Les Lumières de la ville

appareils de la Légion Condor de la « Luftwaffe » allemande, lâche 50 tonnes de bombes incendiaires sur la petite ville basque de Guernica, dans le nord de l’Espagne.  Picasso, très touché par le bombardement de la ville de Guernica, choisit donc de réaliser, pour honorer la commande du gouvernement espagnol pour l'Exposition Universelle de Paris, une représentation de la tragédie de cette ville. A travers ce tableau monumental, qui est l’un des plus connus du peintre, Picasso exprime toute sa colère

personnages se poursuit dans les chapitres qui suivent. Nous nous demanderons dans quelle mesure Voltaire présente ici une société idéale. Après avoir montré que l'Eldorado est un ailleurs exotique, nous verrons que cette société réponds à l'idéal des Lumières. Dans un troisième temps, nous tenterons de dégager les limites de cet idéal. I L'Eldorado, un ailleurs exotique 1) Un monde en décalage Le monde décrit apparaît en décalage par rapport à celui dans lequel voyagant habituellement Candide et

7 rue des grands Augustins à Paris. 4°/L'OEUVRE ET SON CONTEXTE Le 27 avril 1937, la nouvelle parvient à Paris que des bombardiers allemands, à la solde de Franco, ont rayé de la carte la petite ville de Guernica, ancienne capital des Basques. Picasso découvre dans la presse les photos de la ville détruite. Il décide de peindre sur ce sujet pour l'Exposition internationale de Paris. 5°/DATE ET LIEU D'EXPOSITION DE L'OEUVRE. Picasso peint Guernica du 1er mai au 4 juin 1937. La toile est exposée

horizontaux définissent la surface de la mer. Les façades se confondent avec leur reflet de sorte que la ville semble flotter dans l'espace. L’artiste suggère la silhouette évanescente de la ville dans une lumière changeante et transparente. Le chatoiement de la lumière et de l’air absorbe les formes et crée ainsi un univers de liberté éthérée. Turner traduit son intérêt non seulement pour la lumière et l’atmosphère mais aussi pour les détails de la vie qui anime une grande cité (les petits personnages

est actuellement conservée au musée Reine Sofia à Madrid .Pablo Picasso a réalisé Guernica à la suite du bombardement de la ville Guernica qui a eut lieu le 26 avril 1937, lors de la guerre d'Espagne,et qui est devenue bien vite un symbole de violence. 2.Picasso a peint cette toile pour exprimer toute l'horreur et la colère qu'il ressent suite au bombardement de la ville de Guernica. Il la réalisé le 1er mai 1937 à Paris, sous la commande du gouvernement républicain espagnole pour être exposée

un adepte des tragédies classiques, par conséquent j’ai choisi un extrait de la pièce antique Euripide. Celle-ci relate d’après la Guerre de Troie, lorsque la ville éponyme fut totalement détruite. Le début de la pièce se fera avec l'entrée des comédiennes, projecteurs braqués sur elles. Mis à part ces projecteurs, aucune autre lumière n'éclairera la scène. La scène est jouée par trois femmes Troyennes, devenues captives des Grecs. Elles ont toutes les trois des toges blanchâtres déchirées

confuse, une joie de tout mon corps m'envahit. Je m'éveille, je m'anime. A mesure que l'ombre grandit, je me sens tout autre, plus jeune, plus fort, plus alerte, plus heureux. Je la regarde s'épaissir la grande ombre douce tombée du ciel : elle noie la ville, comme une onde insaisissable et impénétrable, elle cache, efface, détruit les couleurs, les formes, étreint les maisons, les êtres, les monuments de son imperceptible toucher. Alors j'ai envie de crier de plaisir comme les chouettes, de courir sur

confuse, une joie de tout mon corps m'envahit. Je m'éveille, je m'anime. A mesure que l'ombre grandit, je me sens tout autre, plus jeune, plus fort, plus alerte, plus heureux. Je la regarde s'épaissir la grande ombre douce tombée du ciel : elle noie la ville, comme une onde insaisissable et impénétrable, elle cache, efface, détruit les couleurs, les formes, étreint les maisons, les êtres, les monuments de son imperceptible toucher.      Alors j'ai envie de crier de plaisir comme les chouettes, de courir

paysage qu´il voit : Paris du 19e s. Monde industriel par « atelier » (v6), la métonymie: « tuyaux » (v7), métaphore: « mâts de la cité » (v7) → renvoie aux chemines de la cité, « clochers » (v7) → édifices religieux 2 – Les activités Paris→ ville qui travaille : proposition subordonnées relatives : « qui chantent et qui bavarde » (v6) qui est aussi une personnification→ renvoie au bruit, à l´activité des usines de l´industrie. Rythme régulier du v6: 6/3/3 → Rythme de l´usine est constant,

3) les choses et qui fait partir la nuit. - « Haleines vives et tièdes » = animaux / « pierreries » = rosée ou yeux des animaux / « ailes » = oiseaux ou ailes de la Nuit qui s’en va -> métonymies : ailes, haleines. - « Frais et blêmes éclats » = lumière qui se lève et qui se voit à travers les arbres (« frais » car il fait froid à l’aube). C’est un oxymore: « blêmes éclats ». -> Tout dans la nature correspond -> seul le poète comprend ces synesthésies. - Le poète comprend ainsi par exemple le