Les Misérables Ii Iii V La Petite Toute Seule

prennent en photo telles des statues vivantes. Ils jettent toujours des pièces sur la colonne à l'intersection des deux chemins grillagés. Plus sérieusement, les colonnes s'inscrivent parfaitement au milieu de l'architecture classique du Palais-Royal. Toute la partie technique des deux plateaux a été refaite; il fallait réparer le circuit électrique, rétablir le réseau souterrain de l'eau, refaire l'étanchéité  de la dalle, remplacer les caillebotis branlants et nettoyer les colonnes. L'Etat ayant laissé

Hernani/Ruy Blas, d’une préface l’autre Il y a chez Hugo un art de la préface, que celle-ci s’étende sur des dizaines de pages, comme la plus connue d’entre elles, la préface de Cromwell, ou qu’elle se réduise à quelques lignes, comme la préface des Misérables ou celle des Travailleurs de la mer ; et même, dans certains cas, assez rares, comme dans Quatrevingt-Treize, l’absence de préface est elle-même hautement significative. La préface est conçue par Hugo comme une tribune, le lieu où l’auteur en majesté

jaloux, fait arrêter Fouquet et empêche La Fontaine de continuer ses oeuvres car il est complètement démuni et doit alors se trouver un autre mécène. Il devra d'ailleurs s'en trouver plusieurs au cours de sa vie au gré des arrestations ou des décés. II/ La Fontaine et la fable. 1) Une fable provenant du latin « fabula » est un court récit plutôt en vers qu'en prose. Elle se caractérise généralement par l'usage d'une symbolique animale ou personnages fictifs. La morale est soit à extraire de l'implicite

fuite du temps et la nature. L'auteur: (1524-1585) Fils de famille aristocratique et parent de la reine Élisabeth d'Angleterre, Pierre de Ronsard est né, en 1524. Il est élevé dans le culte des arts et des lettres par un père admiratif de l'Italie. II se montre également très doué pour les exercices physiques, l'équitation, ou l'escrime et devient l'un des pages les plus séduisants de la cour de France. C'est une surdité précoce qui le fait renoncer à la carrière militaire. Il se découvre alors une

Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ; Mon paletot2 aussi devenait idéal3 ; J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal4 ; Oh ! là ! là ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée

douleur de la terre II. La dimension tragique 1. Un personnage mystérieux Qui : C’est dans ce contexte qu’apparaît un personnage hybride. Que nous apprennent ces trois interventions du discours dans le récit ? 2. Le chemin et l'aspect inéluctable du destin a) personnage = dépendant du chemin, un seul chemin, le personnage n'a pas le choix b) Lenteur et régularité de l'avancée. 3. Mise en place d'une fatalité a) thèmes: la vengeance, la détermination contre toute logique b) l'antiquité

mots ; _Le geste du « pouce » ---> provocation = violence des rapports humains, traités ici sur le mode grotesque. Les valets s'approprient la haine de leurs maitres. Le registre de l'excès, la liberté d'écriture. Il assure ainsi à la liberté toute sa place pour que puisse naître le drame de Roméo et Juliette de cette confusion du sexe, de la mort et de l'amour. Une scène d'information et paradoxale. Une scène d'exposition vive qui assure sa fonction informative. Tout d'abord, la scène

suffrage universel et voté une loi pour l'empêcher de se représenter à l’élection présidentielle. Les opposants furent arrêtés. Le coup de force fit quatre cents morts dans toute la France, et, même s'il fut «validé» par 92% des votants dans un plébiscite organisé trois semaines plus tard, Louis Napoléon allait se le reprocher toute sa vie. Les Français, qui attendaient tant de lui, lui pardonnèrent cet épisode autoritaire. Mais pas Victor Hugo. Il mit au service de sa fureur tout son génie poétique

suffrage universel et voté une loi pour l'empêcher de se représenter à l’élection présidentielle. Les opposants furent arrêtés. Le coup de force fit quatre cents morts dans toute la France, et, même s'il fut «validé» par 92% des votants dans un plébiscite organisé trois semaines plus tard, Louis Napoléon allait se le reprocher toute sa vie. Les Français, qui attendaient tant de lui, lui pardonnèrent cet épisode autoritaire. Mais pas Victor Hugo. Il mit au service de sa fureur tout son génie poétique

(L’Invention de la rêverie, p. 20) que la rêverie est « un murmure du désir, un abandon aux puissances du souvenir ou aux charmes de l’imagination, une douce torpeur ». Madeleine de Scudéry, Clélie, II, 1 développe cet imaginaire de la rêverie : « Encore puis-je si peu me passer d’amour, vraie ou fausse, grande ou petite, que je me fais même quelquefois une amour imaginaire qui me tient lieu d’une véritable amour. Cette passion que je me fais quand je n’en ai point d’effective, m’occupe du moins agréablement