Les Limites Du Doute

Il faut souligner tout d’abord qu’il existe deux formes de doute : le doute sceptique et le doute méthodique. Le doute sceptique est celui de quiconque se plaît à douter, douter pour douter. Le doute méthodique, c’est celui qui, depuis le philosophe René Descartes, est devenu l’attitude habituelle de la science, de la recherche, et d’une bonne partie du raisonnement occidental. Pour faire court, c’est le doute systématique qui consiste à tout faire passer aux cribles de la rationalité critique

désirs. Parcontre, le doute et les questionnements sont-ils des obstacles au bonheur? sujet divisé : thèse : oui à la question +pourquoi Thèse: Tout d’abord, oui le doute et les questionnements sont des obstacles au bonheur puisque le bonheur est lorsque tout est simple et le doute et les questionnements emmènent des complications. De plus, le doute et les questionnement nui à l’achevement de certain but qui font ‘’notre’’bonheur. ARG1 : 1-    Premièrement,  Quand le doute nous envahit au point

le langage courant, c’est ne pas être certains de ce que nous remettons en cause2. Or, quand nous disons que nous savons quelque chose, c’est précisément que nous le tenons pour vrai, que nous en sommes sûrs. Doute et savoir semblent donc s’opposer3. En cela, le fait de faire du doute un moyen possible du savoir, ce que présuppose le sujet4, peut apparaître comme surprenant : faut-il douter pour savoir5 ? Être obligé, sur le plan théorique6, de se poser en permanence des questions sur la validité

mettre en doute une affirmation quelle qu’elle soit → doute systématique → Les conséquences du scepticisme : Dire : « il n’y a pas de vérité » et « rien n’est vrai » → c’est dire « il est vrai que rien n’est vrai » → contradiction → vérité qui est affirmée alors que l’on refuse toute vérité. 2 conclusions : quand on croit ça fait obstacle à la vérité et quand on ne croit pas ça fait aussi obstacle à la vérité La recherche de la vérité : Le doute méthodique : → doute sceptique et doute méthodique :

être obligé d'y penser ? Nous allons donc voir que, apparemment, le seul moyen d'échapper au scepticisme, c'est d'admettre qu'il existe une intuition et une déduction rationnelles qui, contrairement aux informations des sens, ne peuvent être mises en doute. Et pourtant, les vérités du cœur qui proviennent de la coutume concurrencent et même dépassent en certitude les vérités de la raison qui suivent de la démonstration. Cela dit, ce dont il est impossible de douter, ce n'est pas une soi-disant vérité

surgir plus fortement l’irrationnel. Le fantastique se situe toujours sur une limite : les sens ( la vue, l’ouïe) sont obligés d’accepter un événement que la raison ne peut admettre. insistance possible sur l’état second du personnage principal : beaucoup de situations favorables au fantastique sont associées à une sorte d’état second. Fatigue, fièvre, ivresse, somnolence, drogues conduisent le héros à la limite de la conscience, dans l’incertitude entre veille et sommeil. Mais, jusqu’à la

Savoir ce qui est vrai ? Tout mettre en doute (doute méthodique), à commencer par les fondements, pour avoir une connaissance véritable ce qui servirait de fondement aux sciences. 1.2 Démontrer une à une que les opinions sont fausses = travail infini. Donc Descartes va s’attaquer aux fondements 2. Doute méthodique appliqué à deux principes fondamentaux (Tout ce que j’ai reçu…assuré dans les sciences) 2.1 Premier principe mis en doute : les sens Choix de la sensation par Descartes

prétendait faire passer de simples préjugés sociaux pour des vérités absolues. Elle s’offusquait de ce que la conscience socratique la ramène à ses limites par son « elenchus », pouvoir de négation de ses préjugés. Cependant, c’est peut-être trop peut accorder à la conscience de dire qu’elle ne peut parvenir à absolument aucune vérité. C’est aussi limiter ses prétentions que de la forcer à justifier les vérités qu’elle prétend avoir découvert. Dès lors, n’est-il pas possible d’instrumentaliser ce

 : ce qui est permanent, le sujet grammatical : celui qui fait l’action. (objet) Ob-jectum : « ce qui est placé devant »  : ce qui est placé en opposition au sujet. « ce que »  : limite le problème « conscience d’être »  : cela renvoie à la connaissance que l’on peut avoir de soi. Celle-ci est elle transparente ?2 notions à définir :La Conscience :Quelques expressions qui nous viennent à l’esprit :Conscience

conventions de la peinture. La couleur n'est plus imitative et Matisse ne respecte plus le ton local. Sans doute cette nouveauté est-elle à mettre en rapport avec les innovations de Gauguin. De plus Matisse utilise une touche qui paraît fruste à ses contemporains, quelque chose de "primitif" dans la facture. Gauguin mais aussi les arts Océaniens ou Africains dont Matisse était collectionneur y sont sans doute pour quelque chose. C'est alors le dessin qui est "simplifié" et remis en question. Il ne s'agit plus