Les Limites Du Pib En Tant Qu Indicateur

n’importe quel autre service (carte bancaire). Prod évaluée par la valeur des commissions versées par le client et donc facturée. Intermédiation financière : qui consiste à collecter l’épargne et à répartir ces liquidités. Prod qui n’a pas de prix en tant que tel. Ce sont les SIFIM (Services d’Intermédiation Financière Indirectement Mesurés). Services des sociétés d’assurance, mesurés comme tel : primes reçues + revenus tirés du placement de ces primes – indemnités reversées aux clients. Quand ces

28 Résumé La crise politique qui perdure à Madagascar a imposé un lourd tribut à l'économie et la population, et en particulier sur les couches les plus vulnérables. L’économie est au point mort. La pauvreté a augmenté de façon alarmante. Les indicateurs sociaux se sont dégradés. La crise a mis un frein aux progrès vers les défis de longue durée que sont la faible gouvernance et l’Etat de droit. La capacité d’adaptation aux chocs exogènes (crise mondiale ou cyclones) est gravement compromise. Les

* MESURER * PIB : somme des valeurs ajoutées des différents secteurs de production résidants y compris si la société appartient à des étrangers. PIB= VA +TVA + droits de douanes- subventions reçues. PIB donne des informations en valeur. Soit utilisé brut ou divisé en nombre d’habitant. Il est aussi utilisé en comparaison, d’une année à l’autre pour définir le taux de croissance. Avant 1976 , les services non-marchands n’étaient pas comptabilisé dans le PIB. On essaie d’évaluer

relancer la croissance, et le gouvernement chinois est incapable de réagir au défi extérieur. Le milieu du XIXème siècle ouvre une longue période de déclin, marquée par les désordres sociaux. Selon Angus Maddison (2011), au début du XVIIIème siècle, le PIB par habitant en Chine est déjà presque moitié moindre que celui de l’Europe occidentale (mais encore supérieur à celui des Etats-Unis et du Japon). Pour d’autres historiens, l’Europe occidentale et la Chine ont encore des niveaux de développement comparables

dans la mesure de chacune d’entre elles. Ces difficultés sont certes également présentes dans les pays riches, mais elles touchent les pays pauvres avec plus d’ampleur, en particularité du fait des problèmes de recueil statistique et d’appréciation, tant qualitative que quantitative, de ces dimensions. Ensuite, la recherche d’une prise en compte équilibrée des différentes dimensions du développement durable (environnementale, économique, humaine et sociale) est particulièrement délicate compte tenu

doit pas, en effet, être confondu avec la croissance, dans la mesure où il se fixe d’autres objectifs que la simple augmentation du PIB, il peut donc exister une croissance sans développement dans la mesure où les besoins fondamentaux de tout les hommes ne sont pas couverts ; il est par contre possible d’imaginer un développement sans croissance dans un pays où le PIB par tête n’augmenterait pas, mas qui parviendrait à une justice sociale et à une réduction des gaspillages au profit des besoins essentiels

pour lesquels on a développé des modèles de croissance . dans les pays du tiers monde on a une monétarisation qui est limité, pas de marché concurrentiel . deuxième problème c’est que l’objet de la théorie de la croissance c’est d’expliquer l’évolution d’un seul agrégat qui est le pib or on sait que le pib (je ne sais pas rendre le bien-être de la population etc) le pib est limité . l’idée sera de remplacer l’analyse en terme de croissance par une analyse plus global en terme de développement

dans le sens jugé souhaitable aux yeux de tous dans le but d’améliorer les conditions de vie des citoyens. Dans un certain nombre de cas le fonctionnement normal du marché ne permet pas d’aboutir à une situation d’équilibre satisfaisante. Donc les limites de la régulation par le marché justifient alors l’intervention de l’Etat. -les moyens d’intervention de l’Etat dans la sphère économique reposent sur différentes politiques comme par exemple la politique budgétaire monétaire ou encore la politique

l’évolution de la dette et du déficit publics de la France, exprimés en pourcentage du PIB. La part de la dette a connu une forte augmentation au cours de la période 1995-2010, ce qui s’explique par un budget presque systématiquement déficitaire (il n’a été excédentaire que deux fois). La diminution de la dette en 2000 et 2001 n’est donc pas une diminution en valeur absolue, mais une diminution en valeur relative, c’est le PIB qui a progressé plus fortement. Cette situation d’endettement et de déficit ne caractérise

monnaie : les agrégats monétaires. A - les agrégats et contreparties. Le contenu des agrégats monétaires prête à discussion et est périodiquement remodelé notamment lorsque surgissent des innovations financières. Les agrégats monétaires sont des indicateurs statistiques de la quantité de monnaies en circulation ; ils reflètent la capacité de dépense des agents non financiers résidents. Il s’agit des moyens de paiement de ces agents, classés selon leur degré de liquidité (transformable en monnaie).