Les Limites Des Monétaristes

période inflationniste des Trente Glorieuses est allée de pair avec le plein-emploi, tandis que le chômage a accompagné la désinflation des décennies suivantes. La concomitance de l'inflation et du chômage s'est limitée aux années 1970. Les théories monétaristes et des anticipations rationnelles, pour s'être focalisées sur la stagflation des années 1970, ne nous ont pas très bien expliqué la coexistence du plein-emploi et de l'inflation concernant la longue période qui a précédé, dans un contexte de politiques

Section1- La politique des taux d’intérêts : L’objectif de cette section est de retracer les traits caractéristiques de la politique des taux d’intérêts qui a été poursuivie par les autorités monétaires dans le but de ressortir ses vertus et les limites auxquelles elle s’est heurtée en matière de mobilisation de l’épargne. I) les bases théoriques d’une politique de taux d’intérêt appropriée dans les PED : Concernant ce point deux interrogations essentielles peuvent être posées : • Quels sont

extrêmement divisés sur cette question. D'un côté, il y a les budgétaristes qui, se réclamant de la théorie keynésienne du revenu national, croient que la politique budgétaire est un instrument efficace de stabilisation. De l'autre, il y a les monétaristes qui eux croient à l'influence prédominante de la masse monétaire dans la détermination du revenu national et qui soutiennent qu'une intervention purement budgétaire du gouvernement, i.e. non accompagnée d'une politique monétaire d'accommodement

entre les intérêts particuliers et l'intérêt général (concept de la Main invisible). C'est grâce au marché que s'établit l'équilibre entre l'offre et la demande. L'État doit être minimal, il ne doit pas intervenir dans l’activité économique et se limiter à ses fonctions régaliennes (XVIIIème et XIXème siècles). · Les protagonistes des mouvements cycliques : l'histoire économique s'explique par des crises cycliques. o Le cycle de KITCHIN (1923) est un cycle "mineur" qui a une durée de 3 ans et demi

création monétaire et une insuffisance de liquidités susceptible de freiner l'activité économique (ni trop, ni trop peu). La quantité de monnaie en circulation dans une économie ne doit pas être faible car les agents économiques seront alors obligés de limiter leurs activités économiques : consommation, investissement et production. A l’inverse, une quantité de monnaie trop abondante met à la disposition des agents économiques un pouvoir d’achat bien supérieur à la quantité de biens disponibles, ce qui

établie un lien entre une variation nominale par la hausse des prix et une variation réelle par le taux de chômage ne peut satisfaire les monétaristes pour qu’il y ait dichotomie, c’est-à-dire à la fois séparation et indépendance entre la sphère monétaire par les prix et la sphère réelle par le chômage et ceci tout au moins sur le long terme. Les monétaristes ont cherché à expliquer la courbe de Phillips en limitant sa portée. 1. L’analyse keynésienne Les keynésiens justifient la forme de

pouvoir tout contrôler. 3. La liquidité du système bancaire. La création monétaire des banques est freinée par la nécessité de disposer de monnaie Banque Centrale. Le concept de multiplicateur de crédit est une représentation théorique des limites de la création monétaire. Le concept de diviseur de crédit impose une relation de dépendance依存ex post. Distinction la liquidité d’une banque et la liquidité de l’ensemble du système bancaire. La banque est liquide si elle dispose suffisamment

au bon fonctionnement et à la croissance de l'économie tout en veillant à la stabilité de la monnaie. La quantité de monnaie en circulation dans une économie ne doit pas être en effet trop faible, car les agents économiques seront alors obligés de limiter leurs activités économiques (consommation, production, investissement, etc.). À l'inverse, une quantité de monnaie trop abondante met à la disposition des agents un pouvoir d'achat bien supérieur à la quantité de biens disponibles, ce qui peut provoquer

via le GATT puis l’OMC, ont profondément modifié les hypothèses et théories économiques raisonnant en circuit « fermé ». Les théories de l’offre de monnaie n’échappent pas à cette idée.  Modèle du multiplicateur de base monétaire : - Monétariste, la création monétaire est contrôlée par la BC. - Offre de monnaie centrale exogène - Création de monnaie centrale → création monétaire des banques  Modèle du diviseur de crédit : Modèle d’inspiration néokeynésienne, la création de monnaie

Après un premier article sur le fonctionnement de la Banque Centrale Européenne, nous allons voir ici les limites et les grands enjeux auxquels elle devra répondre. Rappelons néanmoins que l'objectif premier de la BCE est la stabilité des prix, autrement dit une inflation "proche de 2%".La première controverse au sujet de la BCE touche à son indépendance vis à vis des pays membres de l'Union (et touche donc à sa légitimité). En effet, pour caricaturer, la BCE a les yeux rivés sur l'inflation et ne