Les Limites De La Belle Epoque

morale c’est à dire respecter un certain nombre de règles qui ont été crées par la société. Mais ces règles peuvent changer d’une société à une autre et d’une époque à une autre. L’oeuvre d’art pourrait être considérée comme belle que si ce qu’elle représente est moralement bon. Au moyen-âge, cette affirmation était juste parce qu’à cette époque l’église était très présente dans la société : on peut même dire qu’elle avait le pouvoir. Donc toutes les oeuvres qui étaient obscènes ou contre Dieu étaient

Chapitre 1 : Pouvoir, société et culture dans la France de la Belle Époque Le terme de Belle Époque, utilisé pour qualifier les années 1890 – 1914 , désigne une période qui après les débuts difficiles de la Troisième République a pu apparaître comme relativement heureuse. Après les expérimentations politiques éphémères qui avaient caractérisé le XIXe siècle , la France connaît une période de stabilité institutionnelle

suivant différents critères sociaux, historiques, économiques ou politiques. Une période en particulier a révolutionné la littérature se situant comme le point de renverse de l’histoire de la littérature française. C’est en effet, à la Renaissance, époque paradoxale des grandes découvertes et du retour vers le passé, que tout s’est joué. Chaque domaine artistique a pu prendre un nouveau départ et la littérature a vu naître des genres, mourir d’autres. Dans la lignée de ces changements, il faut savoir

texte de Jaques Cazotte le pèlerin, des inventions qui permettent de voir le monde tel qu'il est ? Nous verrons dans un premier temps que le conte et l'apologue sont effectivement des reflets de la société, puis nous verrons qu'il sont néanmoins limités. Tout d'abord, la notion de société désigne tout groupement d’individus, dépendant les uns des autres et agissant selon des schémas communs. En ce sens, il est possible de parler de sociétés animales. Néanmoins, ici, le terme de société désignera

Grèce classique que la production historique prendra son essor dans un contexte culturel bien spécifique, celui de l'hellénisme même si on sait que par cette époque beaucoup d'ouvrages ont été réduits en lambeaux ce qui a rendu difficile la tâche de transmettre l'histoire aux futures générations. Alors comment les historiens de cette époques travaillaient-t-ils ? Sur qu'elles bases ont-ils commencé ? Et qui étaient-ils ? Dans un premier temps nous verrons les balbutiements de l'histoire avec le 1er

Sujet : « les Français durant l’été 1914 ». a) les limites du sujet Les difficultés étaient de s’interroger sur qui étaient ces Français ? Et de fixer les limites chronologiques. Il fallait bien sûr évoquer les hommes, les femmes et les différentes catégories sociales etc.... En ce qui concerne les limites chronologiques, il faut penser qu’elles ne sont pas forcément celles du temps. On pouvait faire partir l’été du 28 juin 1914 et terminer l’été avec le début de la guerre de position. Cela était

Le XIXe siècle est une époque très importante pour la littérature française, tant pour le courant en vogue à l’époque, le naturalisme, que pour les auteurs. Émile Zola a été un des pionniers pour cette époque. Dans cette étude, la représentation de la femme dans les nouvelles «Les coquillages de M. Chabre», parue en 1876, «La mort d’Olivier Bécaille», parue en 1878 et «Nantas», parue en 1879, sera l’objet de l’analyse. Ces nouvelles proviennent du recueil de nouvelles L’inondation, paru à la fin

l’approche culturel même ce qui est difforme peut nous plaire si le message de l’artiste est compris ( ?) Nous avons donc bien vu que nous pouvons discuter des gouts. Le proverbe : « On ne discute pas des gouts et des couleurs » A montrer ces limites Est-il possible de tomber d’accord car il s’agit d’une appréciation d’une œuvre d’art ? Les arts sont-ils différents des sciences, et les sciences elles, mettent-elle tout le monde d’accord ? En effet, art et sciences divisent le monde. Un

certaines œuvres provoquent du plaisir ? Nous pourrions être tentés de répondre avec l’opinion commune qu’il y a universalité du beau. I – L’universalité du beau. Souvent, lorsque l’on dit « c’est beau », le jugement est objectif : l’œuvre est belle en elle-même. Est-ce alors à dire qu’il y a une universalité du beau ? Premièrement, il apparaît que le jugement esthétique est subjectif en tant qu’il est le rapport entre deux consciences singulières. Il faut donc admettre la subjectivité de ce

XX° siècle, Berstein et Milza De 1900 à 1930 Chapitre 3: La «Belle Époque» société et vie culturelle en France au début du XX° siècle « Belle Époque » à laisser entre guillemets, correspond à la période à laquelle la France croyait encore avoir ses chances de retrouver son statut dans la hiérarchie des puissances mais à la fois consciente des changements que la guerre a provoqués dans la société française. En fait, la « Belle Époque », charnière entre le XIX° et le XX° siècle relève surtout du