Les Malheurs D Arlequin

Introduction Le couple maître / valet est un motif déterminant de la comédie et les répertoires de Molière, de Beaumarchais, de Marivaux, ont laissé quelques couples célèbres à la postérité : Don Juan et Sganarelle, le comte Almaviva et Figaro, Arlequin et Dorante, Marivaux a même fait de la relation maître / valet, le sujet de L'Île des Esclaves. Jacques le Fataliste et son maître n'appartient certes pas au genre dramatique, pour autant, la relation entre ces deux personnages est au centre du récit

aime. Dès lors s’engage un affrontement entre le frère et la sœur analyse Les quatre premiers vers commencent par une anaphore : »Rome ». Rome est le sujet de l’affrontement entre le frère et la soeur. Pour Camille Rome est la cause des ses malheurs (mort de son amant) alors qu’elle représente la mère patrie pour Horace. Cette idée est d’ailleurs renforcée par le vocabulaire de la mère nourricière : "qui t’a vu naître, et que ton coeur adore". Désormais tout les oppose comme le souligne l’antithèse

renvoyée au néant. La scène d’exposition (voir exercice 2) avait fait entendre la violence de sa passion. Il se disait prêt à suivre l’être aimé jusqu’en Allemagne. Tout le dénouement le montre silencieux, résistant aux appels de ses amis, dans un malheur si profond qu’il est tenté par le suicide. Et soudain, d’une brusque volte-face, il renonce à sa tristesse, accepte que sa passion soit rabaissée au rang de « ces idées communes au vulgaire des amants » (l. 11-12) et rejoint ses amis. Sa dernière

81) Deux registres proches : le registre tragique suscite une réflexion sur la lutte des hommes face à leur destin ou à la fatalité ; le registre pathétique privilégie la dimension affective, en inspirant la compassion envers les victimes du malheur ou de l’injustice. (p.82) Quelques procédés stylistiques à connaître : hyperboles, anaphores, répétitions, accumulations, gradations, parallélismes, antithèses, oxymores, chiasmes, comparaisons, métaphores, personnifications, allégories. (p.82)

Il veut que son neveu épouse Marton, une servante grâce à laquelle Dorante serait à l’abri du besoin. · Mme Argante : Mère d’Araminte. Elle est une femme exigeante et autoritaire qui veut voir sa fille épouser le comte Dorimont pour son statut. · Arlequin : Valet d’Araminte. Il est au service de Dorante parce que Araminte le lui a demandé. Il est un personnage comique qui appartient à la Commedia dell’arte.· Dubois : Ancien valet de Dorante (il ne l’est plus parce que Dorante est ruiné). Il est au

Sédar Senghor, que l’arrogance babélique a dévoyé en précipitant les hommes dans la confusion des langues ? La parole, contrairement à la langue, est ce qui reste de ce fruit tombé de l’Arbre défendu. Certaines voix ingénues la retrouvent : Phèdre, Arlequin, (acte II, scène 10), le « poor young shepherd » du recueil verlainien, ou ceux qui feignent de l’être. Certes, cette dispersion des langues favorisa aussi un enrichissement culturel grâce à la distance que ma langue impose face à l’autre et moi-même

masque représentant un personnage : Pantalon (vieillard amoureux cherchant à empêcher l'Amoureux et l'Amoureuse de s'aimer), le Dottore (pédant prétentieux), le Capitan (soldat fanfaron), le valet (Brighella, le valet sérieux, rusé, intelligent ou Arlequin, le valet gouailleur, grossier, fainéant). La Tragédie classique : on parle de tragédie classique pour des œuvres datant du XVIIe siècle. Elles sont rédigées en alexandrins (vers de douze syllabes), ont, en général, cinq actes, respectent

elle apprend qu'elle a une rivale en la jeune Aricie ; ou comme celle de Shakespeare dont les jeunes héros, Roméo et Juliette, incarnent parfaitement les amours contrariées par des querelles familiales : Roméo Montaigu a eu le bonheur mais aussi le malheur de connaître le coup de foudre en découvrant un soir de bal la belle Juliette, fille des Capulet, une famille ennemie de la sienne. Combien de spectateurs peuvent vibrer avec lui quand il s'exclame : « Mon cœur a-t-il aimé avant ce jour ? Mes yeux

peine pouvez-vous dire comme il se nomme ; Votre chaleur pour lui tombe en vous séparant, Et vous me le traitez, à moi, d'indifférent. Morbleu ! c'est une chose indigne, lâche, infâme, De s'abaisser ainsi jusqu'à trahir son âme; Et si, par un malheur, j'en avais fait autant, Je m'irais, de regret, pendre tout à l'instant. ALCESTE Laissez-moi là, vous dis-je, et courez vous cacher. PHILINTE Je ne vois pas, pour moi, que le cas soit pendable, Et je vous supplierai d'avoir pour agréable

théâtrale est une « émotion passagère et vaine qui ne dure pas plus que l'illusion qui l'a produite » ->le théâtre donnerait bonne conscience au citoyen => « au fond, quand une homme est allé admiré de belles actions dans des fables et pleurer des malheurs imaginaires, qu'à t-on encore à exiger de lui ? N'est-il pas content de lui-même ? Ne s'applaudit-il pas de sa belle âme ? Ne s'est-il pas acquitté de tout ce qu'il doit à la vertu par l'hommage qu'il vient de lui rendre ? Que voudrait-on qu'il fît