Les Miserable Cosette

Les misérables, Victor Hugo Chapitre X « La descente » De « Fantine depuis la veille ….. » jusqu'à « L’infortunée se fit fille publique » Le roman Les Misérables a été écrit en 1862 par Victor Hugo, écrivain français très engagé dans la lutte pour une meilleure condition du peuple. Dans cet extrait, il s’attarde sur le cas de Fantine, femme du peuple qui se bat pour subsister et assurer un avenir à sa fille. Nous allons nous demander comment, à travers ce personnage féminin, l’auteur dénonce

suivent. Tout comme le suicide, le meurtre ou encore la famine, la misère est un sujet touchant et dur à évoqué, mais réel.Dans LES MISERABLES, Victor Hugo nous decris, avec des des details qui semblent très realiste, la vie quotidienne d’une femme toucher par la Misère. En effet, Fantine est une femme declarée seule et non mariée , mais elle a une petite fille, Cosette. Un jour, suite à la découverte de sa fille par son patron, elle se fait renvoyé, et va devoir payer la pensions de sa fille, qui

lui-même, mais la pression est trop grande à supporter. L’allusion aux hors-la-loi fait penser à Jean Valjean, le prisonnier évadé dans Les Misérables, un autre roman de Victor Hugo de la même époque. Jean Valjean est un modèle de héros romantique. On peut comparer Cosette à la Reine car ces deux femmes ont le sentiment d’être prisonnières. Certes, Cosette est une servante très pauvre et la Reine est très riche, mais elles sont toutes deux incapables d’échapper à leur malheur. C’est le héros qui

courante à cette époque, pratique qui a connu son point culminant au dix-huitième siècle. 1.2. Le deuxième document est un extrait du roman de Victor Hugo, Les Misérables, écrit en 1881. Ce document est de type narratif. Cet extrait de Victor Hugo, nous narre l’histoire du personnage de Fantine, qui est contraint de confier sa fille, Cosette, auprès de la famille Thénardier, car elle doit s’en aller dans un pays pour chercher de quoi survivre, mais elle ne peut pas y emmener sa fille. Le sujet sous-jacent

reine Victoria, je m’installe dans ma demeure de Haute Ville House à Guernesey une œuvre à pare entière durant 15ans. Là-bas mes écrits se sont nourris du contact avec la mer. L’exil est d’ailleurs une période de grande fécondité littéraire : Les Misérables, Les Châtiments un énorme recueil poétique que j’ai écrit contre Napoléon 3, les Contemplations mais passons j’y reviendrais plus tard. L’exil ne m’a pas seulement détaché de la France, il m’a presque détaché de la terre. Yuqin : Mais…monsieur

lui à réalisé un film de se récit . Pour la seconde démonstration nous utiliserons l'histoire de la littérature qui marquera grâce à des ouvrages , l'histoire de se monde . Les misérables , récit écrit par le grand romancier Victor Hugo , est apparu pour la première fois en 1862 , décrivant la vie de misérables dans les rues de Paris et de la France provincial du XIX° siècle mais qui s'attache particulièrement à un personnage nommé Jean Valjean qui n'est pas sans rappeler le condamné à mort

subsister » (lignes 12-13), « les séducteurs nous assiègent pendant que la misère nous poignarde » (ligne 6) qui dévalorisent les hommes et montrent ce que Marceline leur reproche, le prouvent. Le texte B, de Victor Hugo est extrait du roman Les Misérables écrit en 1862. L’extrait que nous allons étudier est intitulé « la descente », chapitre X, première partie, livre cinquième. Le registre y est pathétique. Dans ce texte, Victor Hugo, à travers le personnage de Fantine dénonce l’injustice de la société

littéraire, un petit épisode des Misérables de Victor Hugo. -Etes-vous de la rue ? -Oui, pourquoi ? -Pouvez-vous m’indiquer le numéro 7 ? -Pour quoi faire, le numéro 7 ? L’enfant répond : -Ah !Voilà. Jean Valjean dit à l’enfant : -Est-ce que c’est toi qui m’apportes la lettre que j’attends ? -Vous ? dit Gavroche. Vous n’êtes pas une femme. -La lettre est pour mademoiselle Cosette, n’est-ce pas ? -Cosette ?Oui, je crois que c’est

succès ont été principalement des romans tels que « Notre Dame de Paris » ou encore « Les Misérables ». Ce roman est paru en 1862 et décrit la vie misérable dans Paris et dans la France Provinciale du XIX ème de plusieurs personnages et s’attache plus particulièrement au bagnard Jean Val jean, qui n’est autre que le personnage principal du roman « Le dernier jour d’un condamné » et au personnage de Cosette, petite fille adoptée par un couple cruel. Cet extrait présente en détail ce couple nommé Thénardier

6-7) (...) Plan du commentaire: Introduction I) La métamorphose du paysage II) La misérable enfant Conclusion Introduction  I / V.H transforme cette marche dans la foret en une entrée dans un monde terrifiant  1. Un environnement hostile et inconnu  2. Focalisation  II / V.Hugo dépasse l'anecdote pour donner à cet épisode une portée générale.  1. Généralisation du cas individuel de Cosette au rang de vérité générale  2. Les sens possibles dans cette généralisation: Le bien, L'innocence