Les Limites Des Monétaristes

le taux d’intérêt reste son moteur essentiel. Au niveau des banques commerciales le refinancement auprès de la banque centrale est rendue obligatoire et systématique afin de répondre aux besoins de crédit, cependant le marché est fermé et le crédit limité par ce besoin de refinancement. Enfin les taux d’intérêt sont fixés et peu représentatifs des marchés de capitaux et le contrôle monétaire se fait sur le crédit. Vers 1985, nous avons pu constater que l’économie d’endettement avait laissé place

risque d’inflation. Ou alors les banques décident de stopper cette inflation pour maintenir la stabilité des prix au détriment de la croissance économique avec la mise en place d’une politique monétaire restrictive selon le courant de pensée des monétaristes. Cette politique consiste à augmenter le taux d’intérêt, ce qui ralentira la demande de crédit d’où une moindre grande création de monnaie mais elle va aussi ralentir la consommation et les investissements. Tous les pays ne sont pas touchés

C. Les limites à la création monétaire En principe dans une économie en croissance, le flux de création monétaire est plus important que le flux de destruction monétaire. On dit qu’il y’a une création nette de monnaie. Néanmoins cette création rencontre des limites qu’on appelle des fuites. C’est la demande de billets de la part des clients. Il y’a donc moins de possibilités pour la banque de créer de la monnaie. Le non remboursement des crédits par ses clients est une limite pour les banques

politico-monétaire et risque d’être discrétionnaire) et ne peut avoir que des effets inflationnistes et non pas réels sur l’économie. Ainsi, les billets émis par la banque centrale doivent être la stricte contrepartie de ses réserves en or (la couverture or limite l’accroissement de la masse monétaire) ; alors que pour la currency school, la banque centrale doit être libre des maîtres de la monnaie au-delà de l’encaisses or en contrepartie des crédits à l’économie. KEYNES s’inscrit dans cette vision endogène

tentation chez Léon Walras ou dans l'utilitarisme de Jeremy Bentham. Elle a le rôle plus limité de forger des outils pour essayer d'améliorer l'existant. Dès la publication en 1944 du White Paper on Employment Policy, Keynes, sentant revenir chez certains économistes la tentation walrassienne et benthammienne, ironise sur ce qu'il appelle la « joie par les statistiques » (Joy through Statistics) Les limites de la Théorie générale La Théorie générale de l'emploi de l'intérêt et de la monnaie n'est

principes d’une gestion fiscale saine. Son apport demeure vivement sollicité afin d’éclaircir davantage la portée et le sens précis de certaines dispositions fiscales. 2-La jurisprudence administrative : La matière financière ne se limite pas á une législation ou á une réglementation á caractère strictement fiscal. Elle s’étend aux actes administratifs ayant directement ou indirectement une incidence fiscale. A cet effet ; Le juge administratif joue un rôle de « créateur »de droit

(spéculation) • Monétaristes ( Chef de file : FRIEDMAN ( Concepts : - masse monétaire doit être réguler = Politique monétaire - Pour lui l’origine de l’inflation est tiré de la monnaie, il va donc surveiller la quantité de monnaie en circulation dans l’éco = OCD = Prix P donc source d’inflation - Politique Budgétaire renforce la DDE donc le taux de P masse monétaire pour I conso est limiter car anticipation de l’augmentation

de niveau de vie car il regroupe l'ensemble des revenus reçus par les unités résidentes (le PIB étant, dans l'optique des revenus, un agrégat des revenus versés par les unités résidentes, y compris donc à des unités non résidentes). 4. Les limites du PIB et les comparaisons internationales Le PIB est souvent transformé en PIB/habitant pour mesurer le niveau de vie. PIB par habitant = PIB/population totale Les comparaisons internationales de PIB ou PIB par habitant (ou RNB par habitant)

politique de relance B) La politique des revenus Action des pouvoirs publics sur la formation de revenus des agents économiques et sur les transferts de revenus L’état peut modifier le barème de l’impôt Budget, politique budgétaire et limites des politiques budgétaires Intro La croissance forte et régulière des trente glorieuses semblait avoir conjure la fatalité des crises Les politiques économiques keynésiennes permettaient aux pouvoirs publics de stimuler la croissance et ce grâce

monétaires n’ont aucun effets sur l’économie réelle. • celle des Keynésiens qui pensent que la sphère réelle et monétaire sont interdépendante et que les politiques publiques doivent corriger ces déséquilibres en jouant sur la monnaie. • celle des monétaristes qui pense que la sphère réelle doit trouver son reflet dans la sphère monétaire et que tous désajustement est source de déséquilibre. Economie monétaire et financière Les phénomènes monétaires peuvent ils jouer sur les déséquilibres économiques