événement clé de l'automne : la rentrée des classes. Ces enfants animent bruyamment le pré en jouant de l'harmonica. Ils ne produisent probablement par une mélancolie

ainsi qu’un vieux tombeau et triste, j’erre après un rêve vague et beau par les champs où la sève immense se pavane. Puis je tombe énervé de parfums d’arbres, las, et creusant de ma face une fosse à mon rêve, mordant la terre chaude où poussent les lilas, j’entends, en m’abîmant que mon ennui s’élève. Cependant l’Azur rit sur la haie et l’éveil de tant d’oiseaux en fleurs gazouillant au soleil. » 1- Retrouvez-le 2- S’agit-il d’un sonnet régulier ou irrégulier ? Justifiez

d’usagers de l’espace. Il n’existe aujourd’hui pas d’indicateur global permettant de rendre compte de la perception de la densité et des réalités multiformes qu’elle recouvre. Drancy Aubervilliers Bobigny Bondy Pantin 18e 19e Le PréSaint-Gervais Les Lilas 10e 20e 11e Bagnolet Montreuil Romainville (logts/ha) 0 - 25 25 - 50 50 - 100 100 - 250 plus de 250 0 1 Km Noisy-le-Sec Stains Dugny Aulnaysous-Bois Le Blanc-Mesnil © Iaurif © Iaurif © Iaurif © Iaurif La densité d’emplois (emp/ha)

Rimbaud, Derniers vers En printemps … En printemps, quand le blond vitrier Ariel Nettoie à neuf la vitre éclatante du ciel, Quand aux carrefours noirs qu’éclairent les toilettes En monceaux odorants croulent les violettes Et le lilas tremblant, frileux encor d’hier, Toujours revient en moi le songe absurde et cher Que mes seize ans ravis aux candeurs des keepsakes Vivaient dans les grands murs blancs des bibliothèques Rêveurs à la fenêtre où passaient des oiseaux… Dans des

portée par les archers au Moyen-âge. Le mot est surtout choisi pour sa sonorité peu harmonieuse : les enfants font du bruit. II)Le colchique, élément à la fois réaliste et symbolique. Le colchique est un élément à la fois réaliste (couleur de lilas)et symbolique (couleur de cerne). Fleur d’automne toxique pour les ruminants, c’est une beauté qui cache un danger mortel Le colchique est au centre du poème : Le mouvement du poème tout entier naît de l’opposition « vénéneux mais joli » du vers

nous comme un drap J'ai refermé sur toi mes bras Et tant je t'aime que j'en tremble Aussi longtemps que tu voudras Nous dormirons ensemble II) Les poèmes engagés Les lilas et les roses O mois des floraisons mois des métamorphoses Mai qui fut sans nuage et juin poignardé Je n’oublierai jamais les lilas ni les roses Ni ceux que le printemps dans les plis a gardé Je n’oublierai jamais l’illusion tragique Le cortège les cris la foule et le soleil Les chars chargés d’amour les