Les Limites De La Démocratie Romaine

aristocratiques romaines, ainsi que le milieu grec. Il y enseigne l'éloquence et y écrit plusieurs ouvrages, dont une histoire de Rome depuis sa fondation en vingt livres : les Antiquités romaines, dont la moitié a été perdue. Cet extrait est issu d’un texte narratif dans lequel l’auteur y retranscrit ce qui selon lui serait la première loi de Romulus. L'histoire légendaire des fondateurs de Rome Romulus et Remus fait partie de la mythologie romaine. Cependant, les historiens romains eux-mêmes, à commencer

Assemblée du peuple Section II : Aube de la démocratie Par. I : Sparte A/ Egalité absolue B/ Les exclus de l’égalité C/ Un pouvoir oligarchique Par. II : Athènes A/ Réforme de Dracon B/ Action de Solon a) Réformes sociales b) Réformes politiques c) Eunomia C/ Réforme de Clisthène a) Pouvoir du peuple b) Pouvoir permanent du peuple c) Ostracisme Section III : La démocratie grecque Par. I : Fondements A/ L’impérialisme athénien a) Nature b) Impérialisme et démocratie B/ Rôle des philosophes a) Première génération

l’un des plus vibrants hommages encore rendus au législateur de Sparte se trouve dans un texte de l’historien romain Justin, que l’on doit placer au IVe siècle après J.-C. Autrement dit, l’image de Lycurgue a non seu- lement traversé les siècles mais a survécu à la disparition de Sparte, à l’écroulement politique d’Athènes et même à la prospérité autocra- tique du Haut-Empire romain. Et que dit Justin, qui se fonde sur de bonnes sources, du modèle politique cher à Lycurgue ? Ce n’est ni plus

issus d'une famille de citoyens. -La « généreuse et magnifique » citoyenneté romaine se distingue sous l'empire par son caractère ouvert. Il est en effet possible de l'acquérir, soit par le service militaire (20 ans de service dans les troupes auxiliaires), soit par affranchissement si on est l'esclave d'un citoyen romain, soit par faveur impériale. En effet, les empereurs accordent la citoyenneté romaine aux élites locales des territoires conquis, souvent pour les récompenser. Rome accorde

POLITIQUE : · Pensée Grecques · Pensée Romaine · Pensée Musulmane Les Romains et les Grecques ont été les premiers à appliquer la pensée à l’action. Toute action est pensée, l’état lui-même en tant qu’organisation sociale a été ordonné en tant que système de pensée. Les Grecques parle de cité, cette dernière ne s’inscrit pas dans l’Etat-Nation actuel. Mais cela n’empêche pas de dire que l’état moderne s’inspire profondément de la cité Grecques. Les Romains quant à eux ne se sont pas penchés sur

sophistes, personnes mystérieuses qui vont bouger de ville en ville et vont vendre leurs leçons, l’art de persuader par le discours (pour faire de la politique, pour convaincre, conquérir le pouvoir). Ils se développent lors de l’expansion de la démocratie en Grèce. Ils vont rabaisser la dimension du politique au niveau d’une technique et non d’une sagesse. Leur ennemi : Socrate, qui conteste les caractéristiques des Sophistes, qui vendent leur leçons, et ramènent la politique « sur terre », comme

Les limites de la démocratie athénienne On peut en distinguer trois. Le rapport à l’universel L’existence de l’esclavage ou l’exclusion des femmes de la sphère politique renvoie à un problème plus vaste, le rapport à l’universel. Non seulement la communauté politique est limitée aux adultes, mâles, libres, mais elle est aussi limitée à la cité construite historiquement dans son contour géographique. Périclès fera d’ailleurs adopter par l’Ecclesia une disposition restreignant l’accès à la citoyenneté

pensée grecque. Qu’est-ce que la Philo ? -Philia (l’ami)-sophia (la sagesse) -Une quête de la sagesse -Une doctrine de Salut sans Dieu (le salut est tout à fait lié à la notion de peur : tous les Hommes vont mourir et le fait que notre temps soit limité=>angoisse de notre mort et de celle des autres. Le salut, le sage est celui qui arrive à vivre avec cette peur. En religion c’est par la foie qu’on parvient à surmonter cette peur. La philosophie permet de la surmonter sans demander le salut à Dieu

quique tribuere. » qui signifie « attribuer à chacun selon son dû. » Aristote nous dit que le droit est un phénomène extérieur à l’homme, qu’il porte sur des faits, des choses et qu’il consiste répartir justement ces choses. Derrière ça le droit romain a développé l’idée que, le droit devait régir des rapports loyaux, devait déterminer des conduites humaines mais que le droit était distinct de la morale, qui est essentiellement un phénomène individuel, que le droit était distinct de la religion

qualités et leurs défauts. Il dit ce qui est. Ces deux approches, on les retrouve chez d’autres auteurs au fil des siècles, avec des démarches idéalistes et empiriques. Cette réflexion sur la politique change profondément à partir de la chute de l’Empire Romain, de la fin de l’Antiquité. Au Moyen Age, ce sont les considérations théologiques et religieuses qui priment. La politique ne fait plus l’objet d’une réflexion autonome. Elle n’apparaît que comme une sous division de la théologie.Il faut attendre