Les Lois Sont Elles Nécessaire à La Liberté

Emmanuel KANT (1785) Fondements de la métaphysique des mœurs Traduit de l’Allemand en français par Victor Delbos (1862-1916) à partir de l’édition de 1792. Un document produit en version numérique par Philippe Folliot, professeur de philosophie au Lycée Ango de Dieppe en Normandie Courriel: philippefolio@wanadoo.fr Site web: http://perso.wanadoo.fr/philotra/ Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://classiques.uqac.ca/ Une collection développée

Introduction : le droit, entre la norme naturelle et la norme positive A- Le droit, fait normatif et social B- Aristote, Rhétorique, I, 13: on peut entendre le terme de " droit " en deux sens différents I- PEUT-ON FONDER LE DROIT POSITIF SUR LE DROIT NATUREL? II-COMMENT ECHAPPER A CE RELATIVISME? COMMENT JUGER, CRITIQUER, LE DROIT POSITIF ? A- D'abord on peut facilement montrer que de telles objections contre le droit naturel ne sont pas tenables B- Une loi juste (légitime

LibertéLa liberté est un concept qui même à notre époque a encore besoin d'être défendu et de lutter pour la conserver et on peut le voir notamment en Iran ou la population se bat pour la liberté des femmes. La liberté, pour les espèces ayant un sentiment, consiste à pouvoir aller où on veut sans en être empêché, ce qui revient au droit du plus fort car il faut être suffisamment fort pour imposer sa liberté aux autres. Cette liberté que l'être humain cherche sans cesse symbole d'une vie sans restriction

est-ce-qu'on peut à la fois obéir et être libre? On a souvent tendance à penser que la liberté est le fait de pouvoir faire tout ce que l'on veut, tout ce que l'on désire, sans rencontrer ni d'obstacles, nide contraintes. Mais sans contraintes ni obastacles, la liberté est sans limites, elle n'est pas clairement définie. Pour être libre il faudrait obéir à des contraintes, des lois, et la libertéserait définie par ces contraintes et ces lois. On peut donc se demander si il est possible d'être

LA LIBERTE : definition etre libre n'est pas a prendre au sens quotidien du terme comme "etre libre c'est faire ce que je veux ", il ne faut pas voir la liberté comme une possibilité d'assouvissement des désirs mais plutot dans son terme philosophique comme l'autonomie du choix..La liberté est alors non pas tant un fait qu'une exigence dont l'homme a à se montrer digne. Le terme liberté se revele ambigu. LE DETERMINISME: quant au determinisme son principe affirme que tous les phénomènes sont liés

L A L I B E R T É A - Définition de la liberté I - Liberté et déterminisme De nombreuses expressions populaires proposent des modèles de liberté tirés de la nature. Ainsi pourra-t-on entendre dire qu'on aimerait être libre comme un animal, ou libre comme le vent ou l'air. Sont donc proposés ici des symboles naturels de la liberté : - l'animal, supposé représenter la liberté de par l'absence de contraintes sociales dans le déroulement de sa vie, la spontanéité de son action, et la simplicité

entendu, il ne s’applique pas à un seul individu mais à un groupe de personnes étant sous la même autorité politique. Le droit comporte des lois et règles que l’on estime nécessaires pour vivre ensemble dans une même société. Le mot libertaire renvoi vers ce qui prône une liberté absolue, ainsi que le rejet de toute autorité. C’est ce qui se rapproche en quelque sorte le plus de l’anarchisme. Les personnes qui se disent libertaire sont les partisans d’une liberté maximale. Quant au mot liberticide

ANALYSE DISCOURS DES LIBERTES, A. THIERSDepuis le 2 décembre 1851, le peuple français vit sous la tutelle d’un nouveau régime politique autoritaire, qui laisse de place à l’expression des libertés individuelles et collectives. Plusieurs mesures et décrets sont peu à peu mis en place pour restreindre ces dernières. Les oppositions émergent alors dans les années 1860, et la population française aspire de plus en plus à une libéralisation du régime. Dans son discours prononcé devant le Corps législatif

défendre leurs libertés contre le pouvoir : les constitutions en effet sont nées de la volonté de limiter l’arbitraire du pouvoir royal en encadrant le pouvoir de l’Etat afin qu’il n’étouffe pas les libertés individuelles. Le constitutionnalisme répond à ces aspirations en imposant la supériorité d’une constitution écrite sur les autres normes juridiques conformément à la hiérarchie des normes inspirée par le juriste Autrichien Hans Kelsen. La révision constitutionnelle du 23 juillet 2008 qui a donné aux

il est indispensable d'en rappeler les éléments constitutifs: la Déclaration des droits de l'homme de 1789 (…), le préambule de la Constitution de 1946 (…), la référence aux « principes fondamentaux reconnus par les lois de la République » (…) , la Constitution de 1958 (…) et les lois organiques (…). Le développement du bloc de constitutionnalité constitue l'apport le plus original du Conseil constitutionnel. Il témoigne d'une capacité d'innovation peu habituelle dans les institutions de la République