Les Limites De La Politique Monétaire De La Bceao

2 2.3 2.4 III. 9 11 11 11 12 13 3.1 3.2 IV. 4.1 4.2 4.3 V. 5.1 5.2 VI. 6.1 6.2 6.3 6.4 6.5 6.6 VII. VIII. INTRODUCTION CONTEXTE ET MISE EN ŒUVRE DE L’ÉTUDE OBJET DE L’ÉTUDE BÉNÉFICIAIRES DES PROGRAMMES RÉGIONAUX DE FORMATION MÉTHODE DE TRAVAIL LIMITES DE L’ÉTUDE LES FAIBLESSES ET LES ATOUTS DES SYSTÈMES STATISTIQUES NATIONAUX DE LA RÉGION D’AFRISTAT VIS-À-VIS DE LA FORMATION CONTINUE EN STATISTIQUE LES FAIBLESSES DES SSN JUSTIFIANT LA FORMATION CONTINUE EN STATISTIQUE LES ATOUTS DE LA FORMATION

i VI LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS AFD : Agence Française de Développement ANADER : Agence National d’Appui au Développement Rural APROMAC : Association des Producteurs et Manufacturiers du Caoutchouc Naturel BA : Banque Atlantique BCEAO : Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest BFA : Banque de Financement Agricole BIAO : Banque Internationale de l’Afrique de l’Ouest BICICI : Banque Internationale de Commerce et d’Industrie en Côte d’Ivoire BNI : Banque Nationale d’Investissement

qu’elle emploie. L’administration s’intéressera à l’entreprise même au moment de sa disparition, que cette disparition soit statutaire ou anticipée. 2. Aspect économique L’impôt est considéré comme un instrument de politique économique et social. L’Etat se sert de l’impôt pour orienter les agents économiques vers les objectifs de développement consignés dans les plans de développement économique et social. Cela se fait sous forme de mesures incitatives appelées stimulants

CEDEAO dans la Gestion des Crises Politiques et des Conflits Cas de la Guinée et de la Guinée Bissau La CEDEAO et les Cas de la Guinée et de la Guinée Bissau Dr. Gilles Olakounlé Yabi Le Rôle de la CEDEAO dans la Gestion des Crises Politiques et des Conflits : Cas de la Guinée et de la Guinée Bissau A propos de l’auteur Yabi Gilles Olakounlé : Docteur en économie du développement de l’université de Clermont-Ferrand I, ancien journaliste et analyste politique, Gilles Yabi est consultant et

3 OCDE : Perspectives économiques en Afrique 2004/2005 Mis en forme : Police :(Par défaut) Times New Roman, 10 pt, Français (France) La libéralisation commerciale étant une condition à laquelle, les institutions internationales comme le Fonds Monétaire International et la Banque Mondiale octroient 1 2 Réalisé et soutenu par Léopoldine TOKPLONOU et Bernadin AHODODE    Page 1  Analyse des effets des exportations non agricoles sur la croissance et le bien-être au Bénin   d’aide financière ou

importations européennes, le pouvoir d’achat et la pauvreté. Par conséquent, il est important pour chaque pays et pour l’ensemble de la sousrégion d’évaluer l’impact que pourrait avoir l’ouverture de leurs marchés domestiques, et étudier les options politiques possibles. Les négociations sur le niveau d’ouverture du marché ouest africain aux importations en provenance d’Europe n’ont pas toujours fait l’objet d’un consensus entre l’UE, l’AO et la société civile. De 60% en 2009, l’offre d’accès au marché

Il permet d’assurer le financement des travaux de construction de routes, d’hôpitaux, d’écoles et la rémunération des agents de l’Etat, etc.… _ Le rôle économique de l’impôt : L’impôt peut être utilisé comme instrument de politique économique. L’Etat s’en sert alors afin d’orienter l’activité économique. C’est le cas notamment de l’incitation fiscale à l’investissement. _ Le rôle social de l’impôt : L’impôt assure une sorte de redistribution des richesses du

Effets globaux de l'aide budgétaire au Mali 2003-2009 6 118 127 6.1.1 Aide budgétaire comme mécanisme de financement de la stratégie nationale 6.1.2 Aide budgétaire comme promoteur d’efficacité et d’efficience dans la mise en œuvre des politiques nationales 6.1.3 Aide budgétaire comme mécanisme d'atteinte des résultats et des impacts durables sur la croissance et le développement 6.2 Leçons pour la conception et la mise en œuvre des aides budgétaires 6.2.1 Les conditions de base pour

M. Fabrice Alain EKPO, Economiste-pays Supérieur, ORWA M. HOUENINVO, Toussaint, Economiste, OSGE M. COULIBALY Abdoulaye, Expert en gouvernance, OSGE Juin 2010 Equipe d’évaluation Pairs Évaluateurs i Table des matières Equivalences monétaires ....................................................................................................................... i Sigles et Abréviations ...................................................................................................

...................................................................... 14 IV. ELEMENTS DE STRATEGIE NATIONALE DE LA MICROFINANCE .............................................. 15 IV.1. IV.2. IV.3. IV.4. IV.5. IV.6. IV.6.1. PRINCIPES GENERAUX DE POLITIQUE DE MICROFINANCE .......................................................... 15 JUSTIFICATION DE LA STRATEGIE NATIONALE DE LA MICROFINANCE ..................................... 16 VISION STRATEGIQUE ................................................