Les Lilas

voulues ou entretenues entre chefs d’état. La tradition voudrait que le premier oranger abrité dans l’orangerie de Fontainebleau ait été un cadeau de Soliman le Magnifique à François Ier ; rien n’est moins sûr. Par contre l’histoire de l’introduction du Lilas dans les pays de l’ouest de l’Europe est mieux connue. Des Balkans à Paris en passant par Vienne Originaire des montagnes des Balkans, cet arbuste était planté par les bergers certainement pour ses qualités décoratives mais surtout parce que de

comme documents: « La porte » de Guillaume Apollinaire. - « Le Laboureur et ses Enfants » de Jean de La Fontaine »La cuisson du pain » D’Émile Verhaeren - « La France est-elle coupée en deux? » de Gérard Fromanger. - Le « poinçonneur des lilas » de Serge Gainsbourg. « C U I S S O N D U PA I N » D ’ É M I L E V E R H A E R E N Les servantes faisaient le pain pour les dimanches, Avec le meilleur lait, avec le meilleur grain, Le front courbé, le coude en pointe hors des manches, La sueur

abandonne le pré : première strophe · 2ème Partie : Comment le lyrisme investie une scène champêtre Analyse I. Fssdda. Un cadre toxique, une nature malsaine i. Champs lexical de la nature : « le pré », « les vaches », « le colchique », « lilas », « fleur » ii. Une antithèse initiale entre vénéneux et joli qui traite du pré iii. « Les vaches paissant » qui parlent des animaux herbivore et « doucement s’empoisonne » qui est une métaphore au fait de manger l’herbe du pré vénéneux iv. Champs

-->Médée l'ensorcelleuse donna son nom(colchide) à cette plante. Rappelle mythologique: Jason et Médée 3.Le lilas -->célèbre la beauté de la jeune fille. B/autobiographie 1.Un lien à la réalité

NEMOZ Léa 1ère ES1 DM de français Ian Dupuis Paul Dupont 960 Chemin des lilas 1167 Route des Bois 38 280 Palbeau 38 200 Gauldeau Le 20 octobre 2014, Bonjour Paul, Suite à notre cours de littérature de la semaine dernière, je voulais te faire part de mes convictions. Selon moi, un poète écrit pour créer une atmosphère différente de la

yeux de la femme, tour à tour comparant et comparé. L’image, réversible tout au long du texte, est fondée sur la couleur et l’empoisonnement : - « Le colchique couleur de cerne et de lilas » v.4 représente les yeux, auxquels renvoie le nom « cerne » la fleur est le comparant, elle-même est comparé à la fleur du lilas pour sa couleur et devient donc le comparé. Noter que le mot « cerne », cercle bleuâtre autour des yeux, annonce la comparaison du v.5 : « tes yeux sont comme cette fleur-là ». La fleur

ma mourante haleine ;  Quand une main fidèle aura senti ma main  Se refroidir sans lui répondre ;  Quand mon dernier espoir, qu'un souffle va confondre,  Ne trouvera plus ton chemin,  Prends mon deuil : un pavot, une feuille d'absinthe,  Quelques lilas d'avril, dont j'aimai tant la fleur ;  Durant tout un printemps qu'ils sèchent sur ton cœur,  Je t'en prie : un printemps ! cette espérance est sainte !  J'ai souffert, et jamais d'importunes clameurs  N'ont rappelé vers moi ton amitié distraite ; 

3vers → décadence, impression que qlq chose s'éteint. Jeu sur le regard envoûtant de la femme : v.5 «Y fleurit tes yeux» (soit métamorphose suggérée soit imagination stimulée) ms regard qui tue. Colchiques → couleur cernes/ lilas (couleur rare et belle) + le «i» de lilas peut rappeler celui de Annie. Dernier gd thème lyrique : fuite du temps → v.14 «tandis que» (simultanéité) + v.15 «pour toujours» (amour éternel ms tjs douloureux) Idée du poète mal aimé → v.15 pré «mal fleuri» : malheur d'aimer

Il avait un gentil filet de voix et s’en servait avec adresse du matin au soir, le printemps venu. Il se levait avec les camarades, dans l’aube grise et bleue, et leur éveil effarouché secouait les hannetons endormis à l’envers des feuilles de lilas. Il se couchait sur le coup de sept heures, sept heures et demie, n’importe où, souvent 5 dans les vignes en fleur qui sentent le réséda, et ne faisait qu’un somme jusqu’au lendemain. Une nuit de printemps, le rossignol dormait debout sur un jeune

Brin de bruyèreEt souviens-toi que je t'attends Guillaume Apollinaire (1880-1918) PRINTEMPS Le PrintempsTe voilà, rire du Printemps !Les thyrses des lilas fleurissent.Les amantes qui te chérissentDélivrent leurs cheveux flottants.Sous les rayons d'or éclatantsLes anciens lierres se flétrissent.Te voilà, rire du Printemps !Les thyrses de lilas fleurissent.Couchons-nous au bord des étangs,Que nos maux amers se guérissent !Mille espoirs fabuleux nourrissentNos coeurs gonflés et palpitants.Te voilà